Les «Ossis» se font rares à Berlin
L'Allemagne sous forme de chiffres, c'est possible. Cela paraît tous les ans sous le nom de «Statistisches Jarbuch», et l'édition 2011 a été publiée mi-décembre. Mais fédéralisme oblige, certains Länder allemands publient leurs propres chiffres, comme Berlin. Par exemple en 2010, et grâce à ces études, le portail de la ville affirmait: «Selon les chiffres officiels, le Land de Berlin compte 514 boeufs, 368 moutons, 51 porcs, et 101.624 chiens.» Mais ces études s'intéressent aussi aux humains. D'ailleurs, selon les derniers chiffres, les Berlinois changent progressivement de nature, apprenait-on dernièrement du journal populaire BZ: «Les habitants de la capitale originaires de l'Allemagne de l'Est disparaissent progressivement. En 2010, seuls 317.000 Berlinois avaient passé leur diplôme de fin d'étude en ex-RDA.» Si l'on compte ceux qui ont fait leur scolarité en Allemagne de l'Est mais ont fait leurs études dans l'Allemagne réunifiée, la liste s'allonge un peu. Mais au total, Berlin ne compte plus que 340.000 «echte Ossis», les authentiques Allemands de l'Est (par opposition aux Wessis, anciens habitants de l'Ouest). Cet effondrement numérique est allé très vite, poursuit le journal: «En 1990, à la chute du Mur, on comptait 1,3 million d'habitants à Berlin-est, contre 2,1 millions à Berlin-ouest. Mais le chômage provoqué par la faillite des entreprises d'Etat de l'ex-RDA ainsi que le manque de création d'emplois dans le nouveau Berlin ont causé un exode massif vers l'Ouest.»(slate.fr) A mes yeux un berlinois est un humain comme les autres, certes berlinois, mais pas de l'est ou de l'ouest.
La placidité suisse à l'épreuve d'un glacier
En se détachant, un pan du Giesengletscher pourrait inonder le village de Lauterbrunnen. À première vue, la bourgade de Lauterbrunnen semble calme. Pourtant, ce village de carte postale situé au cœur des Alpes suisses vit en sursis depuis que la municipalité a découvert une énorme fissure dans le glacier qui surplombe la localité. La première alerte a été donnée début septembre dans un communiqué officiel. Sur le versant nord de la Jungfrau (la «Vierge», l'un des plus hauts sommets de Suisse), à 2 800 mètres d'altitude, un pan du Giesengletscher de la taille de douze terrains de football menace de se détacher de sa base. Le bloc de glace ne risque pas d'écraser les chalets de bois décorés d'un drapeau suisse, car il en est relativement éloigné. Mais il peut gonfler le cours de la rivière en amont, la Weiss Lutschine, qui baigne toute la vallée. Certains experts parlent d'une crue de millions de mètres cubes. À la mairie, le secrétaire communal Christian Abbühl joue la prudence. «Après la parution d'articles dans la presse, il y a eu un mouvement de nervosité, mais cela ne sert à rien de s'affoler, explique-t-il. Il y a plusieurs scénarios envisageables. Si le morceau tombe en un seul bloc, il pourrait former un barrage qui bloquerait l'écoulement de la rivière, mais nous aurions largement le temps de réagir.(lefigaro.fr)Apres tout c'est de notre faute si ce pan de glacier se détache, il ne nous reste plus qu'a éviter que ce village ne subisse de préjudice.
Les Egyptiens appelés aux urnes après cinq jours de violences
Les Egyptiens retournent aux urnes ce mercredi pour le second tour de la deuxième phase des élections législatives, après cinq jours de violences au Caire qui ont assombri la transition démocratique et suscité de vives critiques des Etats-Unis. Pour la première fois en une semaine, la nuit a été calme place Tahrir, dans le centre du Caire, épicentre de la révolution qui a renversé Hosni Moubarak le 11 février dernier, et dans les rues alentour. La veille, la police et l'armée avaient fait usage d'armes à feu et de gaz lacrymogènes pour déloger des manifestants, suscitant les protestations de Washington. De sources médicales, on fait état de 13 personnes tuées et de centaines d'autres blessées dans les affrontements entre manifestants et forces de l'ordre qui ont éclaté vendredi place Tahrir et dans les rues adjacentes menant au parlement et au siège du gouvernement. Le Conseil suprême des forces armées (CSFA), au pouvoir depuis la chute de Moubarak, a prévenu que le retour à un régime civil aurait lieu comme prévu et qu'il céderait le pouvoir à un président élu d'ici juillet prochain. Les électeurs sont appelés aux urnes dans neuf provinces du pays ce mercredi et demain jeudi dans le cadre du second tour de la deuxième phase des élections législatives. «Si Dieu le veut, nous finirons la révolution du 25 janvier en renversant le conseil militaire», dit Mahmoud, un manifestant de 25 ans.(20minutes.fr) Pourquoi lutter contre le fruit pas encore mûr de sa propre révolution?
