Sarkozy veut une primaire ouverte, mais tempère la concurrence: "Pour qu'il y ait le succès d'un ou d'une en 2017, il faut d'abord qu'il y ait la reconstruction collective et le succès collectif d'une famille politique dont le devoir est de créer les conditions d'une alternance". "Ça compte davantage que de savoir si on s'aime ou si on s'aime un peu moins". … "Qu'il y ait des ambitions, c'est moi qui vais les reprocher, alors que toute ma vie j'ai porté cette ambition?" A une question sur la fiabilité des primaires quant à la désignation du meilleur candidat pour l'Elysée, Nicolas Sarkozy a répondu d'un sourire, dans une allusion implicite à François Hollande, vainqueur de la primaire socialiste de 2011 : "Pas sûr, pas sûr du tout". Le message semblait valoir aussi pour sa famille politique. Soupçonné de vouloir escamoter la primaire d'investiture prévu par les nouveax statuts de l'UMP, Nicolas Sarkozy a voulu clore le débat : "Je voudrais que maintenant on n'en parle plus, que ce ne soit pas l'occasion de querelles entre nous". (Reuters)
Trois anciens responsables de l'UMP ont été placés en garde à vue jeudi dans le cadre de l'affaire Bygmalion, un système présumé de fausses factures durant la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012, a-t-on appris de source judiciaire. Il s'agit de l'ancien directeur général Eric Cesari, proche de Nicolas Sarkozy, de l'ex-directrice des affaires financières Fabienne Liadzé et de l'ancien directeur de la communication Pierre Chassat, a-t-on précisé de source proche de l'enquête. Interpellés à leur domicile, ils étaient entendus à l'Office central de lutte contre la corruption, à Nanterre (Hauts-de-Seine). Mercredi, trois anciens cadres de la société de communication ont été mis en examen dans ce dossier. Bastien Millot et Guy Alvès, les deux fondateurs de Bygmalion, sont poursuivis pour complicité de faux et complicité d'usage de faux, tandis que Franck Attal, l'ancien patron de la filiale événementielle de Bygmalion, Event & Cie, est mis en examen pour faux et usage de faux. (Reuters)
Jacques Chirac soutient Alain Juppé pour 2017: Jacques Chirac dit soutenir Alain Juppé comme candidat de la droite à l'élection présidentielle de 2017, quelques jours après les critiques de son épouse, qui a dit préférer Nicolas Sarkozy au maire de Bordeaux. "Si j'en avais l'énergie, j'aurais déjà réservé ma place, même une petite, à son QG", a déclaré l'ancien président de la République au Figaro daté de jeudi. "J'ai toujours su qu'Alain Juppé serait au rendez-vous de son destin et de celui de la France", a ajouté Jacques Chirac. "Peu de choses pouvaient me faire plus plaisir, pour moi-même, pour lui et surtout pour notre pays." L'ancien Premier ministre a déclaré jeudi soir qu'il n'était pas surpris de ce soutien, rappelant ses liens anciens avec l'ancien président. (Reuters)
Trois anciens responsables de l'UMP ont été placés en garde à vue jeudi dans le cadre de l'affaire Bygmalion, un système présumé de fausses factures durant la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012, a-t-on appris de source judiciaire. Il s'agit de l'ancien directeur général Eric Cesari, proche de Nicolas Sarkozy, de l'ex-directrice des affaires financières Fabienne Liadzé et de l'ancien directeur de la communication Pierre Chassat, a-t-on précisé de source proche de l'enquête. Interpellés à leur domicile, ils étaient entendus à l'Office central de lutte contre la corruption, à Nanterre (Hauts-de-Seine). Mercredi, trois anciens cadres de la société de communication ont été mis en examen dans ce dossier. Bastien Millot et Guy Alvès, les deux fondateurs de Bygmalion, sont poursuivis pour complicité de faux et complicité d'usage de faux, tandis que Franck Attal, l'ancien patron de la filiale événementielle de Bygmalion, Event & Cie, est mis en examen pour faux et usage de faux. (Reuters)
Jacques Chirac soutient Alain Juppé pour 2017: Jacques Chirac dit soutenir Alain Juppé comme candidat de la droite à l'élection présidentielle de 2017, quelques jours après les critiques de son épouse, qui a dit préférer Nicolas Sarkozy au maire de Bordeaux. "Si j'en avais l'énergie, j'aurais déjà réservé ma place, même une petite, à son QG", a déclaré l'ancien président de la République au Figaro daté de jeudi. "J'ai toujours su qu'Alain Juppé serait au rendez-vous de son destin et de celui de la France", a ajouté Jacques Chirac. "Peu de choses pouvaient me faire plus plaisir, pour moi-même, pour lui et surtout pour notre pays." L'ancien Premier ministre a déclaré jeudi soir qu'il n'était pas surpris de ce soutien, rappelant ses liens anciens avec l'ancien président. (Reuters)
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