A 11H45, l'indice vedette perdait 86,29 points à 2.887,63 points dans un volume d'échanges de 789 millions d'euros. Vendredi, il avait lâché 1,19%.
Le système financier, notamment aux Etats-Unis, reste dans la ligne de mire des investisseurs.
Les spéculations vont bon train sur un plan gouvernemental américain de rachat massif des actifs "pourris", au travers la création de "bad banks" (structure de défaisance).
En Allemagne, un porte-parole du gouvernement a prévenu qu'il "ne fallait pas s'attendre à une solution à court terme" concernant de telles structures, estimant que le problème était "très lourd."
"L'inquiétude vient du fait de savoir ce que l'on met dans une structure de défaisance et ce qui pourrait en sortir comme mauvaises nouvelles", a commenté Yves Marçais, vendeur d'actions chez Global Equities.
La publication de la seconde estimation de l'indice des directeurs d'achats (PMI) du secteur manufacturier de la zone euro pour le mois de janvier, qui a été revu en baisse, à 34,4 points contre 33,9 points en décembre, a aussi pesé sur le marché.
Les bancaires chutent, BNP Paribas perdant 11,86% à 26,45 euros, Crédit Agricole 7,55% à 8,82 euros et Société Générale 7,09% à 30,61 euros.
BNP Paribas a affirmé lundi que l'acquisition de la banque belge Fortis n'aurait pas d'impact sur son ratio de solvabilité et confirmé qu'elle renonçait à racheter 100% des activités belges d'assurance, se contentant d'une participation minoritaire de 10%.
GDF Suez résiste, en baisse de 0,96% à 29,78 euros, après l'annonce d'un chiffre d'affaires en nette hausse en 2008, grâce notamment aux prix élevés de l'énergie.
Les automobiles reculent. Peugeot baisse de 4,47% à 12,71 euros, alors que des informations de presse évoquent un possible rapprochement du constructeur PSA avec l'allemand BMW. Renault cède 5,67% à 14,30 euros.
Air France-KLM (-4,65% à 7,16 euros) envisage une réduction de son offre long-courrier "de 1 à 2%" pour la saison d'été 2009 et d'hiver 2009/2010, déclare son directeur général Pierre-Henri Gourgeon, cité dans le journal Les Echos de lundi.
Euronext (CAC 40)
Source: Yahoo News
Le système financier, notamment aux Etats-Unis, reste dans la ligne de mire des investisseurs.
Les spéculations vont bon train sur un plan gouvernemental américain de rachat massif des actifs "pourris", au travers la création de "bad banks" (structure de défaisance).
En Allemagne, un porte-parole du gouvernement a prévenu qu'il "ne fallait pas s'attendre à une solution à court terme" concernant de telles structures, estimant que le problème était "très lourd."
"L'inquiétude vient du fait de savoir ce que l'on met dans une structure de défaisance et ce qui pourrait en sortir comme mauvaises nouvelles", a commenté Yves Marçais, vendeur d'actions chez Global Equities.
La publication de la seconde estimation de l'indice des directeurs d'achats (PMI) du secteur manufacturier de la zone euro pour le mois de janvier, qui a été revu en baisse, à 34,4 points contre 33,9 points en décembre, a aussi pesé sur le marché.
Les bancaires chutent, BNP Paribas perdant 11,86% à 26,45 euros, Crédit Agricole 7,55% à 8,82 euros et Société Générale 7,09% à 30,61 euros.
BNP Paribas a affirmé lundi que l'acquisition de la banque belge Fortis n'aurait pas d'impact sur son ratio de solvabilité et confirmé qu'elle renonçait à racheter 100% des activités belges d'assurance, se contentant d'une participation minoritaire de 10%.
GDF Suez résiste, en baisse de 0,96% à 29,78 euros, après l'annonce d'un chiffre d'affaires en nette hausse en 2008, grâce notamment aux prix élevés de l'énergie.
Les automobiles reculent. Peugeot baisse de 4,47% à 12,71 euros, alors que des informations de presse évoquent un possible rapprochement du constructeur PSA avec l'allemand BMW. Renault cède 5,67% à 14,30 euros.
Air France-KLM (-4,65% à 7,16 euros) envisage une réduction de son offre long-courrier "de 1 à 2%" pour la saison d'été 2009 et d'hiver 2009/2010, déclare son directeur général Pierre-Henri Gourgeon, cité dans le journal Les Echos de lundi.
Euronext (CAC 40)
Source: Yahoo News