Il est déjà établi que parmi les médicaments trouvés au domicile du "roi de la pop" figurait du propofol, un puissant anesthésique qui n'est pas conçu pour l'usage domestique.
La police de Los Angeles, la Drug Enforcement Administration (police des stupéfiants) et le bureau du procureur général de la Californie tentent de découvrir comment ce médicament s'est retrouvé chez le chanteur.
L'analyse toxicologique d'un coroner devrait être bouclée d'ici deux semaines, avec un retard que les légistes n'ont pas expliqué, et elle permettra d'établir deux importants faits: y avait-il présence de propofol ou d'autres types de médicament dans le corps du chanteur de 50 ans au moment du décès? Si oui, les quantités trouvées étaient-elles toxiques?
Selon l'expert en médecine légale Lawrence Kobilinsky, du John Jay College à New York, il n'y a aucune raison pour que du propofol ait été mis à la disposition de Michael Jackson. Il est d'avis que si cet anesthésique a été un élément qui a contribué à la mort du chanteur, des poursuites en justice devraient être intentées. "La quantité (retrouvée) sera déterminante", dit-il.
De son côté, la police de Los Angeles s'est montrée avare en informations jusqu'à présent. Le patron du LAPD, William Bratton, a déclaré que ses enquêteurs analysaient attentivement l'historique des ordonnances qui ont été délivrées à l'artiste et qu'ils tenaient compte de tous les médecins auxquels Michael Jackson avait eu affaire. M. Bratton a assuré que les enquêteurs n'avaient exclu aucune hypothèse.
Des représentants fédéraux ont par ailleurs contacté un important producteur de propofol, le laboratoire pharmaceutique Teva, de même que le distributeur AmerisourceBergen. Un porte-parole de ce dernier, Michael Kilpatric, a déclaré que les autorités avaient demandé à son entreprise des informations sur les ventes de propofol et de son équivalent commercialisé, le médicament Diprivan, auprès de médecins, de pharmacies et d'hôpitaux. L'objectif est de déterminer comment du propofol est passé du laboratoire à la résidence de Michael Jackson.
Les enquêteurs sont submergés par un océan d'informations, mais ils se concentrent sur quelques médecins qui ont été proches du "roi de la pop", comme le dermatologue Arnold Klein et le médecin Conrad Murray.
Source: Associated Presse via Yahoo News
La police de Los Angeles, la Drug Enforcement Administration (police des stupéfiants) et le bureau du procureur général de la Californie tentent de découvrir comment ce médicament s'est retrouvé chez le chanteur.
L'analyse toxicologique d'un coroner devrait être bouclée d'ici deux semaines, avec un retard que les légistes n'ont pas expliqué, et elle permettra d'établir deux importants faits: y avait-il présence de propofol ou d'autres types de médicament dans le corps du chanteur de 50 ans au moment du décès? Si oui, les quantités trouvées étaient-elles toxiques?
Selon l'expert en médecine légale Lawrence Kobilinsky, du John Jay College à New York, il n'y a aucune raison pour que du propofol ait été mis à la disposition de Michael Jackson. Il est d'avis que si cet anesthésique a été un élément qui a contribué à la mort du chanteur, des poursuites en justice devraient être intentées. "La quantité (retrouvée) sera déterminante", dit-il.
De son côté, la police de Los Angeles s'est montrée avare en informations jusqu'à présent. Le patron du LAPD, William Bratton, a déclaré que ses enquêteurs analysaient attentivement l'historique des ordonnances qui ont été délivrées à l'artiste et qu'ils tenaient compte de tous les médecins auxquels Michael Jackson avait eu affaire. M. Bratton a assuré que les enquêteurs n'avaient exclu aucune hypothèse.
Des représentants fédéraux ont par ailleurs contacté un important producteur de propofol, le laboratoire pharmaceutique Teva, de même que le distributeur AmerisourceBergen. Un porte-parole de ce dernier, Michael Kilpatric, a déclaré que les autorités avaient demandé à son entreprise des informations sur les ventes de propofol et de son équivalent commercialisé, le médicament Diprivan, auprès de médecins, de pharmacies et d'hôpitaux. L'objectif est de déterminer comment du propofol est passé du laboratoire à la résidence de Michael Jackson.
Les enquêteurs sont submergés par un océan d'informations, mais ils se concentrent sur quelques médecins qui ont été proches du "roi de la pop", comme le dermatologue Arnold Klein et le médecin Conrad Murray.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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