A peine la situation plus ou moins régularisée, juste une semaine après la pénurie qui avait mis les manages dans tous leurs états, les dakarois vont-ils renouer avec les longues files d’attente devant les stations d’essence et les boutiques, à la recherche du gaz. ?
On se souvient en tout cas de cette dernière pénurie en pleine période de froid, en dépit de l’arrivée d’un cargo dont la livraison avait été retardée à cause d’un retard de paiements que les responsables avaient d’ailleurs assimilé à un problème de jour férié.
Après une semaine, le problème avait été plus ou moins réglé. Mais la situation redevenue normale n’aura pas duré longtemps, car depuis hier, le gaz est encore introuvable dans plusieurs quartiers de la ville. Plusieurs témoignages concordent pour affirmer que dans différents quartiers de la capitale, la bonbonne de 6 kg est devenue denrée rare. Des usagers rencontrés hier à la recherche de gaz soutiennent qu’il y a encore une tension sur le produit. Ce que confirme d’ailleurs une source proche du milieu du secteur des hydrocarbures, qui avance encore la même justification que lors de la précédente rupture, c’est-à-dire un problème de retard de paiements. Même si le long circuit de l’ordre de paiement à la compense avait été mis en cause, les consommateurs ne demandent qu’à être rassurés, puisqu’ils comprennent difficilement qu’en si peu de temps la cargaison ait pu être épuisée. Selon une autre source proche du ministère, cette situation de légère rupture est dans la suite logique de la situation antérieure. « Avant l’arrivée du bateau précédent, il y avait eu une rupture, de sorte que quand le cargo est arrivé, les gens se sont rués sur le gaz et certains n’ont pas hésité parfois à se doter de trois à quatre bouteilles. Ce qui a fait que le stock n’a pas trop résisté avant l’arrivé de la livraison suivante qui est déjà en place », affirme notre source.
Dans cette nébuleuse, on rappellera la proposition du ministre de l’Energie Samuel Sarr qui prônait une exonération de droits sur le gaz qui serait substituée à une partie équivalente de la subvention.
En attendant, la situation n’est pas alarmante, selon notre source, qui pense que tout devrait rentrer dans l’ordre sous peu de temps.
Source: Le Soleil
On se souvient en tout cas de cette dernière pénurie en pleine période de froid, en dépit de l’arrivée d’un cargo dont la livraison avait été retardée à cause d’un retard de paiements que les responsables avaient d’ailleurs assimilé à un problème de jour férié.
Après une semaine, le problème avait été plus ou moins réglé. Mais la situation redevenue normale n’aura pas duré longtemps, car depuis hier, le gaz est encore introuvable dans plusieurs quartiers de la ville. Plusieurs témoignages concordent pour affirmer que dans différents quartiers de la capitale, la bonbonne de 6 kg est devenue denrée rare. Des usagers rencontrés hier à la recherche de gaz soutiennent qu’il y a encore une tension sur le produit. Ce que confirme d’ailleurs une source proche du milieu du secteur des hydrocarbures, qui avance encore la même justification que lors de la précédente rupture, c’est-à-dire un problème de retard de paiements. Même si le long circuit de l’ordre de paiement à la compense avait été mis en cause, les consommateurs ne demandent qu’à être rassurés, puisqu’ils comprennent difficilement qu’en si peu de temps la cargaison ait pu être épuisée. Selon une autre source proche du ministère, cette situation de légère rupture est dans la suite logique de la situation antérieure. « Avant l’arrivée du bateau précédent, il y avait eu une rupture, de sorte que quand le cargo est arrivé, les gens se sont rués sur le gaz et certains n’ont pas hésité parfois à se doter de trois à quatre bouteilles. Ce qui a fait que le stock n’a pas trop résisté avant l’arrivé de la livraison suivante qui est déjà en place », affirme notre source.
Dans cette nébuleuse, on rappellera la proposition du ministre de l’Energie Samuel Sarr qui prônait une exonération de droits sur le gaz qui serait substituée à une partie équivalente de la subvention.
En attendant, la situation n’est pas alarmante, selon notre source, qui pense que tout devrait rentrer dans l’ordre sous peu de temps.
Source: Le Soleil