Le Shanghai Auto Show a lieu tous les deux ans, et il ouvre lundi pour la presse, mercredi pour le public. On devrait y voir présenté un nombre de véhicule nouveaux sans précédent pour la Chine. Un reflet de l'importance qu'a pris ce marché pour les constructeurs ailleurs en pleine déconfiture.
Le salon embraye dans la roue du Grand Prix de Formule-1 de Shanghai, disputé ce dimanche dans la ville côtière, preuve de l'obsession de cette métropole pour l'automobile.
"Beaucoup de constructeurs considèrent maintenant la Chine comme la ligne de front" constate Paul Gao, directeur financier de Chery Quanto Auto Co. Ce fabricant local est passé du petit véhicule aux voitures plus haut de gamme.
La Chine, maintenant second marché au monde pour l'automobile, a vu les ventes repartir après la glissade de la fin 2008, grâce à une politique de réduction fiscale et de rabais. Les petits modèles en présentation chez les concessionnaires partent presque aussi vite qu'ils sont fabriqués.
Les ventes mensuelles totalisaient en mars 1,11 million de véhicules, supérieures aux chiffres américains depuis trois mois, et en hausse de 5% par rapport à l'an dernier.
Le redémarrage a pris de court nombre de constructeurs, qui attendaient une stagnation des ventes, a noté Paul Gao. Beaucoup de joint-ventures dépendent de pièces importées et plusieurs fournisseurs de premier rang sont au bord de la faillite. Mais les fabricants sont heureux de rencontrer ce type de problème quand le marché américain patine, en recul de près de 40% sur un an. La Chine est vitale par exemple pour General Motors qui a vendu ici 137.004 unités en mars.
On est loin de l'époque où la Santana de Volkswagen, qui fournit tous les taxis de la ville, était presque le seul choix disponible.
Source: Yahoo News
Le salon embraye dans la roue du Grand Prix de Formule-1 de Shanghai, disputé ce dimanche dans la ville côtière, preuve de l'obsession de cette métropole pour l'automobile.
"Beaucoup de constructeurs considèrent maintenant la Chine comme la ligne de front" constate Paul Gao, directeur financier de Chery Quanto Auto Co. Ce fabricant local est passé du petit véhicule aux voitures plus haut de gamme.
La Chine, maintenant second marché au monde pour l'automobile, a vu les ventes repartir après la glissade de la fin 2008, grâce à une politique de réduction fiscale et de rabais. Les petits modèles en présentation chez les concessionnaires partent presque aussi vite qu'ils sont fabriqués.
Les ventes mensuelles totalisaient en mars 1,11 million de véhicules, supérieures aux chiffres américains depuis trois mois, et en hausse de 5% par rapport à l'an dernier.
Le redémarrage a pris de court nombre de constructeurs, qui attendaient une stagnation des ventes, a noté Paul Gao. Beaucoup de joint-ventures dépendent de pièces importées et plusieurs fournisseurs de premier rang sont au bord de la faillite. Mais les fabricants sont heureux de rencontrer ce type de problème quand le marché américain patine, en recul de près de 40% sur un an. La Chine est vitale par exemple pour General Motors qui a vendu ici 137.004 unités en mars.
On est loin de l'époque où la Santana de Volkswagen, qui fournit tous les taxis de la ville, était presque le seul choix disponible.
Source: Yahoo News
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