Ces vols d’expulsion ont commencé depuis le début du mois de septembre et on compte 5 vols d’expulsion jusqu’à ce jour. Les ambassades des pays concernés sont en collaboration avec le Maroc pour pouvoir identifier les nationalités des immigrés. Cependant, ces vols d’expulsion ne sont pas connus de l’ONU d’où ils ne peuvent pas être considérés comme des vols de rapatriement. La majorité des immigrés ont été rassemblés dans les villes sahariennes de Laâyoune et de Dakhla. De là les immigrés subsahariens attendent d’embarquer sur un bateau pour les îles Canaries.
Toutefois, les précautions contre la Covid-19 sont prises. Les immigrés subsahariens qui ont été testés positifs au test PCR ne voyagent. Sur les 5 vols d’expulsion effectués, les immigrés ont été transportés de Casablanca vers Dakar (2 vols), Bamako (2vols), Conakry (un vol). Même les sources qui ont eu des contacts directs avec les immigrés n’ont pas pu savoir le nombre exact d’immigrés expulsés. Des sources du Réseau méditerranéen des droits de l’Homme ont annoncé que sur le vol guinéen, il y avait au moins 75 Guinéens dont 2 mineurs qui n’étaient pas accompagnés. D'un autre côté, l’organisation Alarm phone a aussi précisé que pas moins de 144 Sénégalais avaient aussi quitté le sol marocain par le même moyen.
Il y a 2 ans, une procédure d’expulsion semblable avait été effectuée par le gouvernement marocain qui a expulsé 1800 personnes. Suite à l’enquête de l’Association Marocaine des droits de l’homme, il semblerait que ce chiffre s’élève plutôt à 6500 personnes. Les principales organisations qui viennent en aide au Maroc ont organisé une rencontre sur la semaine prochaine pour mettre la lumière sur les activités d’immigration opérées à Dakhla et Laâyoune.
Toutefois, les précautions contre la Covid-19 sont prises. Les immigrés subsahariens qui ont été testés positifs au test PCR ne voyagent. Sur les 5 vols d’expulsion effectués, les immigrés ont été transportés de Casablanca vers Dakar (2 vols), Bamako (2vols), Conakry (un vol). Même les sources qui ont eu des contacts directs avec les immigrés n’ont pas pu savoir le nombre exact d’immigrés expulsés. Des sources du Réseau méditerranéen des droits de l’Homme ont annoncé que sur le vol guinéen, il y avait au moins 75 Guinéens dont 2 mineurs qui n’étaient pas accompagnés. D'un autre côté, l’organisation Alarm phone a aussi précisé que pas moins de 144 Sénégalais avaient aussi quitté le sol marocain par le même moyen.
Il y a 2 ans, une procédure d’expulsion semblable avait été effectuée par le gouvernement marocain qui a expulsé 1800 personnes. Suite à l’enquête de l’Association Marocaine des droits de l’homme, il semblerait que ce chiffre s’élève plutôt à 6500 personnes. Les principales organisations qui viennent en aide au Maroc ont organisé une rencontre sur la semaine prochaine pour mettre la lumière sur les activités d’immigration opérées à Dakhla et Laâyoune.
À lire également :
-
Vers une rupture entre la Cedeao et l'Alliance des États du Sahel
-
Qui est Mohammed al-Joulani, le nouveau homme fort de la Syrie ?
-
Chute de Bachar al-Assad en Syrie : le palais présidentiel envahi et pillé par des civils
-
La RDC poursuit le Rwanda devant la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples
-
Au Tchad comme au Sénégal, la présence militaire française prend fin