Aung San Suu Kyi effectue son entrée au parlement birman
L'opposante Aung San Suu Kyi a effectué mercredi son entrée au parlement birman, où elle a prêté serment en tant que députée après quasiment un quart de siècle de lutte contre la junte militaire en Birmanie. Priée de dire, alors qu'elle pénétrait dans l'assemblée, s'il s'agissait d'une journée importante pour la Birmanie, la lauréate du prix Nobel de la paix en 1991 a répondu: "Seul le temps le dira." Lors des élections législatives partielles du 1er avril, son parti, la Ligue nationale pour la démocratie (LND), l'a emporté dans 43 des 44 circonscriptions où elle présentait un candidat. Mais les élus de l'opposition, Aung San Suu Kyi en tête, ont dans un premier temps refusé de siéger, réclamant une modification du serment pour qu'ils ne s'engagent pas à "protéger" mais à "respecter" la Constitution birmane. Ils sont finalement revenus sur leur décision lundi. L'entrée de l'opposante dans un Parlement rempli de militaires en uniforme pourrait être de nature à accélérer l'ouverture observée ces derniers mois en Birmanie.(fr.reuters.com) cela peut effectivement être interprété comme une preuve de bonne foi.
Pakistan - Qui a aidé Ben Laden ?
L'anniversaire de la mort du numéro un d'al-Qaida remet en lumière les complicités dont il a bénéficié au Pakistan. Un an après la mort du chef d'al-Qaida, la question continue de tarauder les observateurs : est-ce que les agences de renseignements pakistanaises savaient ? Ont-elles aidé Ben Laden dans sa fugue ? L'ISI, principal service de sécurité, chante le même refrain depuis 12 mois : rien vu, rien entendu. Pourtant, quelques révélations ont érodé la solidité de ces affirmations. Il y a d'abord le témoignage de la dernière femme du terroriste défunt, Amal. Cette jeune Yéménite vivait avec son mari à Abbottabad, avant d'être arrêtée par les autorités pakistanaises après le raid américain. Le récit qu'elle livre de son séjour aux membres de la commission d'enquête pakistanaise, publié par un quotidien local, est édifiant.(lepoint.fr) Surement que beaucoup de gens ont aidés Ben-Laden sans même le savoir.
Pour Romney Obama politise la mort de Ben Laden
Un an après le raid des forces spéciales américaines au Pakistan, le républicain Mitt Romney a accusé Barack Obama de politiser le premier anniversaire de la mort d'Oussama ben Laden. Le fondateur d'Al Qaïda, considéré comme le théoricien des attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, a été tué dans un raid mené par des commandos américains dans la nuit du 1er au 2 mai 2011 à Abbottabad, où il vivait depuis plusieurs années. Pour marquer l'occasion, le très probable adversaire d'Obama à l'élection présidentielle du 6 novembre prochain avait inscrit mardi à son agenda une rencontre avec des pompiers et l'ancien maire de New York Rudy Giuliani dans une caserne de la ville qui a perdu onze hommes dans les attentats du 11-Septembre. Mais cette visite symbolique, aux origines de la "guerre contre le terrorisme" lancée par Washington sous l'administration de George W. Bush, a été totalement éclipsée par le déplacement surprise que le président démocrate a effectué en Afghanistan. Ces derniers jours, l'approche du premier anniversaire de la mort de Ben Laden a déclenché un débat théorique aux Etats-Unis sur le thème "Mitt Romney aurait-il donné l'ordre aux commandos de passer à l'action ?".(fr.reuters.com) La mort de Ben Laden se politise toute seule.
Source: Yahoo actualités
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L'opposante Aung San Suu Kyi a effectué mercredi son entrée au parlement birman, où elle a prêté serment en tant que députée après quasiment un quart de siècle de lutte contre la junte militaire en Birmanie. Priée de dire, alors qu'elle pénétrait dans l'assemblée, s'il s'agissait d'une journée importante pour la Birmanie, la lauréate du prix Nobel de la paix en 1991 a répondu: "Seul le temps le dira." Lors des élections législatives partielles du 1er avril, son parti, la Ligue nationale pour la démocratie (LND), l'a emporté dans 43 des 44 circonscriptions où elle présentait un candidat. Mais les élus de l'opposition, Aung San Suu Kyi en tête, ont dans un premier temps refusé de siéger, réclamant une modification du serment pour qu'ils ne s'engagent pas à "protéger" mais à "respecter" la Constitution birmane. Ils sont finalement revenus sur leur décision lundi. L'entrée de l'opposante dans un Parlement rempli de militaires en uniforme pourrait être de nature à accélérer l'ouverture observée ces derniers mois en Birmanie.(fr.reuters.com) cela peut effectivement être interprété comme une preuve de bonne foi.
Pakistan - Qui a aidé Ben Laden ?
L'anniversaire de la mort du numéro un d'al-Qaida remet en lumière les complicités dont il a bénéficié au Pakistan. Un an après la mort du chef d'al-Qaida, la question continue de tarauder les observateurs : est-ce que les agences de renseignements pakistanaises savaient ? Ont-elles aidé Ben Laden dans sa fugue ? L'ISI, principal service de sécurité, chante le même refrain depuis 12 mois : rien vu, rien entendu. Pourtant, quelques révélations ont érodé la solidité de ces affirmations. Il y a d'abord le témoignage de la dernière femme du terroriste défunt, Amal. Cette jeune Yéménite vivait avec son mari à Abbottabad, avant d'être arrêtée par les autorités pakistanaises après le raid américain. Le récit qu'elle livre de son séjour aux membres de la commission d'enquête pakistanaise, publié par un quotidien local, est édifiant.(lepoint.fr) Surement que beaucoup de gens ont aidés Ben-Laden sans même le savoir.
Pour Romney Obama politise la mort de Ben Laden
Un an après le raid des forces spéciales américaines au Pakistan, le républicain Mitt Romney a accusé Barack Obama de politiser le premier anniversaire de la mort d'Oussama ben Laden. Le fondateur d'Al Qaïda, considéré comme le théoricien des attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, a été tué dans un raid mené par des commandos américains dans la nuit du 1er au 2 mai 2011 à Abbottabad, où il vivait depuis plusieurs années. Pour marquer l'occasion, le très probable adversaire d'Obama à l'élection présidentielle du 6 novembre prochain avait inscrit mardi à son agenda une rencontre avec des pompiers et l'ancien maire de New York Rudy Giuliani dans une caserne de la ville qui a perdu onze hommes dans les attentats du 11-Septembre. Mais cette visite symbolique, aux origines de la "guerre contre le terrorisme" lancée par Washington sous l'administration de George W. Bush, a été totalement éclipsée par le déplacement surprise que le président démocrate a effectué en Afghanistan. Ces derniers jours, l'approche du premier anniversaire de la mort de Ben Laden a déclenché un débat théorique aux Etats-Unis sur le thème "Mitt Romney aurait-il donné l'ordre aux commandos de passer à l'action ?".(fr.reuters.com) La mort de Ben Laden se politise toute seule.
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