Des petits pois lui poussent dans le poumon

Un journaliste détruit la sculpture sur glace d’un artiste, en images
Présent lors d'un festival, un journaliste a maladroitement détruit la sculpture de glace d'un artiste qui a semblé visiblement en colère après ce geste. Micro au poing, le journaliste a entrepris d'interviewer un sculpteur sur glace présent sur son chemin. Lorsqu'il lui a demandé de dévoiler les ficelles du métier et la difficulté d'un tel travail, l'artiste l'a laissé poser sa main sur la statue. Par accident, le journaliste a fait basculer l'oeuvre de glace qui s'est alors brisée sur le sol en plusieurs morceaux.L'artiste n'en a pas cru ses yeux et paraissait en colère de voir son travail ainsi ruiné par un journaliste.(zigonet)

Des petits pois lui poussent dans le poumon
Souffrant depuis des mois d'un emphysème pulmonaire, un Américain s'est vu remettre un diagnostic inattendu : un pois était en train de pousser dans son poumon. Selon les médecins, Ron Sveden, un professeur à la retraite âgé de 75 ans, aurait mangé un petit pois qui serait "passé par le mauvais chemin" et a germé dans son poumon. Le verdict soulage en tout cas le patient. Il craignait que les radios révèlent plutôt en cancer des poumons. "Un des premiers repas que j'ai eu à l'hôpital après l'opération contenait des petit pois. J'ai ri de moi-même et je les ai mangés", s'amuse Sveden. La plante qu'on lui a retiré mesurait 1,25 cm.(fluctuat)

Les vacances, c'est aussi acheter des produits qu'on n'utilisera jamais!
Les vacances ont ce merveilleux pouvoir de faire de chacun de nous des gogos en puissance, des victimes consentantes et dociles pour les filous, les coquins, le fripons des cités balnéaires, des marchés paysans et des foires en tous genres. L'acheteur potentiel, libéré du stress de la vie professionnelle, débarrassé des innombrables obligations de son quotidien banal, se laisse aller aux discours aguicheurs des arnaqueurs patentés, des enjôleurs de nos bourses déliées, des aboyeurs de nos marchés. Tout est prétexte à achat inconsidéré. La bouffe est devenue l'eldorado de la supercherie mercantile. Il faut s'attribuer des certificats d'authenticité, des marques de terroir, des garanties de pureté pour prendre le chaland dans les filets de prix exorbitants : garantie irréfutable de la qualité supposée. Du saucisson à la purée d'oignons aux fromages des mouflonnes de nos montagnes, plus c'est original, plus le touriste se laisse prendre. Il reste encore et c'est heureux, les vendeurs de l'impossible ustensile ménager, celui qui fut enfanté lors des amours ancillaires de la mère Denis et de monsieur Propre. L'homme s'installe, le micro à la place de la cravate sur une estrade plus haute que celle de notre président; Il arrange, il déblatère, il ratiocine et l'attroupement qui se crée autour de lui partira bientôt avec l'éponge à gratter les tâches de beurre, le balai à dépoussiérer les appuis de fenêtre.(lepost)

Source: Yahoo Actualités