Afin d'endiguer le "projet d'installation de 400 écrans publicitaires +espions+", cinq associations ont assigné la RATP, Metrobus, et la société Majority Report, qui fournit la technologie, en "référé expertise" devant le Tribunal de grande instance de Paris, qui sera examiné le 1er avril.
Les demandeurs justifient leur action par la "violation de la législation sur la vidéosurveillance, ici utilisée à des fins purement mercantiles", ainsi que "la mise en place probablement illégale de dispositifs d'analyse de données biométriques, installés sans aucune concertation, et à l'insu total des usagers et du personnel de la RATP".
La fonctionnalité Bluetooth n'a pas été activée, selon la RATP et Metrobus, qui se sont engagés à ce que les messages soient adressés uniquement aux "voyageurs qui auraient choisi de les télécharger en approchant leur téléphone de l'affiche à un endroit signalé".
Source: AFP et Lemonde.fr via Yahoo news.
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Les demandeurs justifient leur action par la "violation de la législation sur la vidéosurveillance, ici utilisée à des fins purement mercantiles", ainsi que "la mise en place probablement illégale de dispositifs d'analyse de données biométriques, installés sans aucune concertation, et à l'insu total des usagers et du personnel de la RATP".
La fonctionnalité Bluetooth n'a pas été activée, selon la RATP et Metrobus, qui se sont engagés à ce que les messages soient adressés uniquement aux "voyageurs qui auraient choisi de les télécharger en approchant leur téléphone de l'affiche à un endroit signalé".
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