Malgré une atmosphère cordiale et encline au dialogue, les 34 dirigeants participant à ce sommet, qui n'incluait pas de délégation cubaine, ne sont pas parvenus à un consensus et n'ont pas signé de déclaration finale commune.
Le chef de la Maison blanche s'est exprimé lors d'une conférence de presse à l'issue de la réunion de trois jours, organisée à Trinité-et-Tobago.
Obama a dit que son administration étudierait les moyens de progresser sur le plan des relations avec Cuba à la lumière des propos tenus récemment par le président Raul Castro, qui s'est dit prêt à dialoguer avec Washington.
"Nous allons explorer (...) et voir si nous pouvons réaliser des progrès", a dit le président américain, promettant d'oeuvrer pour "l'ouverture d'une nouvelle ère de partenariat".
"Au cours des derniers jours, nous avons observé des signes positifs potentiels dans les relations entre les Etats-Unis, Cuba et le Venezuela", a-t-il précisé.
"Mais comme je l'ai déjà dit, les actes doivent se substituer aux paroles", a-t-il ajouté, rappelant que le président Raul Castro s'est déclaré prêt à discuter des questions des prisonniers politiques et des droits de l'Homme.
"Le peuple cubain n'est pas libre et cela doit être notre préoccupation, notre Etoile du Nord... Cuba a les moyens de prouver qu'ils sont déterminés à imposer de véritables changements."
Jusqu'à présent, La Havane a toujours refusé de subordonner la reprise du dialogue avec les Etats-Unis à des questions de politique intérieure.
De son côté, le Brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a déclaré que le sommet de Port of Spain avait jeté les bases possibles d'une ère nouvelle dans les échanges entre Etats-Unis et Amérique latine.
Lula a notamment jugé l'heure propice à un dialogue entre le Venezuela et les Etats-Unis.
Le président vénézuélien Hugo Chavez a saisi l'occasion pour affirmer qu'il entrevoyait "une volonté politique", de la part de son pays et des Etats-Unis, à travailler ensemble.
"Je souhaite être votre ami", a lancé Chavez à Obama, confirmant son désir de coopérer avec l'actuelle administration américaine à une amélioration des relations bilatérales.
Malgré des expressions de bonne volonté, les Etats participant au sommet n'ont pas signé de déclaration commune, un groupe de pays réunis autour de Chavez jugeant la portée du document insuffisante.
La Bolivie, le Nicaragua et le Honduras ont déploré que n'ait pas été réglée la question du maintien à l'écart de Cuba et ont regretté qu'aucune solution n'ait été préconisée pour lutter contre la crise économique mondiale.
Source: Yahoo News
Le chef de la Maison blanche s'est exprimé lors d'une conférence de presse à l'issue de la réunion de trois jours, organisée à Trinité-et-Tobago.
Obama a dit que son administration étudierait les moyens de progresser sur le plan des relations avec Cuba à la lumière des propos tenus récemment par le président Raul Castro, qui s'est dit prêt à dialoguer avec Washington.
"Nous allons explorer (...) et voir si nous pouvons réaliser des progrès", a dit le président américain, promettant d'oeuvrer pour "l'ouverture d'une nouvelle ère de partenariat".
"Au cours des derniers jours, nous avons observé des signes positifs potentiels dans les relations entre les Etats-Unis, Cuba et le Venezuela", a-t-il précisé.
"Mais comme je l'ai déjà dit, les actes doivent se substituer aux paroles", a-t-il ajouté, rappelant que le président Raul Castro s'est déclaré prêt à discuter des questions des prisonniers politiques et des droits de l'Homme.
"Le peuple cubain n'est pas libre et cela doit être notre préoccupation, notre Etoile du Nord... Cuba a les moyens de prouver qu'ils sont déterminés à imposer de véritables changements."
Jusqu'à présent, La Havane a toujours refusé de subordonner la reprise du dialogue avec les Etats-Unis à des questions de politique intérieure.
De son côté, le Brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a déclaré que le sommet de Port of Spain avait jeté les bases possibles d'une ère nouvelle dans les échanges entre Etats-Unis et Amérique latine.
Lula a notamment jugé l'heure propice à un dialogue entre le Venezuela et les Etats-Unis.
Le président vénézuélien Hugo Chavez a saisi l'occasion pour affirmer qu'il entrevoyait "une volonté politique", de la part de son pays et des Etats-Unis, à travailler ensemble.
"Je souhaite être votre ami", a lancé Chavez à Obama, confirmant son désir de coopérer avec l'actuelle administration américaine à une amélioration des relations bilatérales.
Malgré des expressions de bonne volonté, les Etats participant au sommet n'ont pas signé de déclaration commune, un groupe de pays réunis autour de Chavez jugeant la portée du document insuffisante.
La Bolivie, le Nicaragua et le Honduras ont déploré que n'ait pas été réglée la question du maintien à l'écart de Cuba et ont regretté qu'aucune solution n'ait été préconisée pour lutter contre la crise économique mondiale.
Source: Yahoo News
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