Notre revue de presse sciences du 20 Août 2011
La nature inviolée n'a jamais existé
«La nature est presque partout. Mais où qu'elle soit, il y a une chose que la nature n'est pas: c'est pure». Cette phrase est extraite du livre publié aux Etats-Unis par la journaliste scientifique Emma Marris Rambunctious Garden: Saving Nature in a Post-Wild World (Jardin en liberté: Sauver la nature dans un monde post-sauvage) qui devrait provoquer un sérieux débat sur ce que signifie protéger et sauver la nature.
Elle espose ainsi sa thèse: «Nous devons regarder avec précaution la notion romantique d'une nature sauvage inviolée et adopter une notion plus nuancée d'un jardin mondial semi-sauvage que nous devons gérer.» (www.slate.fr)
Le génome du kangourou décrypté
Le génome du Macropus eugenii, petit kangourou australien, a été décrypté par un consortium international associant des scientifiques de cinq pays (Australie, Etats-Unis, Japon, Angleterre, Allemagne). «C'est le premier représentant de ces mammifères sauteurs symbolisant l'Australie dont le génome est séquencé», relèvent les chercheurs dans l'article paraissant dans la revue Genome Biology, gratuitement accessible en ligne. «Le séquençage du tammar walliby nous a fourni de nombreuses possibilités de comprendre combien les marsupiaux sont différents de nous», selon le professeur Marilyn Renfree (Université de Melbourne). Parmi les caractéristiques biologiques étonnantes de ces kangourous, les chercheurs citent la très longue période de «suspension» du développement de l'embryon après la fécondation, «l'extrême synchronisation saisonnière» des naissances et l'allaitement prolongé et «sophistiqué». (www.20minutes.fr)
En Sierra Leone, on enseigne l'énergie solaire
«L'idée de l'énergie solaire était si étonnante que je devais en être partie prenante», explique Mary Dawo, une habitante du village de Romakeneh. La voilà partie en Inde avec 11 autres femmes originaires elles aussi de villages sierra-léonais afin d'apprendre à fabriquer des batteries solaires, raconte un article du Mail & Guardian le 18 août. Ces femmes, pour la plupart illettrées, vivaient «au jour le jour, de l'agriculture de subsistance», souligne le quotidien sud-africain. Elles ont quitté leur campagne, pris l'avion, parcouru 9.654 km pour apprendre à «fabriquer de la lumière avec le soleil», selon leurs propres mots. (www.slate.fr)
Source: Yahoo News
Référencement Internet et création de sites Web ICI
«La nature est presque partout. Mais où qu'elle soit, il y a une chose que la nature n'est pas: c'est pure». Cette phrase est extraite du livre publié aux Etats-Unis par la journaliste scientifique Emma Marris Rambunctious Garden: Saving Nature in a Post-Wild World (Jardin en liberté: Sauver la nature dans un monde post-sauvage) qui devrait provoquer un sérieux débat sur ce que signifie protéger et sauver la nature.
Elle espose ainsi sa thèse: «Nous devons regarder avec précaution la notion romantique d'une nature sauvage inviolée et adopter une notion plus nuancée d'un jardin mondial semi-sauvage que nous devons gérer.» (www.slate.fr)
Le génome du kangourou décrypté
Le génome du Macropus eugenii, petit kangourou australien, a été décrypté par un consortium international associant des scientifiques de cinq pays (Australie, Etats-Unis, Japon, Angleterre, Allemagne). «C'est le premier représentant de ces mammifères sauteurs symbolisant l'Australie dont le génome est séquencé», relèvent les chercheurs dans l'article paraissant dans la revue Genome Biology, gratuitement accessible en ligne. «Le séquençage du tammar walliby nous a fourni de nombreuses possibilités de comprendre combien les marsupiaux sont différents de nous», selon le professeur Marilyn Renfree (Université de Melbourne). Parmi les caractéristiques biologiques étonnantes de ces kangourous, les chercheurs citent la très longue période de «suspension» du développement de l'embryon après la fécondation, «l'extrême synchronisation saisonnière» des naissances et l'allaitement prolongé et «sophistiqué». (www.20minutes.fr)
En Sierra Leone, on enseigne l'énergie solaire
«L'idée de l'énergie solaire était si étonnante que je devais en être partie prenante», explique Mary Dawo, une habitante du village de Romakeneh. La voilà partie en Inde avec 11 autres femmes originaires elles aussi de villages sierra-léonais afin d'apprendre à fabriquer des batteries solaires, raconte un article du Mail & Guardian le 18 août. Ces femmes, pour la plupart illettrées, vivaient «au jour le jour, de l'agriculture de subsistance», souligne le quotidien sud-africain. Elles ont quitté leur campagne, pris l'avion, parcouru 9.654 km pour apprendre à «fabriquer de la lumière avec le soleil», selon leurs propres mots. (www.slate.fr)
Source: Yahoo News
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