Série de meurtres en Essonne: A nouveau entendu, le premier suspect clame son innocence
Michel C. a clamé son innocence ce mercredi devant le juge d'instruction d'Evry qui l'entendait une nouvelle fois dans le cadre de l'enquête sur les quatre meurtres commis en Essonne depuis novembre 2011. Cet homme de 46 ans a été placé en détention provisoire début décembre pour l'assassinat de Nathalie D., la première victime de la série. Il est donc, de fait, mis hors de cause dans les trois meurtres des 22 février, 17 mars et 5 avril 2012, mais les enquêteurs s'interrogent sur ses proches. Agé de 46 ans, le suspect avait avoué devant les policiers avant de se rétracter devant le magistrat instructeur. Son avocate, Me Nadine Meydiot, estime qu'il est en détention «pour rien» et que ses aveux initiaux pourraient s'expliquer par «les conditions de sa garde à vue». «Il est toujours sur sa ligne de défense, à savoir qu'il est innocent, qu'il n'a pas d'arme, qu'il n'a pas tenu cette arme-là et qu'il ne comprend pas pourquoi on fait l'amalgame avec celui qui est dehors», a indiqué l'avocate à la presse.(20minutes.fr) Tous les meurtriers en série clament haut et fort leur innocence.
Les complices de la cavale de Treiber devant la justice
Le meurtrier présumé de Géraldine Giraud et Katia Lherbier avait nargué la police fin 2009. Il avait alors échappé aux enquêteurs pendant six semaines, faisant croire qu'il survivait seul dans la forêt. Le «réseau Treiber» est jeudi devant le tribunal correctionnel d'Auxerre. Trois hommes et une femme qui durant la folle cavale de plus de deux mois de Jean-Pierre Treiber, en 2009, lui avaient prêté main-forte en lui offrant gîte et couvert. À l'époque, Jean-Pierre Treiber , que l'on croit caché dans les bois, qui médiatise sa fuite et qui défie 200 enquêteurs à ses trousses, est l'homme le plus recherché de France. Soupçonné du double meurtre de Géraldine Giraud et de Katia Lherbier dans l'Yonne en 2004, cet ancien garde-chasse est parvenu à s'évader de la prison d'Auxerre, le 8 septembre 2009. Il s'est caché dans un double fond creusé dans un des cartons qu'il confectionnait à l'atelier de la maison d'arrêt. Après cette rocambolesque évasion, Jean-Pierre Treiber n'avait eu de cesse de faire parler de lui. Par des lettres à sa petite amie notamment et qui avaient fini dans les pages de divers journaux.(lefigaro.fr) C'était tout de même une partie à deux cent contre cinq.
Mutinerie à la prison de Rennes: Des fouilles ciblées sur un islamiste radical présumé à l'origine de la révolte
Les circonstances de la mutinerie survenue mardi au centre pénitentiaire de Vezin, près de Rennes (Ille-et-Vilaine), se font plus précises. Selon une source syndicale, l'un des meneurs serait un détenu âgé de 52 ans, identifié par l'administration pénitentiaire comme islamiste radical. Depuis la tuerie de Toulouse, des fouilles ciblées sur ce profil de détenus seraient menées de manière «régulière» dans les prisons. L'individu n'aurait pas supporté cette mesure et aurait agressé un surveillant en compagnie de trois autres détenus, âgés d'une vingtaine d'années. Après avoir semé la pagaille dans le centre de détention de l'établissement, les quatre détenus ont été arrêtés un peu plus tard dans la soirée puis placés en garde à vue. Contactée, la direction de la prison n'a pas souhaité donner plus de précisions. Un détenu a par ailleurs tenté de s'évader de l'établissement ce mercredi midi.(20minutes.fr) Cet islamiste a tout de même réussie à soulever le bas peuple d'une prison, soulèvement de moindre qualité, mais soulèvement quand même.
Source: Yahoo actualités
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Michel C. a clamé son innocence ce mercredi devant le juge d'instruction d'Evry qui l'entendait une nouvelle fois dans le cadre de l'enquête sur les quatre meurtres commis en Essonne depuis novembre 2011. Cet homme de 46 ans a été placé en détention provisoire début décembre pour l'assassinat de Nathalie D., la première victime de la série. Il est donc, de fait, mis hors de cause dans les trois meurtres des 22 février, 17 mars et 5 avril 2012, mais les enquêteurs s'interrogent sur ses proches. Agé de 46 ans, le suspect avait avoué devant les policiers avant de se rétracter devant le magistrat instructeur. Son avocate, Me Nadine Meydiot, estime qu'il est en détention «pour rien» et que ses aveux initiaux pourraient s'expliquer par «les conditions de sa garde à vue». «Il est toujours sur sa ligne de défense, à savoir qu'il est innocent, qu'il n'a pas d'arme, qu'il n'a pas tenu cette arme-là et qu'il ne comprend pas pourquoi on fait l'amalgame avec celui qui est dehors», a indiqué l'avocate à la presse.(20minutes.fr) Tous les meurtriers en série clament haut et fort leur innocence.
Les complices de la cavale de Treiber devant la justice
Le meurtrier présumé de Géraldine Giraud et Katia Lherbier avait nargué la police fin 2009. Il avait alors échappé aux enquêteurs pendant six semaines, faisant croire qu'il survivait seul dans la forêt. Le «réseau Treiber» est jeudi devant le tribunal correctionnel d'Auxerre. Trois hommes et une femme qui durant la folle cavale de plus de deux mois de Jean-Pierre Treiber, en 2009, lui avaient prêté main-forte en lui offrant gîte et couvert. À l'époque, Jean-Pierre Treiber , que l'on croit caché dans les bois, qui médiatise sa fuite et qui défie 200 enquêteurs à ses trousses, est l'homme le plus recherché de France. Soupçonné du double meurtre de Géraldine Giraud et de Katia Lherbier dans l'Yonne en 2004, cet ancien garde-chasse est parvenu à s'évader de la prison d'Auxerre, le 8 septembre 2009. Il s'est caché dans un double fond creusé dans un des cartons qu'il confectionnait à l'atelier de la maison d'arrêt. Après cette rocambolesque évasion, Jean-Pierre Treiber n'avait eu de cesse de faire parler de lui. Par des lettres à sa petite amie notamment et qui avaient fini dans les pages de divers journaux.(lefigaro.fr) C'était tout de même une partie à deux cent contre cinq.
Mutinerie à la prison de Rennes: Des fouilles ciblées sur un islamiste radical présumé à l'origine de la révolte
Les circonstances de la mutinerie survenue mardi au centre pénitentiaire de Vezin, près de Rennes (Ille-et-Vilaine), se font plus précises. Selon une source syndicale, l'un des meneurs serait un détenu âgé de 52 ans, identifié par l'administration pénitentiaire comme islamiste radical. Depuis la tuerie de Toulouse, des fouilles ciblées sur ce profil de détenus seraient menées de manière «régulière» dans les prisons. L'individu n'aurait pas supporté cette mesure et aurait agressé un surveillant en compagnie de trois autres détenus, âgés d'une vingtaine d'années. Après avoir semé la pagaille dans le centre de détention de l'établissement, les quatre détenus ont été arrêtés un peu plus tard dans la soirée puis placés en garde à vue. Contactée, la direction de la prison n'a pas souhaité donner plus de précisions. Un détenu a par ailleurs tenté de s'évader de l'établissement ce mercredi midi.(20minutes.fr) Cet islamiste a tout de même réussie à soulever le bas peuple d'une prison, soulèvement de moindre qualité, mais soulèvement quand même.
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