Les crues de bassin du Niger sont exposées à de violentes pluies depuis juin dernier occasionnant de fortes inondations. Le bilan de ces déluges au Niger s'alourdit. Alors qu'en fin août dernier les autorités estimaient le bilan à 45 morts et 226 000 sinistrés, la situation s'est aggravée en ce mois.
Le nouveau bilan officiel des inondations fait état de 65 morts, 90 blessés et plus de 300 000 sinistrés. Le ministre en charge de la gestion des catastrophes, Laouan Magagi a précisé à l'AFP que les inondations font "329.958 personnes sinistrées, soit 38.099 ménages. 51 décès par effondrements des maisons, 14 décès par noyade et 90 blessés" à cette date du 7 septembre.
Les dégâts matériels sont conséquents. Si le bilan précédent faisait état de la destruction de plusieurs salles de classe, de mosquées, de greniers à céréales et de puits d'eau potable, il faut dire que les dégâts ont pris de l'ampleur. Bon nombre de constructions et de terrains ont péri sous les eaux. Les inondations ont eu raison sur 34 000 maisons et cases et 5.768 hectares de cultures.
Notons que les régions nigériennes les plus touchées sont le centre-Sud, à l'Ouest, le Sud-Ouest et le Nord. Des villes telles que Maradi, Tahoua et Tillabéri, Dosso et Niamey sont confrontées au catastrophe. Les autorités relèvent 10 décès, 12 blessés, plus de 50 000 sinistrés et 9 000 maisons détruites à Niamey, la capitale nigérienne.
Aussi, faut-il rappeler qu'en 2019, les inondations avaient fait 57 morts et plus de 226.000 sinistrés. Le Niger, bien qu'il jouit d'une saison pluvieuse plutôt courte et faible, est souvent exposé aux inondations. Les victimes de ces intempéries ne peuvent que trouver refuge dans les écoles ou chez des proches.
Le nouveau bilan officiel des inondations fait état de 65 morts, 90 blessés et plus de 300 000 sinistrés. Le ministre en charge de la gestion des catastrophes, Laouan Magagi a précisé à l'AFP que les inondations font "329.958 personnes sinistrées, soit 38.099 ménages. 51 décès par effondrements des maisons, 14 décès par noyade et 90 blessés" à cette date du 7 septembre.
Les dégâts matériels sont conséquents. Si le bilan précédent faisait état de la destruction de plusieurs salles de classe, de mosquées, de greniers à céréales et de puits d'eau potable, il faut dire que les dégâts ont pris de l'ampleur. Bon nombre de constructions et de terrains ont péri sous les eaux. Les inondations ont eu raison sur 34 000 maisons et cases et 5.768 hectares de cultures.
Notons que les régions nigériennes les plus touchées sont le centre-Sud, à l'Ouest, le Sud-Ouest et le Nord. Des villes telles que Maradi, Tahoua et Tillabéri, Dosso et Niamey sont confrontées au catastrophe. Les autorités relèvent 10 décès, 12 blessés, plus de 50 000 sinistrés et 9 000 maisons détruites à Niamey, la capitale nigérienne.
Aussi, faut-il rappeler qu'en 2019, les inondations avaient fait 57 morts et plus de 226.000 sinistrés. Le Niger, bien qu'il jouit d'une saison pluvieuse plutôt courte et faible, est souvent exposé aux inondations. Les victimes de ces intempéries ne peuvent que trouver refuge dans les écoles ou chez des proches.
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