Mardi, plusieurs millions d'Américains se sont rendus aux urnes pour participer à la désignation de l'adversaire de Donald Trump qui briguera le 3 novembre un deuxième mandat de quatre ans. Après des résultats très décevants, le milliardaire américain Michael Bloomberg a décidé de se retirer de la primaire et de soutenir l’ancien vice-président Joe Biden.
«Il y a trois mois, j’ai présenté ma candidature à la présidentielle pour battre Donald Trump. Aujourd’hui, je me retire de la course pour la même raison: battre Donald Trump, car il est devenu clair à mes yeux que continuer aurait rendu plus difficile d’y parvenir», a-t-il déclaré dans un communiqué .Il a ajouté apporter son soutien à Joe Biden, qui représente comme lui l’aile modérée du parti démocrate, estimant qu’il était désormais le «meilleur» candidat pour battre le président républicain en novembre. Promettant d’être celui qui affrontera Donald Trump lors de la présidentielle de novembre, il s’est présenté comme un futur président capable de se «battre», mais aussi de «panser les plaies» des Etats-Unis, meurtris selon lui par «la haine et la division» semées par le milliardaire républicain.
Joe Biden, 77 ans, a devancé son grand rival, Bernie Sanders, 78 ans, dans neuf États: Texas, Virginie, Caroline du Nord, Alabama, Oklahoma, Tennessee, Arkansas, Minnesota, Massachusetts. Mais Joe Biden ne l'a pas emporté en Californie, État crucial en termes de nombre de délégués, ni dans le Vermont et au Colorado, Etats remportés par Bernie Sanders.
Michael Bloomberg, le candidat milliardaire, qui avait décidé de faire l'impasse sur les quatre premières étapes du marathon, a soumis pour la première fois son nom au suffrage des électeurs démocrates et indépendants. Et c'est une fameuse claque pour lui. Très loin derrière ses adversaires, il a en particulier obtenu des résultats médiocres en Virginie, État emblématique sur lequel il avait lourdement investi. Il n'a décroché le soutien que du petit territoire des Samoa américaines (six délégués).
Sa candidature aux primaires démocrates aura fait long feu. Michael Bloomberg a annoncé, mercredi 4 mars dans un communiqué, qu'il se retirait de la course pour soutenir Joe Biden. Le milliardaire a pris cette décision au lendemain de résultats très décevants lors du " Super Tuesday ". Dans la foulée, il a annoncé apporter son soutien à l'ancien vice-président, grand gagnant de ces scrutins dans quatorze Etats américains. "Il y a trois mois, j'ai présenté ma candidature à la présidentielle pour battre Donald Trump. Aujourd'hui, je me retire de la course pour la même raison : battre Donald Trump, car il est devenu clair à mes yeux que continuer aurait rendu plus difficile d'y parvenir", a-t-il expliqué. Selon lui, Joe Biden, qui représente comme lui l'aile modérée du Parti démocrate, est désormais le "meilleur" candidat pour battre le président républicain en novembre.
L'ex-maire de New York, qui s'est lancé très tardivement dans la course, a fait l'impasse sur les quatre premiers scrutins pour se concentrer sur le "Super Tuesday". Il espérait faire une entrée tonitruante dans les primaires, à grand renfort de clips de campagne et de dépenses sur sa fortune personnelle. Mais il n'est pas parvenu à créer la surprise, se classant troisième ou quatrième dans tous les scrutins, sauf les caucus des Samoa américaines. Il a notamment obtenu moins de 10% dans l'Etat emblématique de la Virginie, où il avait lourdement investi, selon les estimations du New York Times (lien en anglais) portant sur 99% des bureaux de vote.
"Le battage médiatique de Bloomberg a payé dans les sondages, mais sa dynamique a été interrompue par une mauvaise prestation lors du débat pour les primaires en Caroline du Sud, observe Lauric Henneton, maître de conférences à l'université de Versailles-Saint-Quentin et auteur de l'Atlas historique des Etats-Unis, interrogé par franceinfo." Par ailleurs, sa candidature n'avait de sens [pour les électeurs] qu'avec un Bernie Sanders nettement en tête et un Joe Biden inexistant", a poursuivi ce spécialiste des Etats-Unis.
