François Hollande est pris au piège d'une vie amoureuse libérale très à la mode dans un certain milieu dit intellectuel. On peut, dès lors, penser que Valérie Trierweiler a été plus choquée par la mise sur la place publique de ce pseudo adultère qu'elle ne pouvait ignorer que par le fait d'avoir été trompée. Tout comme en politique, les marges de manœuvres de François Hollande sont réduites et peu d'options s'offrent à lui. Se faufiler en scooter hors de l’Élysée ne lui est plus possible et l'hospitalisation de Valérie Trierweiler, si elle ne fait pas renoncer le Président à sa liaison fatale avec l'actrice Julie Gayet, donnera de lui plus au plan international qu'en France, l'image d'un type cynique et faisant passer ses plaisirs avant l’intérêt de l’État. Ce ne serait souhaitable ni pour lui ni pour la République. Il reste qu'aucune option n'est possible sans le retour de Valérie Trierweiler à l’Élysée. Voici donc que l'image de la France et de son Président sont pris en otage à partir d'un lit d’hôpital.
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