Le Pasok échoue à son tour à former un gouvernement en Grèce
Evangelos Venizelos, chef de file du Pasok arrivé en troisième position aux élections législatives du 6 mai en Grèce, n'est pas parvenu à former un gouvernement d'union nationale, a-t-on appris de sources proches de son parti social-démocrate. "Venizelos rendra son mandat (de formateur, ndlr) au président Karolos Papoulias", a annoncé à Reuters un haut responsable du Pasok. De son côté, la présidence a fait savoir que Papoulias recevra le chef de file du Pasok samedi à 10h00 GMT. Peu auparavant, le chef de la Coalition de la gauche radicale (Syriza), Alexis Tsipras, qui a devancé le Pasok dimanche, avait exclu sa participation à un gouvernement dirigé par Evangelos Venizelos.(fr.reuters.com) A force que tout les partis se refile la tache, je crains que la formation d'un gouvernement ne revienne au parti néo-nazi grec.
Londres choisit le F-35B aux dépens de l'interopérabilité avec la France
Paris a immédiatement regretté le choix des Britanniques. Le choix du F-35B américain pour équiper les porte-avions britanniques, annoncé jeudi à Londres, constitue un coup dur pour le concept d'interopérabilité au coeur de "l'entente formidable" franco-britannique en matière de défense. Paris a d'ailleurs déploré ce choix jeudi en milieu de journée. Le gouvernement britannique hésitait entre deux versions de l'avion de combat fabriqué par la même société américaine Lockheed Martin pour équiper la Royal Navy et la Royal Air Force (RAF) : le F-35B à atterrissage et décollage vertical et le F-35C lancé par catapultes. Il a finalement renoncé à se doter du F-35C du fait de "l'augmentation inacceptable (du coût) et des délais" qu'impliquait un tel choix. L'installation d'un système de catapulte et de récupération "cats and traps" sur le pont du Queen Elizabeth, futur porte-avions britannique qui reste à construire d'ici 2020, aurait entraîné un retard de 3 ans et un surcoût de 2 milliards de livres (2,5 milliards d'euros) par rapport au devis initial, a plaidé M. Hammond.(lepoint.fr) Bien trop chère donc.
Echec des négociations en Grèce, vers de nouvelles élections
Les négociations en vue de la formation d'un gouvernement grec sont dans l'impasse après la décision, vendredi, de la Gauche démocratique, un parti modéré, de ne pas participer à une coalition favorable au plan d'aide international aux côtés des conservateurs et des socialistes. "Nous sommes très clairs là-dessus, le parti de la Gauche démocratique ne participera pas à un gouvernement de coalition (composé) de Nouvelle Démocratie et du Pasok", a déclaré Fotis Kouvelis, chef de file de la Gauche démocratique, lors d'une réunion avec les députés de son parti, douchant semble-t-il les derniers espoirs d'accord. Fotis Kouvelis avait proposé jeudi de former un gouvernement d'union nationale rassemblant tous les partis, qui maintiendrait la Grèce dans la zone euro tout en promouvant un désengagement "graduel" du plan de renflouement. Vendredi matin, le chef de file des conservateurs, Antonis Samaras, avait jugé cette proposition "proche" de la position de Nouvelle Démocratie (ND), formation arrivée en tête des élections législatives de dimanche dernier.(fr.reuters.com) La Grèce est un peu comme une patate chaude que personne ne veut du moins tant qu'elle est chaude.
Source: Yahoo actualités
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Evangelos Venizelos, chef de file du Pasok arrivé en troisième position aux élections législatives du 6 mai en Grèce, n'est pas parvenu à former un gouvernement d'union nationale, a-t-on appris de sources proches de son parti social-démocrate. "Venizelos rendra son mandat (de formateur, ndlr) au président Karolos Papoulias", a annoncé à Reuters un haut responsable du Pasok. De son côté, la présidence a fait savoir que Papoulias recevra le chef de file du Pasok samedi à 10h00 GMT. Peu auparavant, le chef de la Coalition de la gauche radicale (Syriza), Alexis Tsipras, qui a devancé le Pasok dimanche, avait exclu sa participation à un gouvernement dirigé par Evangelos Venizelos.(fr.reuters.com) A force que tout les partis se refile la tache, je crains que la formation d'un gouvernement ne revienne au parti néo-nazi grec.
Londres choisit le F-35B aux dépens de l'interopérabilité avec la France
Paris a immédiatement regretté le choix des Britanniques. Le choix du F-35B américain pour équiper les porte-avions britanniques, annoncé jeudi à Londres, constitue un coup dur pour le concept d'interopérabilité au coeur de "l'entente formidable" franco-britannique en matière de défense. Paris a d'ailleurs déploré ce choix jeudi en milieu de journée. Le gouvernement britannique hésitait entre deux versions de l'avion de combat fabriqué par la même société américaine Lockheed Martin pour équiper la Royal Navy et la Royal Air Force (RAF) : le F-35B à atterrissage et décollage vertical et le F-35C lancé par catapultes. Il a finalement renoncé à se doter du F-35C du fait de "l'augmentation inacceptable (du coût) et des délais" qu'impliquait un tel choix. L'installation d'un système de catapulte et de récupération "cats and traps" sur le pont du Queen Elizabeth, futur porte-avions britannique qui reste à construire d'ici 2020, aurait entraîné un retard de 3 ans et un surcoût de 2 milliards de livres (2,5 milliards d'euros) par rapport au devis initial, a plaidé M. Hammond.(lepoint.fr) Bien trop chère donc.
Echec des négociations en Grèce, vers de nouvelles élections
Les négociations en vue de la formation d'un gouvernement grec sont dans l'impasse après la décision, vendredi, de la Gauche démocratique, un parti modéré, de ne pas participer à une coalition favorable au plan d'aide international aux côtés des conservateurs et des socialistes. "Nous sommes très clairs là-dessus, le parti de la Gauche démocratique ne participera pas à un gouvernement de coalition (composé) de Nouvelle Démocratie et du Pasok", a déclaré Fotis Kouvelis, chef de file de la Gauche démocratique, lors d'une réunion avec les députés de son parti, douchant semble-t-il les derniers espoirs d'accord. Fotis Kouvelis avait proposé jeudi de former un gouvernement d'union nationale rassemblant tous les partis, qui maintiendrait la Grèce dans la zone euro tout en promouvant un désengagement "graduel" du plan de renflouement. Vendredi matin, le chef de file des conservateurs, Antonis Samaras, avait jugé cette proposition "proche" de la position de Nouvelle Démocratie (ND), formation arrivée en tête des élections législatives de dimanche dernier.(fr.reuters.com) La Grèce est un peu comme une patate chaude que personne ne veut du moins tant qu'elle est chaude.
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