Jeune Afrique:
Cette tension suscitée par Madrid est appelée à redoubler d’intensité, sachant bien que, au-delà de la réaction officielle, un grand élan d’indignation a été manifesté par la classe politique et associative.
De Agadir (sud) à Casablanca (centre) aux postes frontaliers de Ceuta (nord) et Mellila (nord est), des milliers de manifestants ont été unanimes à exprimer leur « grogne » et leur « vigoureuse condamnation » de cette visite.
Des slogans de protestations ont été scandés, des heures durant, et des centaines de banderoles brandies par des manifestants qui ont vu en cette visite « un signe d'affront », « un geste provocateur» et « une atteinte indélébile » à « l'amour propre des Marocains ».
Le Premier ministre Abbas El Fassi a estimé que cette visite du souverain espagnol qu'il a qualifié de «regrettable» tente de «rattacher l'Espagne aux cicatrices du passé et porte atteinte au texte et à l'esprit du traité d'amitié, de coopération et de bon voisinage» conclu entre les deux pays en 1991.
Aujourd'hui le Maroc:
Cette tension suscitée par Madrid est appelée à redoubler d’intensité, sachant bien que, au-delà de la réaction officielle, un grand élan d’indignation a été manifesté par la classe politique et associative.
Les protestataires ont vigoureusement dénoncé cette visite la qualifiant de «tentative de consécration de l’occupation espagnole de deux villes marocaines et des autres présides». Une «incongruité coloniale» dont l’Espagne pouvait bien se passer.
Cette tension suscitée par Madrid est appelée à redoubler d’intensité, sachant bien que, au-delà de la réaction officielle, un grand élan d’indignation a été manifesté par la classe politique et associative.
De Agadir (sud) à Casablanca (centre) aux postes frontaliers de Ceuta (nord) et Mellila (nord est), des milliers de manifestants ont été unanimes à exprimer leur « grogne » et leur « vigoureuse condamnation » de cette visite.
Des slogans de protestations ont été scandés, des heures durant, et des centaines de banderoles brandies par des manifestants qui ont vu en cette visite « un signe d'affront », « un geste provocateur» et « une atteinte indélébile » à « l'amour propre des Marocains ».
Le Premier ministre Abbas El Fassi a estimé que cette visite du souverain espagnol qu'il a qualifié de «regrettable» tente de «rattacher l'Espagne aux cicatrices du passé et porte atteinte au texte et à l'esprit du traité d'amitié, de coopération et de bon voisinage» conclu entre les deux pays en 1991.
Aujourd'hui le Maroc:
Cette tension suscitée par Madrid est appelée à redoubler d’intensité, sachant bien que, au-delà de la réaction officielle, un grand élan d’indignation a été manifesté par la classe politique et associative.
Les protestataires ont vigoureusement dénoncé cette visite la qualifiant de «tentative de consécration de l’occupation espagnole de deux villes marocaines et des autres présides». Une «incongruité coloniale» dont l’Espagne pouvait bien se passer.
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