l'Auteur se présente sur son site Web d'une curieuse façon: "Tout a commencé pendant le printemps 1975, lorsque des sentiments unissant deux personnes naquit une créature unicellulaire qui neuf mois plus tard (et quelques jours de retard…) allait déboucher sur ma naissance. Le 19 février 1976 pour être exact, quelque part dans une chambre de clinique tout ce qu'il y a de plus anonyme.
C'est peut-être à cet instant que le désir d'écrire s'est manifesté, par besoin de soulager l'horrible sensation de n'être qu'un individu de plus parmi les milliards passés et présents ; pour soulager cette oppressante nudité..."
Selon Marianne en ligne: "Maxime Chattam fait partie d’une espèce rare ! Celle des auteurs qui nous changent, nous bouleversent et nous émeuvent. De ces écrivains dont on se dit que le temps passé à déambuler dans les rayons littérature des magasins en valait largement la peine. De ces auteurs, encore, qui nous frustrent puisque leurs livres, inexorablement, ont une fin.
Extrait de "Prédateur":
« Frewin était convaincu que la violence criminelle était une expression de l’esprit contrarié, malmené ou mal construit. La violence était un langage. Elle s’écrivait sur une scène de crime avec des lettres de sang, d’ecchymoses, une ponctuation d’objets brisés, saccagés, et même parfois avec des figures de style : lorsque le criminel déplaçait le corps ou les objets. Chaque crime se devait d’être lu et analysé afin de comprendre ce qu’on avait voulu dire, afin de remonter à son auteur par le cheminement de son esprit, l’essentiel de cette écriture étant inconscient chez le criminel. Décrypter une scène de crime c’était décrypter son auteur, être à même de cerner sa personnalité ».
« Prédateur » de Maxime Chattam, Edition Albin Michel,
Vous pouvez vous procurer ce livre à la FNAC
Cela n'évitera pas le plan social annoncé mais vous aurez bonne conscience.
C'est peut-être à cet instant que le désir d'écrire s'est manifesté, par besoin de soulager l'horrible sensation de n'être qu'un individu de plus parmi les milliards passés et présents ; pour soulager cette oppressante nudité..."
Selon Marianne en ligne: "Maxime Chattam fait partie d’une espèce rare ! Celle des auteurs qui nous changent, nous bouleversent et nous émeuvent. De ces écrivains dont on se dit que le temps passé à déambuler dans les rayons littérature des magasins en valait largement la peine. De ces auteurs, encore, qui nous frustrent puisque leurs livres, inexorablement, ont une fin.
Extrait de "Prédateur":
« Frewin était convaincu que la violence criminelle était une expression de l’esprit contrarié, malmené ou mal construit. La violence était un langage. Elle s’écrivait sur une scène de crime avec des lettres de sang, d’ecchymoses, une ponctuation d’objets brisés, saccagés, et même parfois avec des figures de style : lorsque le criminel déplaçait le corps ou les objets. Chaque crime se devait d’être lu et analysé afin de comprendre ce qu’on avait voulu dire, afin de remonter à son auteur par le cheminement de son esprit, l’essentiel de cette écriture étant inconscient chez le criminel. Décrypter une scène de crime c’était décrypter son auteur, être à même de cerner sa personnalité ».
« Prédateur » de Maxime Chattam, Edition Albin Michel,
Vous pouvez vous procurer ce livre à la FNAC
Cela n'évitera pas le plan social annoncé mais vous aurez bonne conscience.
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