Le marché pétrolier a connu une hausse significative du cours du baril de Brent, dépassant les 2%, suite à l'annonce de l'Arabie saoudite concernant une réduction substantielle de sa production à partir de juillet. En effet, le Royaume a décidé de diminuer sa production de 1 million de barils par jour, ce qui la ramènera à 9 millions de barils par jour. Cette décision s'ajoute à la baisse de 500 000 barils par jour annoncée précédemment en avril. Selon UBS, il s'agit de l'annonce la plus importante faite par l'OPEP+ au cours du week-end.
En plus de cette mesure, les pays producteurs de pétrole ont convenu de maintenir des restrictions sur leur offre jusqu'en 2024. En avril, ils avaient déjà annoncé une réduction de leur production de 1,66 million de barils par jour à partir de mai. Cette décision vise à soutenir les cours du pétrole dans un contexte économique incertain.
UBS considère ces annonces comme favorables aux prix du pétrole et maintient ses prévisions d'un baril de Brent à 85 dollars et d'un baril de WTI à 81 dollars en 2024. La banque suisse souligne que même si ces prévisions peuvent s'avérer incorrectes et que les prix du pétrole brut n'atteignent pas les 80 dollars le baril, le message communiqué par l'OPEP+ constitue au moins une mesure visant à freiner la baisse, même en période de récession.
Cette décision de l'Arabie saoudite et des autres pays producteurs de pétrole intervient dans un contexte de volatilité des prix du pétrole ces derniers mois. Malgré les précédentes mesures de réduction de la production, les cours n'ont pas réussi à se redresser significativement. Les craintes de récession économique mondiale, les hausses des taux d'intérêt des principales banques centrales et la lente reprise de la demande en Chine après les restrictions liées à la pandémie de Covid-19 ont contribué à la déprime du marché pétrolier. Actuellement, le prix du baril de Brent s'établit à 78,07 dollars, tandis que le baril de WTI se situe à 71 dollars, bien loin des sommets enregistrés en mars 2022 au début du conflit en Ukraine, où le baril de pétrole avait atteint près de 140 dollars.
L'annonce de l'Arabie saoudite a été bien accueillie par les marchés pétroliers, témoignant ainsi de l'importance du rôle joué par le Royaume au sein de l'OPEP. L'Arabie saoudite cherche à équilibrer son budget, nécessitant des prix plus élevés pour le pétrole. En revanche, la Russie, autre membre clé de l'OPEP+, est réticente à réduire davantage sa production, étant donné que des prix plus élevés ne lui seraient pas bénéfiques. En effet, les sanctions occidentales limitent les possibilités de livraison du pétrole russe à un prix supérieur à 60 dollars le baril.
En plus de cette mesure, les pays producteurs de pétrole ont convenu de maintenir des restrictions sur leur offre jusqu'en 2024. En avril, ils avaient déjà annoncé une réduction de leur production de 1,66 million de barils par jour à partir de mai. Cette décision vise à soutenir les cours du pétrole dans un contexte économique incertain.
UBS considère ces annonces comme favorables aux prix du pétrole et maintient ses prévisions d'un baril de Brent à 85 dollars et d'un baril de WTI à 81 dollars en 2024. La banque suisse souligne que même si ces prévisions peuvent s'avérer incorrectes et que les prix du pétrole brut n'atteignent pas les 80 dollars le baril, le message communiqué par l'OPEP+ constitue au moins une mesure visant à freiner la baisse, même en période de récession.
Cette décision de l'Arabie saoudite et des autres pays producteurs de pétrole intervient dans un contexte de volatilité des prix du pétrole ces derniers mois. Malgré les précédentes mesures de réduction de la production, les cours n'ont pas réussi à se redresser significativement. Les craintes de récession économique mondiale, les hausses des taux d'intérêt des principales banques centrales et la lente reprise de la demande en Chine après les restrictions liées à la pandémie de Covid-19 ont contribué à la déprime du marché pétrolier. Actuellement, le prix du baril de Brent s'établit à 78,07 dollars, tandis que le baril de WTI se situe à 71 dollars, bien loin des sommets enregistrés en mars 2022 au début du conflit en Ukraine, où le baril de pétrole avait atteint près de 140 dollars.
L'annonce de l'Arabie saoudite a été bien accueillie par les marchés pétroliers, témoignant ainsi de l'importance du rôle joué par le Royaume au sein de l'OPEP. L'Arabie saoudite cherche à équilibrer son budget, nécessitant des prix plus élevés pour le pétrole. En revanche, la Russie, autre membre clé de l'OPEP+, est réticente à réduire davantage sa production, étant donné que des prix plus élevés ne lui seraient pas bénéfiques. En effet, les sanctions occidentales limitent les possibilités de livraison du pétrole russe à un prix supérieur à 60 dollars le baril.
À lire également :
-
La Géorgie s'enflamme : le rêve européen attise les tensions
-
Donald Trump voit ses options en Ukraine
-
Restructuration massive chez Nissan : enjeux et perspectives
-
L'élection présidentielle américaine de 2024 : enjeux politiques et dynamiques entre Trump et Harris
-
Gérard Depardieu : L'Ombre du Scandale - Accusations et Procès