Ces attentats viennent souligner les difficultés des autorités irakiennes à maîtriser la sécurité du pays à mesure que les forces américaines réduisent leur présence et que se rapprochent les élections générales de 2010.
Les déflagrations les plus meurtrières se sont produites dans le village de Kahzna, à l'est de Mossoul, peuplé par la minorité ethnique chiite des Chabaks. Au moins 28 d'entre eux ont été tués et 138 autres blessés. Deux camions piégés ont explosé quasi-simultanément et à moins de 500 mètres de distance vers 5h locales. L'armée américaine a confirmé qu'au moins 25 personnes étaient mortes.
Ces attentats n'ont pas été revendiqués mais portent la marque d'Al-Qaïda en Irak et d'autres groupes insurgés sunnites encore très actifs à Mossoul et sa région. Vendredi, à Rachidiyah, près de Mossoul, un kamikaze a fait exploser son camion piégé devant une mosquée fréquentée par la communauté chiite turkmène, faisant au moins 44 morts et des dizaines de blessés.
A Bagdad lundi, au moins 20 personnes ont été tuées et environ 120 autres blessées dans les explosions de bombes dans différents quartiers principalement chiites de la capitale irakienne.
Malgré une baisse relative de la violence au cours des deux dernières années, l'armée américaine avait souligné la fragilité de la situation, appelant à la retenue, notamment au sein de la communauté chiite, pour empêcher toutes représailles qui ont déchiré le pays en 2006 et 2007.
Les récents attentats viennent également soulever la question de la capacité des forces de sécurité irakiennes à contenir les violences alors que les troupes américaines cèdent progressivement leurs responsabilités dans le cadre d'un plan de retrait de tous les soldats américains d'Irak d'ici la fin 2011.
Le 9 juillet, 56 personnes avaient été tuées dans une série d'attentats dans le nord du pays, essentiellement dans la ville turkmène de Tal Afar et à Bagdad. C'était la journée la plus sanglante depuis que l'armée américaine y a transféré la responsabilité de la sécurité aux forces irakiennes.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Les déflagrations les plus meurtrières se sont produites dans le village de Kahzna, à l'est de Mossoul, peuplé par la minorité ethnique chiite des Chabaks. Au moins 28 d'entre eux ont été tués et 138 autres blessés. Deux camions piégés ont explosé quasi-simultanément et à moins de 500 mètres de distance vers 5h locales. L'armée américaine a confirmé qu'au moins 25 personnes étaient mortes.
Ces attentats n'ont pas été revendiqués mais portent la marque d'Al-Qaïda en Irak et d'autres groupes insurgés sunnites encore très actifs à Mossoul et sa région. Vendredi, à Rachidiyah, près de Mossoul, un kamikaze a fait exploser son camion piégé devant une mosquée fréquentée par la communauté chiite turkmène, faisant au moins 44 morts et des dizaines de blessés.
A Bagdad lundi, au moins 20 personnes ont été tuées et environ 120 autres blessées dans les explosions de bombes dans différents quartiers principalement chiites de la capitale irakienne.
Malgré une baisse relative de la violence au cours des deux dernières années, l'armée américaine avait souligné la fragilité de la situation, appelant à la retenue, notamment au sein de la communauté chiite, pour empêcher toutes représailles qui ont déchiré le pays en 2006 et 2007.
Les récents attentats viennent également soulever la question de la capacité des forces de sécurité irakiennes à contenir les violences alors que les troupes américaines cèdent progressivement leurs responsabilités dans le cadre d'un plan de retrait de tous les soldats américains d'Irak d'ici la fin 2011.
Le 9 juillet, 56 personnes avaient été tuées dans une série d'attentats dans le nord du pays, essentiellement dans la ville turkmène de Tal Afar et à Bagdad. C'était la journée la plus sanglante depuis que l'armée américaine y a transféré la responsabilité de la sécurité aux forces irakiennes.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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