C'est une étude menée durant 34 ans qui a permis de tirer cette conclusion. De 9.665 à 17.287 personnes, hommes et femmes selon les périodes, ont ainsi été suivies de 1970 à 2004. Les critères pris en compte étaient notamment les résultats scolaires, la consommation quotidienne d'alcool, les excès dépassant la consommation maximum recommandée par les National health services (NHS) et enfin, les problèmes d'alcoolisme.
Il en ressort que les femmes ayant fait des études supérieures ont 1,7 fois plus de risques de développer des problèmes d'alcoolisme que les non diplômées. La vie sociale plus active et plus stressante, mais aussi la maternité plus tardive des femmes diplômées impliquant le report des responsabilités pourraient, d'après les chercheurs, expliquer ce rapport.
Source: maxisciences via Yahoo