Conformément à ses souhaits, depuis qu’il a atteint le cap des trente ans, Pape Diallo, qui est l’aîné d’une famille de six "bouts de bois de Dieu", nourrit le souhait de disposer de sa propre maison, mais aussi et surtout de prendre femme. "Jeune, je me voyais époux dès l’âge de trente ans, mais les contingences du temps en ont décidé autrement", fait-il remarquer.
Ayant bien mûri son souhait, Pape Diallo prendra toutes les dispositions (financières surtout) pour la matérialisation de son projet. Plaçant toute sa confiance en son oncle maternel, Mamadou Bâ, Pape Diallo s’en ouvrira à ce dernier, "parce que, dit-il, non sans marquer sa reconnaissance, depuis la disparition de notre père, il n’a pas arrêté de nous soutenir. Il m’a beaucoup aidé pour que je voyage tant au plan financier que relationnel".
Ainsi, pendant des mois, Papa Diallo travaillera comme un forcené, allant même jusqu’à contracter des prêts auprès des banques américaines, pour se voir propriétaire d’une maison. Une tâche à laquelle l’oncle s’est, somme toute, bien acquitté : "c’est une jolie maison qu’il m’a construite. C’est ce que les membres de ma famille m’ont confié".
Disposant de maison, Pape Diallo devait maintenant penser à la seconde partie de son rêve » : prendre femme. Ayant toujours eu le béguin pour une de sa cousine germaine, Pape sollicitera encore son oncle maternel. Seulement, ce qu’il ignorait, c’est que l’oncle a toujours lorgné du côté de la même femme. Ayant fait croire à la cousine qu’il lui ferait cadeau de la fameuse maison, il parvient à lui faire avaler la pilule et elle finit par céder à la tentation de devenir maîtresse de ce joyau bâti. Ainsi, Mamadou Bâ épousera la cousine, que Pape n’a jamais cessé d’aimer, et passera ses "ayés" (nuits de noce) avec celle qui, désormais, est devenue sa deuxième femme (niareel), sous le toit de l’intéressé.
Mis devant le fait accompli, Pape Diallo s‘est retrouvé face à un vrai dilemme. "C’est le frère à ma mère et je ne peux pas le traîner en justice. Tout ce que je peux faire, c’est les faire sortir de ma maison, une maison que je vais vendre, car elle me rappelle trop de vilaines choses pour que je puisse y vivre", confiera Pape Diallo, le cœur brisé. "S’il avait épousé une autre femme, cela m’aurait fait moins de mal. Mais épouser celle que j’ai toujours aimée, alors qu’il le savait…", lâche, avec amertume, Pape Diallo, qui termine par cette triste note : "ma vie vient de basculer !".
Source: Rewmi
Ayant bien mûri son souhait, Pape Diallo prendra toutes les dispositions (financières surtout) pour la matérialisation de son projet. Plaçant toute sa confiance en son oncle maternel, Mamadou Bâ, Pape Diallo s’en ouvrira à ce dernier, "parce que, dit-il, non sans marquer sa reconnaissance, depuis la disparition de notre père, il n’a pas arrêté de nous soutenir. Il m’a beaucoup aidé pour que je voyage tant au plan financier que relationnel".
Ainsi, pendant des mois, Papa Diallo travaillera comme un forcené, allant même jusqu’à contracter des prêts auprès des banques américaines, pour se voir propriétaire d’une maison. Une tâche à laquelle l’oncle s’est, somme toute, bien acquitté : "c’est une jolie maison qu’il m’a construite. C’est ce que les membres de ma famille m’ont confié".
Disposant de maison, Pape Diallo devait maintenant penser à la seconde partie de son rêve » : prendre femme. Ayant toujours eu le béguin pour une de sa cousine germaine, Pape sollicitera encore son oncle maternel. Seulement, ce qu’il ignorait, c’est que l’oncle a toujours lorgné du côté de la même femme. Ayant fait croire à la cousine qu’il lui ferait cadeau de la fameuse maison, il parvient à lui faire avaler la pilule et elle finit par céder à la tentation de devenir maîtresse de ce joyau bâti. Ainsi, Mamadou Bâ épousera la cousine, que Pape n’a jamais cessé d’aimer, et passera ses "ayés" (nuits de noce) avec celle qui, désormais, est devenue sa deuxième femme (niareel), sous le toit de l’intéressé.
Mis devant le fait accompli, Pape Diallo s‘est retrouvé face à un vrai dilemme. "C’est le frère à ma mère et je ne peux pas le traîner en justice. Tout ce que je peux faire, c’est les faire sortir de ma maison, une maison que je vais vendre, car elle me rappelle trop de vilaines choses pour que je puisse y vivre", confiera Pape Diallo, le cœur brisé. "S’il avait épousé une autre femme, cela m’aurait fait moins de mal. Mais épouser celle que j’ai toujours aimée, alors qu’il le savait…", lâche, avec amertume, Pape Diallo, qui termine par cette triste note : "ma vie vient de basculer !".
Source: Rewmi