Dans une interview, la ministre de l'Economie estime que Washington, Londres et Berlin sont sur la même longueur d'ondes que la France avant ce rendez-vous des 24 et 25 septembre.
Priée de dire si elle pensait que des décisions concrètes seraient prises, elle a répondu : "J'en suis convaincue".
"Sur la supervision financière, nous avons bien avancé, en Europe comme aux Etats-Unis. Sur l'encadrement des rémunérations, les normes comptables et la gouvernance, il faut aller plus loin, entrer dans le détail", a-t-elle ajouté.
Nicolas Sarkozy a réuni mardi dernier les banques pour adopter une série de décisions afin de donner l'exemple avant le sommet des principaux dirigeants de la planète.
Le président français a annoncé que les banques françaises avaient accepté de mettre en œuvre les règles les plus contraignantes à ce jour en matière de bonus et s'est engagé à pousser les pays du G20 à aller aussi loin.
Parmi les règles imposées aux banquiers français figurent l'étalement dans le temps des bonus des traders à hauteur d'au moins 50% sur trois ans et la création d'un système de "malus" qui revient à l'annulation du versement de ces bonus différés si leur banque enregistre des pertes dans ses activités de marché.
L'ancien directeur général du Fonds monétaire international, Michel Camdessus, qui a été chargé par Nicolas Sarkozy de contrôler les grilles de rémunération des opérateurs de marché et de valider les 100 plus élevées dans chaque banque, a annoncé cette semaine que son travail dépendrait des résultats du G20.
Christine Lagarde a expliqué que la France avait choisi de ne pas surtaxer les bonus des traders pour éviter leur exode vers des cieux fiscalement plus intéressants.
"Dans ce domaine, une mesure nationale n'aurait servi à rien. Et son produit aurait été dérisoire au regard des risques de délocalisation", a-t-elle précisé.
Source: Reuters via Yahoo News
Priée de dire si elle pensait que des décisions concrètes seraient prises, elle a répondu : "J'en suis convaincue".
"Sur la supervision financière, nous avons bien avancé, en Europe comme aux Etats-Unis. Sur l'encadrement des rémunérations, les normes comptables et la gouvernance, il faut aller plus loin, entrer dans le détail", a-t-elle ajouté.
Nicolas Sarkozy a réuni mardi dernier les banques pour adopter une série de décisions afin de donner l'exemple avant le sommet des principaux dirigeants de la planète.
Le président français a annoncé que les banques françaises avaient accepté de mettre en œuvre les règles les plus contraignantes à ce jour en matière de bonus et s'est engagé à pousser les pays du G20 à aller aussi loin.
Parmi les règles imposées aux banquiers français figurent l'étalement dans le temps des bonus des traders à hauteur d'au moins 50% sur trois ans et la création d'un système de "malus" qui revient à l'annulation du versement de ces bonus différés si leur banque enregistre des pertes dans ses activités de marché.
L'ancien directeur général du Fonds monétaire international, Michel Camdessus, qui a été chargé par Nicolas Sarkozy de contrôler les grilles de rémunération des opérateurs de marché et de valider les 100 plus élevées dans chaque banque, a annoncé cette semaine que son travail dépendrait des résultats du G20.
Christine Lagarde a expliqué que la France avait choisi de ne pas surtaxer les bonus des traders pour éviter leur exode vers des cieux fiscalement plus intéressants.
"Dans ce domaine, une mesure nationale n'aurait servi à rien. Et son produit aurait été dérisoire au regard des risques de délocalisation", a-t-elle précisé.
Source: Reuters via Yahoo News
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