Des tatoueurs et des perceurs formés à la santé
Depuis 2008, tout professionnel du tatouage et du piercing doit suivre pour exercer son métier, une formation spécifiques aux conditions d'hygiène et de salubrité.
Utilisation de désinfectants, organisation d'un environnement propre, procédure de lavage des mains, pose d'un pansement antiseptique… « Ces règles de base sont les mêmes que celles appliquées par les professionnels de santé, en termes d'asepsie », rappelle Dominique Guilloton. Ces connaissances sont nécessaires pour protéger la santé du client bien sûr, mais aussi du travailleur. Il doit en effet savoir réagir en cas d'accident infectieux avec risque de transmission sanguine, et connaître ses obligations vaccinales. Cette année, « le programme de la formation s'est enrichi d'un nouveau thème : la sensibilité et la douleur. Il nous a été demandé par les tatoueurs et esthéticiennes pratiquant le maquillage permanent notamment », raconte Dominique Guilloton. (www.destinationsante.com)
Le détatouage laser
Nous l'avons vu récemment, l'art du tatouage qui fait de plus en plus d'adeptes atteint son apogée ces dernières années et ce n'est pas sans conséquences. Constatons que celui-ci entraîne dans son ascension une pratique bien plus modeste mais presque tout aussi concernée par le sujet: le détatouage.
En effet, victimes de scratchers, d'erreurs de jeunesse, ou encore désireux de faire un cover, nombreux sont ceux qui empruntent la voie du laser. Les professionnels du tatouage le savent et il n'y a qu'à voir, au delà de l'affluence insoupçonnable dans les salles d'attente des dermatologues, les fournisseurs de matos tattoo n'hésitent plus à proposer le matériel nécessaire au détatouage. Paradoxalement, ils trouvent bel et bien preneurs auprès des tatoueurs qui sont de plus en plus nombreux à équiper leur shop afin de s'improviser médecins laseristes entre deux séances de tatouage. (www.fatbooktattoo.com)
Pourquoi certains anesthésistes refusent de piquer dans un tatouage ?
Il s'agit d'un principe de précaution qui repose sur un seul (maudit) article publié en 2002 dans la presse médicale dite de référence... Des anesthésistes canadiens ont cru bon d’alerter le milieu médical sur un risque théorique de "carottage des pigments" : lors de la piqûre de la peau tatouée, l’aiguille pourrait selon eux emporter avec elle les pigments situés dans le derme, puis les déposer plus profondément au niveau de l’enveloppe de la moelle. Ce "carottage", toujours en théorie, pourrait entraîner à long terme le développement de tumeurs ou d’une inflammation causées par la présence de ces corps étrangers...
S’ajoute à cela le fait que la composition précise des encres est souvent mal connue, voire totalement inconnue : du coup, les effets de l’introduction de pigments à l’endroit de la péridurale sont parfaitement inconnus. Autrement dit, nous sommes bien là face à un risque purement théorique. Les anesthésistes sont d’ailleurs en désaccord sur la question, et certains considèrent que ce risque n’existe pas... (www.patrickchaudesaigues.com)
Tatouage Polynésien : histoire, symbolique
Chez les hommes, le tatouage commençait généralement très tôt, entre 11 et 12 ans. Il fallait généralement attendre la trentaine pour compléter leur panoplie de tatouages sur tout le corps. Chez les femmes, le tatouage avait une vocation plus ornementale et destinée à la séduction. Les motifs sont donc dès l’origine plus localisés sur les parties charnues, comme un attrait sexuel plus élégant, une véritable parure. Les filles étaient tatouées dès 8 ans afin d’arriver avec des tatouages à l’âge de la puberté. Les tataus des femmes polynésiennes sont constitués généralement de fines lignes sur la tête, qui suivent de contour des lèvres. Sont également tatoués le bas du dos, les jambes et les épaules. Les mains et les doigts étaient recouverts de tatouages particulièrement fins et aux motifs travaillés comme des parures de bijoux. Les femmes Polynésiennes aux mains et pieds non tatoués étaient généralement considérées comme laides et repoussantes. (www.tattoo-tatouages.com)
Source Web
Depuis 2008, tout professionnel du tatouage et du piercing doit suivre pour exercer son métier, une formation spécifiques aux conditions d'hygiène et de salubrité.