«Il y a trois mois, j’ai présenté ma candidature à la présidentielle pour battre Donald Trump. Aujourd’hui, je me retire de la course pour la même raison: battre Donald Trump, car il est devenu clair à mes yeux que continuer aurait rendu plus difficile d’y parvenir», a-t-il déclaré dans un communiqué .Il a ajouté apporter son soutien à Joe Biden, qui représente comme lui l’aile modérée du parti démocrate, estimant qu’il était désormais le «meilleur» candidat pour battre le président républicain en novembre. Promettant d’être celui qui affrontera Donald Trump lors de la présidentielle de novembre, il s’est présenté comme un futur président capable de se «battre», mais aussi de «panser les plaies» des Etats-Unis, meurtris selon lui par «la haine et la division» semées par le milliardaire républicain.
Joe Biden, 77 ans, a devancé son grand rival, Bernie Sanders, 78 ans, dans neuf États: Texas, Virginie, Caroline du Nord, Alabama, Oklahoma, Tennessee, Arkansas, Minnesota, Massachusetts. Mais Joe Biden ne l'a pas emporté en Californie, État crucial en termes de nombre de délégués, ni dans le Vermont et au Colorado, Etats remportés par Bernie Sanders.
Michael Bloomberg, le candidat milliardaire, qui avait décidé de faire l'impasse sur les quatre premières étapes du marathon, a soumis pour la première fois son nom au suffrage des électeurs démocrates et indépendants. Et c'est une fameuse claque pour lui. Très loin derrière ses adversaires, il a en particulier obtenu des résultats médiocres en Virginie, État emblématique sur lequel il avait lourdement investi. Il n'a décroché le soutien que du petit territoire des Samoa américaines (six délégués).
Sa candidature aux primaires démocrates aura fait long feu. Michael Bloomberg a annoncé, mercredi 4 mars dans un communiqué, qu'il se retirait de la course pour soutenir Joe Biden. Le milliardaire a pris cette décision au lendemain de résultats très décevants lors du " Super Tuesday ". Dans la foulée, il a annoncé apporter son soutien à l'ancien vice-président, grand gagnant de ces scrutins dans quatorze Etats américains. "Il y a trois mois, j'ai présenté ma candidature à la présidentielle pour battre Donald Trump. Aujourd'hui, je me retire de la course pour la même raison : battre Donald Trump, car il est devenu clair à mes yeux que continuer aurait rendu plus difficile d'y parvenir", a-t-il expliqué. Selon lui, Joe Biden, qui représente comme lui l'aile modérée du Parti démocrate, est désormais le "meilleur" candidat pour battre le président républicain en novembre.
L'ex-maire de New York, qui s'est lancé très tardivement dans la course, a fait l'impasse sur les quatre premiers scrutins pour se concentrer sur le "Super Tuesday". Il espérait faire une entrée tonitruante dans les primaires, à grand renfort de clips de campagne et de dépenses sur sa fortune personnelle. Mais il n'est pas parvenu à créer la surprise, se classant troisième ou quatrième dans tous les scrutins, sauf les caucus des Samoa américaines. Il a notamment obtenu moins de 10% dans l'Etat emblématique de la Virginie, où il avait lourdement investi, selon les estimations du New York Times (lien en anglais) portant sur 99% des bureaux de vote.
"Le battage médiatique de Bloomberg a payé dans les sondages, mais sa dynamique a été interrompue par une mauvaise prestation lors du débat pour les primaires en Caroline du Sud, observe Lauric Henneton, maître de conférences à l'université de Versailles-Saint-Quentin et auteur de l'Atlas historique des Etats-Unis, interrogé par franceinfo." Par ailleurs, sa candidature n'avait de sens [pour les électeurs] qu'avec un Bernie Sanders nettement en tête et un Joe Biden inexistant", a poursuivi ce spécialiste des Etats-Unis.
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