Encadré par plusieurs milliers de policiers, les manifestants -entre 3.000 et 4.000 selon la police- ont répété des slogans appelant notamment à aider les pays pauvres, à lutter contre le réchauffement climatique mais aussi à punir les responsables de la crise actuelle.
La manifestation, où se côtoyaient anarchistes, écologistes, pacifistes ou employés victimes de la crise, se déroulait généralement dans le calme en milieu de journée.
De brèves échauffourées ont toutefois opposé quelques manifestants apparemment déterminés à en découdre avec la police, selon des journalistes sur place.
La police a annoncé avoir interpellé huit personnes qui étaient en possession d'uniformes de la police.
"Faites un feu de joie, mettez les banquiers tout en haut, mettez (le Premier ministre) Gordon Brown au milieu, et mettez un putain de feu à tout ce beau monde", chantaient les manifestants.
Parmi les pancartes qui flottaient au-dessus des manifestants, on pouvait lire "C'est notre argent qu'ils ont volé" ou encore "Peut-on renverser le gouvernement ? Oui on peut", en référence au désormais célèbre slogan ("yes we can") de campagne du président Barack Obama, arrivé à Londres mardi soir pour une visite de trois jours.
"Je me suis retrouvé au chômage en décembre", explique Ian Dixon, 45 ans, se disant "l'une des victimes" de la crise financière qui touche la planète depuis l'automne dernier. "J'avais un boulot de responsabilités mais on ne peut s'empêcher d'avoir l'impression d'être mis au rencart".
Phil, 53 ans, est venu de Newcastle (nord) pour crier sa colère.
"Si on ne se lève pas pour crier, personne ne s'intéressera à nous", explique-t-il. "Je pense que les dirigeants du G20 sont comme une bande de poulets sans tête. Les élites politiques et financières paniquent et ils n'ont aucune idée brillante".
Plus de 10.000 policiers ont été mobilisés mercredi et jeudi pour faire face aux nombreuses manifestations prévues à Londres en marge du sommet, et pour assurer la sécurité des nombreuses délégations officielles réunies pour l'occasion dans la capitale britannique.
Source: Yahoo News
La manifestation, où se côtoyaient anarchistes, écologistes, pacifistes ou employés victimes de la crise, se déroulait généralement dans le calme en milieu de journée.
De brèves échauffourées ont toutefois opposé quelques manifestants apparemment déterminés à en découdre avec la police, selon des journalistes sur place.
La police a annoncé avoir interpellé huit personnes qui étaient en possession d'uniformes de la police.
"Faites un feu de joie, mettez les banquiers tout en haut, mettez (le Premier ministre) Gordon Brown au milieu, et mettez un putain de feu à tout ce beau monde", chantaient les manifestants.
Parmi les pancartes qui flottaient au-dessus des manifestants, on pouvait lire "C'est notre argent qu'ils ont volé" ou encore "Peut-on renverser le gouvernement ? Oui on peut", en référence au désormais célèbre slogan ("yes we can") de campagne du président Barack Obama, arrivé à Londres mardi soir pour une visite de trois jours.
"Je me suis retrouvé au chômage en décembre", explique Ian Dixon, 45 ans, se disant "l'une des victimes" de la crise financière qui touche la planète depuis l'automne dernier. "J'avais un boulot de responsabilités mais on ne peut s'empêcher d'avoir l'impression d'être mis au rencart".
Phil, 53 ans, est venu de Newcastle (nord) pour crier sa colère.
"Si on ne se lève pas pour crier, personne ne s'intéressera à nous", explique-t-il. "Je pense que les dirigeants du G20 sont comme une bande de poulets sans tête. Les élites politiques et financières paniquent et ils n'ont aucune idée brillante".
Plus de 10.000 policiers ont été mobilisés mercredi et jeudi pour faire face aux nombreuses manifestations prévues à Londres en marge du sommet, et pour assurer la sécurité des nombreuses délégations officielles réunies pour l'occasion dans la capitale britannique.
Source: Yahoo News
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