L'Institut Pasteur est une fondation privée à but non lucratif dont la mission est de contribuer à la prévention et au traitement des maladies par la recherche, l'enseignement et des actions de santé publique.
Avec 300 à 500 millions de malades et 1,5 à 2,7 millions de décès par an, selon les derniers bilans établis par l’Organisation mondiale de la santé (OMS, 2005), le paludisme demeure une des parasitoses tropicales les plus importantes.
Le professeur Pierre Druilhe est directeur de l'Unité de parasitologie biomédicale à l'Institut Pasteur de Paris, interviewé par 20minutes.fr, apporte les informations suivantes quant à l'état d'avancement des tests:
A Lausanne (Suisse) , nous avons testé une molécule sur des sujets sains. C'est pour voir si le vaccin n'est pas dangereux. Les résultats sont bons. Après, nous avons testé la molécule au Burkina Faso, sur des enfants. Là encore tous étaient sains et les résultats bons. En ce moment, aux Pays-Bas, nous avons testé une autre molécule sur des personnes saines, au départ, et à qui on a inoculé volontairement le parasite via 5 moustiques. Ce genre de test est inoffensif puisqu'on peut intervenir avant que le parasite induise des symptômes. Là encore, les tests semblent bons. La prochaine campagne se fera en Tanzanie (du 12 au 29 octobre) mais cette fois-ci sur des personnes atteintes du paludisme.
Avec 300 à 500 millions de malades et 1,5 à 2,7 millions de décès par an, selon les derniers bilans établis par l’Organisation mondiale de la santé (OMS, 2005), le paludisme demeure une des parasitoses tropicales les plus importantes.
Le professeur Pierre Druilhe est directeur de l'Unité de parasitologie biomédicale à l'Institut Pasteur de Paris, interviewé par 20minutes.fr, apporte les informations suivantes quant à l'état d'avancement des tests:
A Lausanne (Suisse) , nous avons testé une molécule sur des sujets sains. C'est pour voir si le vaccin n'est pas dangereux. Les résultats sont bons. Après, nous avons testé la molécule au Burkina Faso, sur des enfants. Là encore tous étaient sains et les résultats bons. En ce moment, aux Pays-Bas, nous avons testé une autre molécule sur des personnes saines, au départ, et à qui on a inoculé volontairement le parasite via 5 moustiques. Ce genre de test est inoffensif puisqu'on peut intervenir avant que le parasite induise des symptômes. Là encore, les tests semblent bons. La prochaine campagne se fera en Tanzanie (du 12 au 29 octobre) mais cette fois-ci sur des personnes atteintes du paludisme.
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