Le premier séisme, de magnitude 7,6, selon le centre d'études géologiques américain, s'est produit dans l'océan Indien à environ 260km des îles Andaman (Inde). La secousse, à 33 km de profondeur, a eu lieu à quelque 365km au sud/sud-ouest de la Birmanie, à 825km à l'ouest de Bangkok et à 2.295km au sud-est de New Delhi. Il a été suivi 15 minutes plus tard par une réplique de plus faible intensité.
La surveillance régionale des tsunamis, qui avait été activée pour l'Inde, la Birmanie, l'Indonésie, la Thaïlande et le Bangladesh, a ensuite été levée.
En décembre 2004, un séisme de magnitude 9 au large de Sumatra, accompagné d'un tsunami, avait causé la mort de 230.000 personnes dans une dizaine de pays de l'Océan indien.
A Port Blair, dans les îles Andaman, T. Ramakrishnan, responsable de la police locale, a expliqué que la secousse n'avait fait ni victimes ni dégât, mais déclenché la panique dans la population, réveillant le souvenir de 2004.
Au Japon en revanche, une personne a été tuée et plusieurs autres blessées dans le séisme de magnitude 6,5 qui a frappé Tokyo et sa région peu après le lever du jour. La circulation ferroviaire, interrompue, n'avait toujours pas repris plusieurs heures plus tard, et deux réacteurs nucléaires arrêtés pour vérifications de sécurité.
Selon la police, une femme de 43 ans a été tuée par la chute de débris et au moins 63 personnes ont été blessées. La chaîne publique NHK faisait quant à elle état de plus de 80 blessés légers.
L'agence météorologique japonaise avait également diffusé une alerte au tsunami, qui a été levée ensuite. L'épicentre du séisme se trouvait au large de Suruga Bay, au sud-ouest de Tokyo, à 20 km de profondeur.
Bien que probablement sans relation entre eux, ces deux séismes ont frappé à dix minutes d'intervalle.
Au Japon, les deux réacteurs de la centrale nucléaire de Hamaoka ont été provisoirement fermés pour vérification, même si selon la compagnie électrique Chubu, aucune anomalie n'avait été détectée dans un premier temps. Les réacteurs s'arrêtent automatiquement quand un séisme d'une certaine intensité est enregistré. Une inspection complète devait avoir lieu avant la reprise des opérations.
Un premier séisme de magnitude 6,9 avait déjà secoué la région de Tokyo dimanche, sans faire de victimes ni de dégâts. Le Japon est l'un des pays le plus fréquemment touchés par les séismes au monde. En 1995, une secousse de 7,2 avait fait 6.400 morts à Kobe, dans l'ouest de l'archipel. Et selon les experts, il y a 90% de risques que Tokyo soit frappée par un tremblement de terre majeur dans les 50 années à venir.
Source: Associated Presse via Yahoo News
La surveillance régionale des tsunamis, qui avait été activée pour l'Inde, la Birmanie, l'Indonésie, la Thaïlande et le Bangladesh, a ensuite été levée.
En décembre 2004, un séisme de magnitude 9 au large de Sumatra, accompagné d'un tsunami, avait causé la mort de 230.000 personnes dans une dizaine de pays de l'Océan indien.
A Port Blair, dans les îles Andaman, T. Ramakrishnan, responsable de la police locale, a expliqué que la secousse n'avait fait ni victimes ni dégât, mais déclenché la panique dans la population, réveillant le souvenir de 2004.
Au Japon en revanche, une personne a été tuée et plusieurs autres blessées dans le séisme de magnitude 6,5 qui a frappé Tokyo et sa région peu après le lever du jour. La circulation ferroviaire, interrompue, n'avait toujours pas repris plusieurs heures plus tard, et deux réacteurs nucléaires arrêtés pour vérifications de sécurité.
Selon la police, une femme de 43 ans a été tuée par la chute de débris et au moins 63 personnes ont été blessées. La chaîne publique NHK faisait quant à elle état de plus de 80 blessés légers.
L'agence météorologique japonaise avait également diffusé une alerte au tsunami, qui a été levée ensuite. L'épicentre du séisme se trouvait au large de Suruga Bay, au sud-ouest de Tokyo, à 20 km de profondeur.
Bien que probablement sans relation entre eux, ces deux séismes ont frappé à dix minutes d'intervalle.
Au Japon, les deux réacteurs de la centrale nucléaire de Hamaoka ont été provisoirement fermés pour vérification, même si selon la compagnie électrique Chubu, aucune anomalie n'avait été détectée dans un premier temps. Les réacteurs s'arrêtent automatiquement quand un séisme d'une certaine intensité est enregistré. Une inspection complète devait avoir lieu avant la reprise des opérations.
Un premier séisme de magnitude 6,9 avait déjà secoué la région de Tokyo dimanche, sans faire de victimes ni de dégâts. Le Japon est l'un des pays le plus fréquemment touchés par les séismes au monde. En 1995, une secousse de 7,2 avait fait 6.400 morts à Kobe, dans l'ouest de l'archipel. Et selon les experts, il y a 90% de risques que Tokyo soit frappée par un tremblement de terre majeur dans les 50 années à venir.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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