La CGT, premier syndicat à la SNCF et à la RATP, s'en est remis aux assemblées générales des salariés pour décider d'une suspension ou d'une poursuite de la grève.
Le secrétaire général de la CGT-cheminots, Didier Le Reste, a toutefois estimé que "des premiers points ont été marqués" mercredi lors de la première réunion d'un cycle de négociations, prévu pour durer jusqu'au 18 décembre. La SNCF a indiqué s'être engagée notamment "à mettre un terme rapidement aux mises à la retraite d'office", à intégrer "certaines primes dans le calcul des pensions" et à prendre en compte "la pénibilité et la spécificité" des métiers cheminots.
Quatre syndicats sur les huit que compte la SNCF, représentant plus de 76% des salariés, sont encore engagés dans le mouvement de grève commencé mardi 13 novembre: la CGT, Sud, l'Unsa et FO.
La CFE-CGC et la CFTC se sont retirés de la grève mercredi soir, après la CFDT dès vendredi. La Fgaac (conducteurs autonomes) n'y avait pas participé.
Selon la direction, une cinquantaine d'assemblées générales de cheminots avaient déjà décidé mercredi soir de suspendre la grève. Les votes étaient toutefois contrastés. Ainsi, à la gare du Havre, les cheminots ont voté mercredi la reprise du travail, contrairement à leur collègues de Dieppe, mais aussi de Caen et de la région de Rouen où se concentre la majorité des cheminots de Normandie.
A la RATP, "les salariés apprécieront. En tout cas, nous, on a fait le maximum", a souligné Gérard Leboeuf, le secrétaire général de la CGT, tandis que FO a annoncé qu'elle maintenait ses préavis de grève.
Source: news.yahoo.com/
Le secrétaire général de la CGT-cheminots, Didier Le Reste, a toutefois estimé que "des premiers points ont été marqués" mercredi lors de la première réunion d'un cycle de négociations, prévu pour durer jusqu'au 18 décembre. La SNCF a indiqué s'être engagée notamment "à mettre un terme rapidement aux mises à la retraite d'office", à intégrer "certaines primes dans le calcul des pensions" et à prendre en compte "la pénibilité et la spécificité" des métiers cheminots.
Quatre syndicats sur les huit que compte la SNCF, représentant plus de 76% des salariés, sont encore engagés dans le mouvement de grève commencé mardi 13 novembre: la CGT, Sud, l'Unsa et FO.
La CFE-CGC et la CFTC se sont retirés de la grève mercredi soir, après la CFDT dès vendredi. La Fgaac (conducteurs autonomes) n'y avait pas participé.
Selon la direction, une cinquantaine d'assemblées générales de cheminots avaient déjà décidé mercredi soir de suspendre la grève. Les votes étaient toutefois contrastés. Ainsi, à la gare du Havre, les cheminots ont voté mercredi la reprise du travail, contrairement à leur collègues de Dieppe, mais aussi de Caen et de la région de Rouen où se concentre la majorité des cheminots de Normandie.
A la RATP, "les salariés apprécieront. En tout cas, nous, on a fait le maximum", a souligné Gérard Leboeuf, le secrétaire général de la CGT, tandis que FO a annoncé qu'elle maintenait ses préavis de grève.
Source: news.yahoo.com/
À lire également :
-
Nouveau tremblement de terre sur la Côte d’Azur : état des lieux
-
Comment recevoir les aides de fin d'année ? Prime de Noël, 13e mois, chèque énergie...
-
Cyclone : mobilisation pour secourir Mayotte ravagée
-
Nicolas Pernot choisi pour diriger le cabinet de François Bayrou à Matignon
-
Réunion des partis à l’Élysée : Emmanuel Macron exclut LFI et le RN