Jean Sarkozy, fils du président de la République, est apparu mardi devant une des chambres du tribunal correctionnel de Paris bondée de journalistes pour un incident de la circulation où un particulier l'accuse d'avoir fait jouer ses relations pour éviter d'être condamné.
Son avocat Thierry Herzog assure qu'il s'agit d'une affaire montée de toutes pièces et il a produit à l'audience les résultats d'une expertise privée selon laquelle le scooter n'a pu produire les dégâts allégués par le plaignant.
Au vu de cette plaidoirie, le tribunal, fait exceptionnel pour des affaires de ce type, a ordonné un complément d'information pour la réalisation d'une expertise indépendante, qui devra dire si les dégâts constatés sont ou non possibles avec un scooter.
Jean Sarkozy a seulement déclaré au tribunal : "Je n'ai rien à me reprocher". L'affaire a été renvoyée au 25 juin.
Le plaignant, M'Hamed Bellouti, qui se dit militant UMP, réclame à Jean Sarkozy 260,13 euros pour les réparations de sa voiture et 4.000 euros de dommages et intérêts.
Il explique que le commissariat du XVIe arrondissement n'a donné aucune suite à l'affaire, malgré ses démarches, et que trois courriers envoyés par son assureur à celui de Jean Sarkozy n'ont reçu aucune réponse.
Son frère se serait rendu au QG de campagne de Nicolas Sarkozy avant l'élection présidentielle, où on lui aurait assuré que l'affaire serait réglée. L'affaire est venue devant le tribunal après une assignation du plaignant.
Jean Sarkozy avait déjà attiré l'attention des médias en début d'année, quand il est apparu que la police avait eu recours à une recherche d'empreintes génétiques pour retrouver son scooter, volé le 7 janvier.
La gauche avait alors estimé qu'il faisait l'objet d'un traitement de faveur, la recherche d'ADN étant normalement réservée aux affaires importantes.
Source: http://www.actualite.lycos.fr/
Son avocat Thierry Herzog assure qu'il s'agit d'une affaire montée de toutes pièces et il a produit à l'audience les résultats d'une expertise privée selon laquelle le scooter n'a pu produire les dégâts allégués par le plaignant.
Au vu de cette plaidoirie, le tribunal, fait exceptionnel pour des affaires de ce type, a ordonné un complément d'information pour la réalisation d'une expertise indépendante, qui devra dire si les dégâts constatés sont ou non possibles avec un scooter.
Jean Sarkozy a seulement déclaré au tribunal : "Je n'ai rien à me reprocher". L'affaire a été renvoyée au 25 juin.
Le plaignant, M'Hamed Bellouti, qui se dit militant UMP, réclame à Jean Sarkozy 260,13 euros pour les réparations de sa voiture et 4.000 euros de dommages et intérêts.
Il explique que le commissariat du XVIe arrondissement n'a donné aucune suite à l'affaire, malgré ses démarches, et que trois courriers envoyés par son assureur à celui de Jean Sarkozy n'ont reçu aucune réponse.
Son frère se serait rendu au QG de campagne de Nicolas Sarkozy avant l'élection présidentielle, où on lui aurait assuré que l'affaire serait réglée. L'affaire est venue devant le tribunal après une assignation du plaignant.
Jean Sarkozy avait déjà attiré l'attention des médias en début d'année, quand il est apparu que la police avait eu recours à une recherche d'empreintes génétiques pour retrouver son scooter, volé le 7 janvier.
La gauche avait alors estimé qu'il faisait l'objet d'un traitement de faveur, la recherche d'ADN étant normalement réservée aux affaires importantes.
Source: http://www.actualite.lycos.fr/
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