Les châteaux et les cathédrales de Fillon
S’il n’y avait le viol de Théo à la matraque, la voiture de police cramée et cette arrogance d’hommes et de femmes politiques dans l’apologie qu’ils font de la police (on m’annonce que près de 50% des effectifs serait tenté par Marine Le Pen), il n’y aurait pas trop à s’inquiéter : notre police, sauf sous le régime de Vichy, serait républicaine y compris quand elle obéit à des circonstances ou des ordres incompatible avec l'éthique républicaine. Mais voilà que la parole fasciste se libère et que l’on reparle des « cosmopolites ». Allons-nous revenir aux ratonnades, ressusciter les cagoulards ? A propos de ratonnade, n’est-ce pas ce que fait Fillon en écartant, dans sa rhétorique, tous ceux qui n’ont pas pour priorité de défendre les cathédrales et les châteaux mais seulement leur survie sociale en HLM ?
Pour ces derniers, on prépare de l’austérité et des suppressions de postes dans la fonction publique, l’augmentation du temps de travail à 39 heures pour être payé 35. Et quand à la lutte contre le chômage, s’en prévaloir, c’est oublier qu’une entreprise ne se crée jamais dans le but d’embaucher mais dans celui de générer des profits. Le salarié, lui, n’est qu’une machine-outil dont il faut absolument se débarrasser dès lors que les profits qu’il procure sont jugés insuffisants.
Nous voilà donc payés juste pour ne pas crever de faim à ne pouvoir manger que ce que décide pour nous l’industrie agro-alimentaire. Le bio, c’est pour les autres ! C’est ainsi que nous sommes relégués au rang d’objets de consommation et de production. Vous le savez : notre système économique et social ne profite pas au plus grand nombre mais aux plus forts, aux plus riches. Ceux qui font de leur mandat électoral une PME familiale sont convoqués par les juges mais s’en fichent car ils savent que la prison n’est pas faites pour eux - eux qui ont montré patte blanche et offrent à la justice des garanties d’un patrimoine même détourné.
Bref, vous savez ce que c’est l’austérité : les plus pauvres d’entre nous vont trinquer et le pire est que nous le devrons à une gauche dont les leaders se préoccupent plus des comptes de campagnes et de leur propre ego que de l’intérêt général, non seulement de la France mais de tous ses habitants.
Alors que faire ? Pour qui voter ? De toute évidence les statisticiens et leurs bailleurs de fonds ont pris leur décision. Donc, notre vote : aucune importance !
L’essentiel serait plutôt de se grouper, de ne plus compter sur le salariat, de le rejeter définitivement en l’abolissant. Encore faut-il que nous parvenions par la force des synergies à mettre fin à la France des monopoles, y compris ceux des corporatismes et ceux non régaliens de l’Etat.
Cette contribution est à continuer…. Par moi, peut-être où par ceux d’entre vous qui voudraient utiliser la zone commentaire.
Pour ces derniers, on prépare de l’austérité et des suppressions de postes dans la fonction publique, l’augmentation du temps de travail à 39 heures pour être payé 35. Et quand à la lutte contre le chômage, s’en prévaloir, c’est oublier qu’une entreprise ne se crée jamais dans le but d’embaucher mais dans celui de générer des profits. Le salarié, lui, n’est qu’une machine-outil dont il faut absolument se débarrasser dès lors que les profits qu’il procure sont jugés insuffisants.
Nous voilà donc payés juste pour ne pas crever de faim à ne pouvoir manger que ce que décide pour nous l’industrie agro-alimentaire. Le bio, c’est pour les autres ! C’est ainsi que nous sommes relégués au rang d’objets de consommation et de production. Vous le savez : notre système économique et social ne profite pas au plus grand nombre mais aux plus forts, aux plus riches. Ceux qui font de leur mandat électoral une PME familiale sont convoqués par les juges mais s’en fichent car ils savent que la prison n’est pas faites pour eux - eux qui ont montré patte blanche et offrent à la justice des garanties d’un patrimoine même détourné.
Bref, vous savez ce que c’est l’austérité : les plus pauvres d’entre nous vont trinquer et le pire est que nous le devrons à une gauche dont les leaders se préoccupent plus des comptes de campagnes et de leur propre ego que de l’intérêt général, non seulement de la France mais de tous ses habitants.
Alors que faire ? Pour qui voter ? De toute évidence les statisticiens et leurs bailleurs de fonds ont pris leur décision. Donc, notre vote : aucune importance !
L’essentiel serait plutôt de se grouper, de ne plus compter sur le salariat, de le rejeter définitivement en l’abolissant. Encore faut-il que nous parvenions par la force des synergies à mettre fin à la France des monopoles, y compris ceux des corporatismes et ceux non régaliens de l’Etat.
Cette contribution est à continuer…. Par moi, peut-être où par ceux d’entre vous qui voudraient utiliser la zone commentaire.
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