On précisait qu'ils seront examinés au Centre d'essais aéronautique de Toulouse (CEAT), qui dépend du ministère de la Défense, par les experts du Bureau d'enqêtes et d'analyses de l'Aviation civile (BEA) sous le contrôle d'officiers de police judiciaire.
Le transport des quelque 640 débris retrouvés depuis le drame est effectué à bord du cargo "Ville de Bordeaux", l'un des trois navires utilisés par Airbus pour transporter des tronçons d'A380 depuis ses usines européennes en vue de leur assemblage à Toulouse, a-t-on ajouté.
Entreposées dans un hangar à Recife au fur et à mesure des recherches franco-brésiliennes, ces pièces qui ont pris le chemin de la France "proviennent de l'ensemble des zones de l'avion, de la pointe (avant), du radôme, jusqu'à la partie arrière", avait indiqué le BEA le 2 juillet dernier.
L'organisme enquêteur citait notamment des éléments de structure, tels que la dérive, un morceau du plan horizontal arrière, un morceau de radôme, un capotage moteur, ainsi que "de nombreux aménagements cabine", tels que des morceaux de siège, de plancher, des gilets de sauvetage non gonflés et d'éléments de cuisine (galleys). Les enquêteurs n'ont relevé "ni traces d'incendie, ni traces d'explosifs", selon Alain Bouillard, responsable de l'enquête sur l'accident du vol AF447 Rio-Paris.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Le transport des quelque 640 débris retrouvés depuis le drame est effectué à bord du cargo "Ville de Bordeaux", l'un des trois navires utilisés par Airbus pour transporter des tronçons d'A380 depuis ses usines européennes en vue de leur assemblage à Toulouse, a-t-on ajouté.
Entreposées dans un hangar à Recife au fur et à mesure des recherches franco-brésiliennes, ces pièces qui ont pris le chemin de la France "proviennent de l'ensemble des zones de l'avion, de la pointe (avant), du radôme, jusqu'à la partie arrière", avait indiqué le BEA le 2 juillet dernier.
L'organisme enquêteur citait notamment des éléments de structure, tels que la dérive, un morceau du plan horizontal arrière, un morceau de radôme, un capotage moteur, ainsi que "de nombreux aménagements cabine", tels que des morceaux de siège, de plancher, des gilets de sauvetage non gonflés et d'éléments de cuisine (galleys). Les enquêteurs n'ont relevé "ni traces d'incendie, ni traces d'explosifs", selon Alain Bouillard, responsable de l'enquête sur l'accident du vol AF447 Rio-Paris.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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