Le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies de l’information et des télécommunications (Restic), dans un communiqué daté du 12 mars 2009, encourage l’État, détenteur des 27% de parts dans le capital de l’opérateur historique de télécommunication et de réseaux de reconsidérer la cession d’une partie, ou de leur totalité de son portefeuille d’actions au partenaire stratégique de la Sonatel à savoir France Telecom.
Le Restic estime que « l’urgence de l’heure pour la Sonatel, les cadres, les travailleurs et employés c’est la formulation d’un projet d’entreprise industriel et technologique qui doit permettre à l’operateur historique de faire face aux mutations profondes qui marquent le secteur dynamique des télécoms et réseaux, un renforcement de la cohésion sociale qui donne plus d’assurance et de perspective pour les carrières à tous les nivaux et catégories professionnels ».
A cela, le Restic y ajoute la densification des relations avec les fournisseurs et prestataires de services pour allonger la chaine de valeur ajoutée et ses effets induits sur l’ensemble de l’économie du pays. Ainsi, cette organisation professionnelle pense que « toute cession ou des investissements de l’État sur le capital de l’opérateur historique doit être articulé autour des ses objectifs et non autour des considérations financières liées à des difficultés conjoncturelles ou structurelles du budget de l’État ».
Le Restic estime que « le partenariat France Telecom - Sonatel est gagnant - gagnant ( win - win ) surtout avec l’émergence des méga - operateurs tels MTN et Vodafone ». Et d’avertir : « Dans la course à la taille seules les entreprises ayant les capacités financières substantielles et un savoir faire technologique survivront ».
C’est ainsi que le Bureau exécutif du Restic invite donc l’État à surseoir à son projet de cession de ses parts et d’engager urgemment des concertations surtout avec les travailleurs de la Sonatel et le secteur privé national « afin que le projet d’entreprises en gestation reflète les préoccupations de toutes les parties prenantes y compris le partenaire stratégique France Télécom ».
Source: Rewmi
Le Restic estime que « l’urgence de l’heure pour la Sonatel, les cadres, les travailleurs et employés c’est la formulation d’un projet d’entreprise industriel et technologique qui doit permettre à l’operateur historique de faire face aux mutations profondes qui marquent le secteur dynamique des télécoms et réseaux, un renforcement de la cohésion sociale qui donne plus d’assurance et de perspective pour les carrières à tous les nivaux et catégories professionnels ».
A cela, le Restic y ajoute la densification des relations avec les fournisseurs et prestataires de services pour allonger la chaine de valeur ajoutée et ses effets induits sur l’ensemble de l’économie du pays. Ainsi, cette organisation professionnelle pense que « toute cession ou des investissements de l’État sur le capital de l’opérateur historique doit être articulé autour des ses objectifs et non autour des considérations financières liées à des difficultés conjoncturelles ou structurelles du budget de l’État ».
Le Restic estime que « le partenariat France Telecom - Sonatel est gagnant - gagnant ( win - win ) surtout avec l’émergence des méga - operateurs tels MTN et Vodafone ». Et d’avertir : « Dans la course à la taille seules les entreprises ayant les capacités financières substantielles et un savoir faire technologique survivront ».
C’est ainsi que le Bureau exécutif du Restic invite donc l’État à surseoir à son projet de cession de ses parts et d’engager urgemment des concertations surtout avec les travailleurs de la Sonatel et le secteur privé national « afin que le projet d’entreprises en gestation reflète les préoccupations de toutes les parties prenantes y compris le partenaire stratégique France Télécom ».
Source: Rewmi