Utilisation de désinfectants, organisation d'un environnement propre, procédure de lavage des mains, pose d'un pansement antiseptique… « Ces règles de base sont les mêmes que celles appliquées par les professionnels de santé, en termes d'asepsie », rappelle Dominique Guilloton. Ces connaissances sont nécessaires pour protéger la santé du client bien sûr, mais aussi du travailleur. Il doit en effet savoir réagir en cas d'accident infectieux avec risque de transmission sanguine, et connaître ses obligations vaccinales. Cette année, « le programme de la formation s'est enrichi d'un nouveau thème : la sensibilité et la douleur. Il nous a été demandé par les tatoueurs et esthéticiennes pratiquant le maquillage permanent notamment », raconte Dominique Guilloton. (www.destinationsante.com)
Le détatouage laser
Nous l'avons vu récemment, l'art du tatouage qui fait de plus en plus d'adeptes atteint son apogée ces dernières années et ce n'est pas sans conséquences. Constatons que celui-ci entraîne dans son ascension une pratique bien plus modeste mais presque tout aussi concernée par le sujet: le détatouage.
En effet, victimes de scratchers, d'erreurs de jeunesse, ou encore désireux de faire un cover, nombreux sont ceux qui empruntent la voie du laser. Les professionnels du tatouage le savent et il n'y a qu'à voir, au delà de l'affluence insoupçonnable dans les salles d'attente des dermatologues, les fournisseurs de matos tattoo n'hésitent plus à proposer le matériel nécessaire au détatouage. Paradoxalement, ils trouvent bel et bien preneurs auprès des tatoueurs qui sont de plus en plus nombreux à équiper leur shop afin de s'improviser médecins laseristes entre deux séances de tatouage. (www.fatbooktattoo.com)
Pourquoi certains anesthésistes refusent de piquer dans un tatouage ?
Il s'agit d'un principe de précaution qui repose sur un seul (maudit) article publié en 2002 dans la presse médicale dite de référence... Des anesthésistes canadiens ont cru bon d’alerter le milieu médical sur un risque théorique de "carottage des pigments" : lors de la piqûre de la peau tatouée, l’aiguille pourrait selon eux emporter avec elle les pigments situés dans le derme, puis les déposer plus profondément au niveau de l’enveloppe de la moelle. Ce "carottage", toujours en théorie, pourrait entraîner à long terme le développement de tumeurs ou d’une inflammation causées par la présence de ces corps étrangers...
S’ajoute à cela le fait que la composition précise des encres est souvent mal connue, voire totalement inconnue : du coup, les effets de l’introduction de pigments à l’endroit de la péridurale sont parfaitement inconnus. Autrement dit, nous sommes bien là face à un risque purement théorique. Les anesthésistes sont d’ailleurs en désaccord sur la question, et certains considèrent que ce risque n’existe pas... (www.patrickchaudesaigues.com)
Tatouage Polynésien : histoire, symbolique
Chez les hommes, le tatouage commençait généralement très tôt, entre 11 et 12 ans. Il fallait généralement attendre la trentaine pour compléter leur panoplie de tatouages sur tout le corps. Chez les femmes, le tatouage avait une vocation plus ornementale et destinée à la séduction. Les motifs sont donc dès l’origine plus localisés sur les parties charnues, comme un attrait sexuel plus élégant, une véritable parure. Les filles étaient tatouées dès 8 ans afin d’arriver avec des tatouages à l’âge de la puberté. Les tataus des femmes polynésiennes sont constitués généralement de fines lignes sur la tête, qui suivent de contour des lèvres. Sont également tatoués le bas du dos, les jambes et les épaules. Les mains et les doigts étaient recouverts de tatouages particulièrement fins et aux motifs travaillés comme des parures de bijoux. Les femmes Polynésiennes aux mains et pieds non tatoués étaient généralement considérées comme laides et repoussantes. (www.tattoo-tatouages.com)
Source Web
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