Sous le titre Open, l'ancien numéro un mondial du tennis y ouvre, en effet, son coeur en grand dans des Mémoires aux révélations parfois saisissantes. A 39 ans, il livre une version crue de son parcours qui écorne sa réputation ou 'le mythe ' comme l'a qualifié Jo-Wilfried Tsonga, fan déçu d'avoir appris tant de mauvaises nouvelles au sujet de l'ancienne icône, vainqueur de huit tournois du Grand Chelem entre 1992 et 2003.
Par le prisme de son aventure sportive, faite autant de hauts que de bas, Andre Agassi entraîne le lecteur dans le vertige de son existence tumultueuse et ne se ménage pas. Sans craindre le ridicule, l'ex 'Kid de Las Vegas' confesse ainsi avoir longtemps joué avec une perruque pour masquer une calvitie précoce. Quitte à susciter le scandale et à jeter l'opprobre sur l'ensemble de ses résultats, il reconnaît surtout avoir fait usage, en 1997, de méthamphétamine - une drogue dite récréative- alors qu'il avait sombré dans la dépression en raison de l'échec de son mariage avec l'actrice Brooke Shields et de ses performances catastrophiques sur les courts. Il ne s'arrête pas en si bon chemin en avouant que cette consommation lui valut, toujours en 1997, un contrôle antidopage positif, étouffé par l'Association des joueurs de tennis professionnels (ATP), qui préféra gober un mensonge du champion pour éviter le scandale. Andre Agassi va encore plus loin lorsqu'il écrit avoir secrètement détesté le tennis.
Car dans Open, il est surtout question du destin confisqué d'un enfant, victime d'un père violent et obsessionnel qui avait décidé de faire de son fils un champion de tennis à n'importe quel prix. Pour dresser sa progéniture de 7 ans, Mike Agassi avait ainsi inventé une machine lance-balles surnommée 'le dragon' par le jeune Andre parce qu'elle lui faisait peur en raison des cadences infernales ordonnées par son géniteur. ... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
Par le prisme de son aventure sportive, faite autant de hauts que de bas, Andre Agassi entraîne le lecteur dans le vertige de son existence tumultueuse et ne se ménage pas. Sans craindre le ridicule, l'ex 'Kid de Las Vegas' confesse ainsi avoir longtemps joué avec une perruque pour masquer une calvitie précoce. Quitte à susciter le scandale et à jeter l'opprobre sur l'ensemble de ses résultats, il reconnaît surtout avoir fait usage, en 1997, de méthamphétamine - une drogue dite récréative- alors qu'il avait sombré dans la dépression en raison de l'échec de son mariage avec l'actrice Brooke Shields et de ses performances catastrophiques sur les courts. Il ne s'arrête pas en si bon chemin en avouant que cette consommation lui valut, toujours en 1997, un contrôle antidopage positif, étouffé par l'Association des joueurs de tennis professionnels (ATP), qui préféra gober un mensonge du champion pour éviter le scandale. Andre Agassi va encore plus loin lorsqu'il écrit avoir secrètement détesté le tennis.
Car dans Open, il est surtout question du destin confisqué d'un enfant, victime d'un père violent et obsessionnel qui avait décidé de faire de son fils un champion de tennis à n'importe quel prix. Pour dresser sa progéniture de 7 ans, Mike Agassi avait ainsi inventé une machine lance-balles surnommée 'le dragon' par le jeune Andre parce qu'elle lui faisait peur en raison des cadences infernales ordonnées par son géniteur. ... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
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