L'indice de confiance du consommateur établi par l'organisation patronale est ressorti à 46,6 après 49,3 en juin, enregistrant son deuxième mois d'affilée de repli.
Les économistes et analystes interrogés anticipaient en moyenne un chiffre de 49,0.
L'indice d'évaluation de la situation actuelle a reculé à 23,4 après 25,0 en juin, tombant à son niveau le plus bas depuis mars. Celui des anticipations s'est également dégradé, passant de 65,5 à 62,0, son niveau le plus bas depuis avril.
Les consommateurs américains sont de plus en plus nombreux à estimer qu'il est difficile de trouver un emploi et le nombre de ceux qui pensent qu'il y a une offre abondante d'emplois est tombé à un plus bas de plus d'un quart de siècle.
Plus de 48% des consommateurs sont d'accord pour dire "qu'il est difficile de trouver un emploi", un plus haut inédit depuis mars alors qu'ils n'étaient que 44,8% à répondre à cette question par l'affirmative le mois dernier.
"Il y a du découragement. Les emplois ne sont pas créés aussi rapidement qu'attendu. Cela suggère que les dépenses liées à la rentrée scolaire seront moins élevées que prévu", commente John Silvia, chef économiste chez Wells Fargo.
"La vigueur de la consommation au deuxième semestre risque d'être décevante. Il n'y aura pas de reprise en V ni pour l'économie ni pour le marché de l'emploi."
Source: Reuters via Yahoo News
Les économistes et analystes interrogés anticipaient en moyenne un chiffre de 49,0.
L'indice d'évaluation de la situation actuelle a reculé à 23,4 après 25,0 en juin, tombant à son niveau le plus bas depuis mars. Celui des anticipations s'est également dégradé, passant de 65,5 à 62,0, son niveau le plus bas depuis avril.
Les consommateurs américains sont de plus en plus nombreux à estimer qu'il est difficile de trouver un emploi et le nombre de ceux qui pensent qu'il y a une offre abondante d'emplois est tombé à un plus bas de plus d'un quart de siècle.
Plus de 48% des consommateurs sont d'accord pour dire "qu'il est difficile de trouver un emploi", un plus haut inédit depuis mars alors qu'ils n'étaient que 44,8% à répondre à cette question par l'affirmative le mois dernier.
"Il y a du découragement. Les emplois ne sont pas créés aussi rapidement qu'attendu. Cela suggère que les dépenses liées à la rentrée scolaire seront moins élevées que prévu", commente John Silvia, chef économiste chez Wells Fargo.
"La vigueur de la consommation au deuxième semestre risque d'être décevante. Il n'y aura pas de reprise en V ni pour l'économie ni pour le marché de l'emploi."
Source: Reuters via Yahoo News