Sarkozy : "Les lâches assassins seront punis avec sévérité"
Il a rendu hommage à cette police qui "constitue, au plus près du terrain, le premier rempart de notre sécurité". "La tragédie qui nous réunit aujourd'hui souligne à quel point ils sont exposés eux aussi à la violence des criminels les plus dangereux", a-t-il dit à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne). Première policière municipale tuée en service, Aurélie Fouquet, 26 ans, a succombé à de graves blessures après avoir été touchée de trois balles, le 20 mai, lors d'une fusillade dans cette localité avec un groupe de six ou sept malfaiteurs, qui préparaient apparemment l'attaque d'un fourgon blindé. Nicolas Sarkozy lui a remis les insignes de chevalier de la Légion d'honneur à titre posthume au terme d'une cérémonie en présence de nombreux policiers municipaux et nationaux. Blessé à ses côtés, son coéquipier Frédéric Moreau a reçu des mains du président les insignes de chevalier dans l'ordre national du Mérite. "À quel degré de barbarie, à quel degré de lâcheté, à quel degré de sauvagerie faut-il en être arrivé pour déclencher un tel déluge de violences ?", a dit le chef de l'État. Un homme a été interpellé après les faits et un autre formellement identifié par les enquêteurs.(lepoint)
Sarkozy veut "une justice implacable" pour les auteurs de la fusillade
"18 000 policiers municipaux pleurent une amie", a déclaré Nicolas Sarkozy qui assistait ce mercredi 26 mai aux obsèques d'Aurélie Fouquet, cette jeune policière municipale qui avait trouvé la mort dans une fusillade jeudi dernier. Aux côtés de la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie, le chef de l'Etat a assisté à l'arrivée du cercueil, puis a observé une minute de silence avant de prendre la parole. L'air grave, il a réaffirmé sa volonté de retrouver "les lâches assassins" à l'origine de la fusillade. "Ils seront punis avec la sévérité qu'exige l'ignominie de leur crime. Rien ne justifie qu'on arrache une maman à son fils, qu'on porte atteinte à une jeune femme et qu'on ôte la vie à son prochain", a-t-il ajouté. Avant de poursuivre: "Je n'appelle pas à une vengeance mais à une justice implacable". Saluant le courage de la victime, ses performances et son sens du devoir, il s'est interrogé: "Quel degré de barbarie, de lâcheté et de sauvagerie, faut-il pour en arriver là?" Le président de la République a eu une pensée particulière pour le mari d'Aurélie Fouquet, lui aussi policier municipal, et à son fils, Alexis, 14 mois. "Nos pensées vont d'abord à cet enfant qui devra grandir sans sa mère", a-t-il affirmé.(l'expresse)
Il a rendu hommage à cette police qui "constitue, au plus près du terrain, le premier rempart de notre sécurité". "La tragédie qui nous réunit aujourd'hui souligne à quel point ils sont exposés eux aussi à la violence des criminels les plus dangereux", a-t-il dit à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne). Première policière municipale tuée en service, Aurélie Fouquet, 26 ans, a succombé à de graves blessures après avoir été touchée de trois balles, le 20 mai, lors d'une fusillade dans cette localité avec un groupe de six ou sept malfaiteurs, qui préparaient apparemment l'attaque d'un fourgon blindé. Nicolas Sarkozy lui a remis les insignes de chevalier de la Légion d'honneur à titre posthume au terme d'une cérémonie en présence de nombreux policiers municipaux et nationaux. Blessé à ses côtés, son coéquipier Frédéric Moreau a reçu des mains du président les insignes de chevalier dans l'ordre national du Mérite. "À quel degré de barbarie, à quel degré de lâcheté, à quel degré de sauvagerie faut-il en être arrivé pour déclencher un tel déluge de violences ?", a dit le chef de l'État. Un homme a été interpellé après les faits et un autre formellement identifié par les enquêteurs.(lepoint)
Sarkozy veut "une justice implacable" pour les auteurs de la fusillade
"18 000 policiers municipaux pleurent une amie", a déclaré Nicolas Sarkozy qui assistait ce mercredi 26 mai aux obsèques d'Aurélie Fouquet, cette jeune policière municipale qui avait trouvé la mort dans une fusillade jeudi dernier. Aux côtés de la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie, le chef de l'Etat a assisté à l'arrivée du cercueil, puis a observé une minute de silence avant de prendre la parole. L'air grave, il a réaffirmé sa volonté de retrouver "les lâches assassins" à l'origine de la fusillade. "Ils seront punis avec la sévérité qu'exige l'ignominie de leur crime. Rien ne justifie qu'on arrache une maman à son fils, qu'on porte atteinte à une jeune femme et qu'on ôte la vie à son prochain", a-t-il ajouté. Avant de poursuivre: "Je n'appelle pas à une vengeance mais à une justice implacable". Saluant le courage de la victime, ses performances et son sens du devoir, il s'est interrogé: "Quel degré de barbarie, de lâcheté et de sauvagerie, faut-il pour en arriver là?" Le président de la République a eu une pensée particulière pour le mari d'Aurélie Fouquet, lui aussi policier municipal, et à son fils, Alexis, 14 mois. "Nos pensées vont d'abord à cet enfant qui devra grandir sans sa mère", a-t-il affirmé.(l'expresse)
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