Le socialiste Evangelos Venizélos va être chargé de former un gouvernement en Grèce
Anticipant l'échec du leader de la gauche radicale Alexis Tsipras, Evangélos Vénizélos, le dirigeant du parti socialiste (Pasok), a affirmé mercredi 9 mai qu'il allait être chargé par le chef de l'Etat, Carolos Papoulias, de former un gouvernement de coalition. 'Je vais recevoir le mandat [pour former un gouvernement] et continuer l'effort national', a indiqué M. Venizélos à l'issue d'une rencontre infructueuse avec M. Tsipras, qui est actuellement le deuxième chef de parti politique à essayer de nouer des alliances en vue d'une coalition gouvernementale après les élections de dimanche. Après l'échec du chef de file de Nouvelle Démocratie, Antonis Samaras, à former un nouveau gouvernement de coalition viable, Alexis Tsipras, le jeune chef de file de Syriza, 37 ans, disposait à son tour de trois jours pour constituer une majorité au sein d'un Parlement éclaté et morcelé. Il devait consulter ce mercredi les dirigeants des grandes forces politiques du pays sans espoir crédible de débloquer la situation qui menace jusqu'à l'appartenance de la Grèce à la zone euro. Il avait en effet exclu mardi de se plier aux plans européens de sauvetage et posé comme condition la rupture des engagements pris avec les partenaires d'Athènes. C'est donc au leader du Pasok de prendre la relève.(lemonde.fr) Ne se sont-ils pas entendus pour faire cela?
Tuerie en Norvège: Breivik criait de joie pendant le massacre, selon une rescapée
Une rescapée du massacre de l'île d'Utoya a livré ce mercredi au procès d'Anders Behring Breivik des détails sur l'attitude de ce dernier au moment du drame. S'exprimant d'une voix claire et décidée, Tonje Brenna a raconté au tribunal d'Oslo comment, cachée dans le recoin d'une falaise, elle avait entendu les effusions de joie du tueur alors que des corps tombaient tout autour d'elle le 22 juillet 2011. «Je suis absolument sûre que j'ai entendu des cris de joie», a affirmé la jeune femme de 24 ans, première survivante de la fusillade à témoigner à la barre. «Si je devais l'épeler, ce serait: W-H-O-O. Clairement des cris de joie», a-t-elle décrit. Assis dans un box à quelques mètres d'elle, Breivik, qui a affiché très peu d'émotions depuis le début de son procès le 16 avril, a secoué la tête en signe de désapprobation en écoutant le témoignage de la secrétaire générale du Mouvement de la Jeunesse travailliste (AUF). «Pourquoi aurais-je ri quand j'étais là-bas?». Alors que la question de sa santé mentale est au coeur de son procès, l'extrémiste de 33 ans a nié en bloc. «Pourquoi aurais-je ri quand j'étais là-bas? Ce n'est pas vrai.(20minutes.fr) Breivik n'est qu'un fanatique.
Toujours sans pilote, la Grèce tergiverse sur la rigueur
Alors que le pays semblait s'être fait une raison des sacrifices et des réformes, les législatives ont rebattu les cartes et les marchés s'affolent. Toujours en quête d'un gouvernement, la Grèce s'affirme disposée à remettre en cause ses engagements de rigueur, massivement rejetés par l'électorat dimanche, un recul qui affole les marchés et repose la question de son maintien dans l'euro. Alors que la Grèce, menée depuis novembre 2011 par une coalition gouvernementale pro-austérité, semblait s'être fait une raison des sacrifices et des réformes qu'elle allait devoir consentir, les législatives ont rebattu les cartes. Il y a une semaine encore, les conservateurs de Nouvelle Démocratie (ND) et les socialistes du Pasok, qui se partagent le pouvoir depuis 38 ans, se posaient en garants du maintien du pays dans l'euro via la stricte application de la feuille de route des créanciers du pays, l'UE et le FMI. Mais dès qu'ont été connus les résultats des élections qui ont consacré les formations hostiles aux engagements de la Grèce vis-à-vis de ses créanciers, les responsables socialistes et conservateurs ont reconsidéré leur position. Antonis Samaras, chef de ND, a jugé de nouveau mardi "tout à fait réaliste" une "renégociation" des accords afin de faire "respirer l'économie" et "soulager la société".(lepoint.fr) La Belgique a bien fonctionnée sans gouvernement plus longtemps que l'Irak.