Source: Yahoo actualités
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L'Allemagne sous forme de chiffres, c'est possible. Cela paraît tous les ans sous le nom de «Statistisches Jarbuch», et l'édition 2011 a été publiée mi-décembre. Mais fédéralisme oblige, certains Länder allemands publient leurs propres chiffres, comme Berlin. Par exemple en 2010, et grâce à ces études, le portail de la ville affirmait: «Selon les chiffres officiels, le Land de Berlin compte 514 boeufs, 368 moutons, 51 porcs, et 101.624 chiens.» Mais ces études s'intéressent aussi aux humains. D'ailleurs, selon les derniers chiffres, les Berlinois changent progressivement de nature, apprenait-on dernièrement du journal populaire BZ: «Les habitants de la capitale originaires de l'Allemagne de l'Est disparaissent progressivement. En 2010, seuls 317.000 Berlinois avaient passé leur diplôme de fin d'étude en ex-RDA.» Si l'on compte ceux qui ont fait leur scolarité en Allemagne de l'Est mais ont fait leurs études dans l'Allemagne réunifiée, la liste s'allonge un peu. Mais au total, Berlin ne compte plus que 340.000 «echte Ossis», les authentiques Allemands de l'Est (par opposition aux Wessis, anciens habitants de l'Ouest). Cet effondrement numérique est allé très vite, poursuit le journal: «En 1990, à la chute du Mur, on comptait 1,3 million d'habitants à Berlin-est, contre 2,1 millions à Berlin-ouest. Mais le chômage provoqué par la faillite des entreprises d'Etat de l'ex-RDA ainsi que le manque de création d'emplois dans le nouveau Berlin ont causé un exode massif vers l'Ouest.»(slate.fr) A mes yeux un berlinois est un humain comme les autres, certes berlinois, mais pas de l'est ou de l'ouest.
La placidité suisse à l'épreuve d'un glacier
En se détachant, un pan du Giesengletscher pourrait inonder le village de Lauterbrunnen. À première vue, la bourgade de Lauterbrunnen semble calme. Pourtant, ce village de carte postale situé au cœur des Alpes suisses vit en sursis depuis que la municipalité a découvert une énorme fissure dans le glacier qui surplombe la localité. La première alerte a été donnée début septembre dans un communiqué officiel. Sur le versant nord de la Jungfrau (la «Vierge», l'un des plus hauts sommets de Suisse), à 2 800 mètres d'altitude, un pan du Giesengletscher de la taille de douze terrains de football menace de se détacher de sa base. Le bloc de glace ne risque pas d'écraser les chalets de bois décorés d'un drapeau suisse, car il en est relativement éloigné. Mais il peut gonfler le cours de la rivière en amont, la Weiss Lutschine, qui baigne toute la vallée. Certains experts parlent d'une crue de millions de mètres cubes. À la mairie, le secrétaire communal Christian Abbühl joue la prudence. «Après la parution d'articles dans la presse, il y a eu un mouvement de nervosité, mais cela ne sert à rien de s'affoler, explique-t-il. Il y a plusieurs scénarios envisageables. Si le morceau tombe en un seul bloc, il pourrait former un barrage qui bloquerait l'écoulement de la rivière, mais nous aurions largement le temps de réagir.(lefigaro.fr)Apres tout c'est de notre faute si ce pan de glacier se détache, il ne nous reste plus qu'a éviter que ce village ne subisse de préjudice.
Les Egyptiens appelés aux urnes après cinq jours de violences
Les Egyptiens retournent aux urnes ce mercredi pour le second tour de la deuxième phase des élections législatives, après cinq jours de violences au Caire qui ont assombri la transition démocratique et suscité de vives critiques des Etats-Unis. Pour la première fois en une semaine, la nuit a été calme place Tahrir, dans le centre du Caire, épicentre de la révolution qui a renversé Hosni Moubarak le 11 février dernier, et dans les rues alentour. La veille, la police et l'armée avaient fait usage d'armes à feu et de gaz lacrymogènes pour déloger des manifestants, suscitant les protestations de Washington. De sources médicales, on fait état de 13 personnes tuées et de centaines d'autres blessées dans les affrontements entre manifestants et forces de l'ordre qui ont éclaté vendredi place Tahrir et dans les rues adjacentes menant au parlement et au siège du gouvernement. Le Conseil suprême des forces armées (CSFA), au pouvoir depuis la chute de Moubarak, a prévenu que le retour à un régime civil aurait lieu comme prévu et qu'il céderait le pouvoir à un président élu d'ici juillet prochain. Les électeurs sont appelés aux urnes dans neuf provinces du pays ce mercredi et demain jeudi dans le cadre du second tour de la deuxième phase des élections législatives. «Si Dieu le veut, nous finirons la révolution du 25 janvier en renversant le conseil militaire», dit Mahmoud, un manifestant de 25 ans.(20minutes.fr) Pourquoi lutter contre le fruit pas encore mûr de sa propre révolution?
Source: Yahoo actualités
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