Le jeune homme vif, les larmes coulant sur son visage, se grattant, debout et dormant comme un zombie, c’est une description de l’effet de ce nouveau médicament. Un médicament bon marché et très efficace, d’où le nom de « bombé ». Dès lors, les autorités ont tiré la sonnette d’alarme et annoncé la mise en place d’un comité pour mieux comprendre et combattre ce phénomène. Le ministre de la Jeunesse du Congo, le Dr Yves Bunkulu, a prévenu que le médicament est avant tout très toxique : « C’est un médicament extrait des résidus de pot d’échappement composé de monoxyde de carbone et d’oxyde nitrique. Il y a aussi de l’oxyde de soufre, et des éléments nutritifs. Cet ingrédient est mauvais pour la santé.
Le ministre était très inquiet et a discuté de la question avec des collègues du ministère de la Santé. Ensemble, ils ont lancé une analyse pour savoir la composition exacte de cette drogue et trouver la réponse propice. « En tout cas, c’est notre préoccupation. Nous allons faire diverses suggestions et mesures au gouvernement pour arrêter la consommation de ce stupéfiant. Le Dr Yves Bonkuru à communiquer aux jeunes à travers un message. Le message est d’arrêter d’utiliser de telles drogues.
Patrice Milambo, directeur du Plan national de lutte contre les toxicomanies et les substances toxiques (PNLCT), a prévenu : « Il s’agit bien d’une urgence, d’un désastre de santé publique le vol et la violence sexuelle. C’est un phénomène complexe. »
Patrice Milambo désire savoir ce que recherchent ces individus accroc au « bombé » : « Les comprimer toxique ne peuvent pas se prendre de cette façon, et il y existe maintes raisons de les prendre. Tous ces paramètres, nous les explorerons plus avant après avoir enquêté sur les preuves. »
Selon la police, les fournisseurs de cette drogue sont généralement des mécaniciens qui agissent à l’insu du propriétaire du véhicule. Les autorités sont également préoccupées par les effets sur la santé d’un autre médicament appelé « muvuke », une plante consommée par inhalation dans la province du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo
Le ministre était très inquiet et a discuté de la question avec des collègues du ministère de la Santé. Ensemble, ils ont lancé une analyse pour savoir la composition exacte de cette drogue et trouver la réponse propice. « En tout cas, c’est notre préoccupation. Nous allons faire diverses suggestions et mesures au gouvernement pour arrêter la consommation de ce stupéfiant. Le Dr Yves Bonkuru à communiquer aux jeunes à travers un message. Le message est d’arrêter d’utiliser de telles drogues.
Patrice Milambo, directeur du Plan national de lutte contre les toxicomanies et les substances toxiques (PNLCT), a prévenu : « Il s’agit bien d’une urgence, d’un désastre de santé publique le vol et la violence sexuelle. C’est un phénomène complexe. »
Patrice Milambo désire savoir ce que recherchent ces individus accroc au « bombé » : « Les comprimer toxique ne peuvent pas se prendre de cette façon, et il y existe maintes raisons de les prendre. Tous ces paramètres, nous les explorerons plus avant après avoir enquêté sur les preuves. »
Selon la police, les fournisseurs de cette drogue sont généralement des mécaniciens qui agissent à l’insu du propriétaire du véhicule. Les autorités sont également préoccupées par les effets sur la santé d’un autre médicament appelé « muvuke », une plante consommée par inhalation dans la province du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo
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