Source: Yahoo actualités
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Anticipant l'échec du leader de la gauche radicale Alexis Tsipras, Evangélos Vénizélos, le dirigeant du parti socialiste (Pasok), a affirmé mercredi 9 mai qu'il allait être chargé par le chef de l'Etat, Carolos Papoulias, de former un gouvernement de coalition. 'Je vais recevoir le mandat [pour former un gouvernement] et continuer l'effort national', a indiqué M. Venizélos à l'issue d'une rencontre infructueuse avec M. Tsipras, qui est actuellement le deuxième chef de parti politique à essayer de nouer des alliances en vue d'une coalition gouvernementale après les élections de dimanche. Après l'échec du chef de file de Nouvelle Démocratie, Antonis Samaras, à former un nouveau gouvernement de coalition viable, Alexis Tsipras, le jeune chef de file de Syriza, 37 ans, disposait à son tour de trois jours pour constituer une majorité au sein d'un Parlement éclaté et morcelé. Il devait consulter ce mercredi les dirigeants des grandes forces politiques du pays sans espoir crédible de débloquer la situation qui menace jusqu'à l'appartenance de la Grèce à la zone euro. Il avait en effet exclu mardi de se plier aux plans européens de sauvetage et posé comme condition la rupture des engagements pris avec les partenaires d'Athènes. C'est donc au leader du Pasok de prendre la relève.(lemonde.fr) Ne se sont-ils pas entendus pour faire cela?
Tuerie en Norvège: Breivik criait de joie pendant le massacre, selon une rescapée
Une rescapée du massacre de l'île d'Utoya a livré ce mercredi au procès d'Anders Behring Breivik des détails sur l'attitude de ce dernier au moment du drame. S'exprimant d'une voix claire et décidée, Tonje Brenna a raconté au tribunal d'Oslo comment, cachée dans le recoin d'une falaise, elle avait entendu les effusions de joie du tueur alors que des corps tombaient tout autour d'elle le 22 juillet 2011. «Je suis absolument sûre que j'ai entendu des cris de joie», a affirmé la jeune femme de 24 ans, première survivante de la fusillade à témoigner à la barre. «Si je devais l'épeler, ce serait: W-H-O-O. Clairement des cris de joie», a-t-elle décrit. Assis dans un box à quelques mètres d'elle, Breivik, qui a affiché très peu d'émotions depuis le début de son procès le 16 avril, a secoué la tête en signe de désapprobation en écoutant le témoignage de la secrétaire générale du Mouvement de la Jeunesse travailliste (AUF). «Pourquoi aurais-je ri quand j'étais là-bas?». Alors que la question de sa santé mentale est au coeur de son procès, l'extrémiste de 33 ans a nié en bloc. «Pourquoi aurais-je ri quand j'étais là-bas? Ce n'est pas vrai.(20minutes.fr) Breivik n'est qu'un fanatique.
Toujours sans pilote, la Grèce tergiverse sur la rigueur
Alors que le pays semblait s'être fait une raison des sacrifices et des réformes, les législatives ont rebattu les cartes et les marchés s'affolent. Toujours en quête d'un gouvernement, la Grèce s'affirme disposée à remettre en cause ses engagements de rigueur, massivement rejetés par l'électorat dimanche, un recul qui affole les marchés et repose la question de son maintien dans l'euro. Alors que la Grèce, menée depuis novembre 2011 par une coalition gouvernementale pro-austérité, semblait s'être fait une raison des sacrifices et des réformes qu'elle allait devoir consentir, les législatives ont rebattu les cartes. Il y a une semaine encore, les conservateurs de Nouvelle Démocratie (ND) et les socialistes du Pasok, qui se partagent le pouvoir depuis 38 ans, se posaient en garants du maintien du pays dans l'euro via la stricte application de la feuille de route des créanciers du pays, l'UE et le FMI. Mais dès qu'ont été connus les résultats des élections qui ont consacré les formations hostiles aux engagements de la Grèce vis-à-vis de ses créanciers, les responsables socialistes et conservateurs ont reconsidéré leur position. Antonis Samaras, chef de ND, a jugé de nouveau mardi "tout à fait réaliste" une "renégociation" des accords afin de faire "respirer l'économie" et "soulager la société".(lepoint.fr) La Belgique a bien fonctionnée sans gouvernement plus longtemps que l'Irak.
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