A 23 h 55, la dame A.D était chez sa copine Fama pour les préparatifs du Magal de Porokhane. Souvent, à cette heure, son mari Amadou. D était au lit. Mais, pour la première fois, A.D ne trouve pas son mari dans la chambre conjugale. Soupçonnant quelque chose, la dame va à la recherche de son époux. A sa grande surprise, elle le surprend en plein ébats entre les jambes d’une fillette de 15 ans.
Ne sachant que faire, la dame A.D rejoint tranquillement et sur la pointe des pieds, ses copines dans une villa du quartier où les femmes préparaient les festivités du Magal dédié à Mame Diarra Bousso.
Arrivée sur les lieux, certaines de ses amies, qu’elle avait mises au parfum de sa désolante trouvaille, lui recommandent d’appeler la police, tandis que d’autres, plus radicales, lui proposent de verser de l’huile chaude dans les parties intimes de son mari pour le rendre impuissant pour l’éternité.
La deuxième proposition semble être la meilleure pour elle et ses amies. Sans retenue, A.D remplit un petit récipient d’huile chaude et se dirige vers sa maison avec ses amies. Par la suite, du fait des nombreuses propos qualifiés d’incorrectes de ses amies, A.D décide de retourner, seule, à sa maison, toujours avec un autre récipient rempli à moitié d’huile chaude. Arrivée, une nouvelle fois, sur les lieux, la dame ne pouvait plus se retenir, car son époux était toujours prisonnier des belles jambes de la jeune fille.
Devant la porte, A.D pousse un petit grincement de dent, ce qui permet à son mari de se lever précipitamment pour porter ses habits. Lorsque le mari lui a tourné le dos, laissant entendre qu’il n’a eu aucun lien sexuel avec cette fillette, A.D a vidé le contenu de son récipient sur celui qui venait de la cocufier.
Ce vendredi, aux environs de 22h, des cris ont été entendus dans le quartier des pécheurs, plus particulièrement dans la maison conjugale, où la dame a été violemment battue par son mari, qui la demanda, par la même occasion, de rentrer chez elle, jusqu’à ce que le problème soit définitivement réglé. Ce que la dame a rejeté. Une plainte sera déposée, dans les jours à venir, par la famille d’A.D, contre Amadou D, qui a voulu passer l’affaire sous silence.
Source: Yahoo News
Ne sachant que faire, la dame A.D rejoint tranquillement et sur la pointe des pieds, ses copines dans une villa du quartier où les femmes préparaient les festivités du Magal dédié à Mame Diarra Bousso.
Arrivée sur les lieux, certaines de ses amies, qu’elle avait mises au parfum de sa désolante trouvaille, lui recommandent d’appeler la police, tandis que d’autres, plus radicales, lui proposent de verser de l’huile chaude dans les parties intimes de son mari pour le rendre impuissant pour l’éternité.
La deuxième proposition semble être la meilleure pour elle et ses amies. Sans retenue, A.D remplit un petit récipient d’huile chaude et se dirige vers sa maison avec ses amies. Par la suite, du fait des nombreuses propos qualifiés d’incorrectes de ses amies, A.D décide de retourner, seule, à sa maison, toujours avec un autre récipient rempli à moitié d’huile chaude. Arrivée, une nouvelle fois, sur les lieux, la dame ne pouvait plus se retenir, car son époux était toujours prisonnier des belles jambes de la jeune fille.
Devant la porte, A.D pousse un petit grincement de dent, ce qui permet à son mari de se lever précipitamment pour porter ses habits. Lorsque le mari lui a tourné le dos, laissant entendre qu’il n’a eu aucun lien sexuel avec cette fillette, A.D a vidé le contenu de son récipient sur celui qui venait de la cocufier.
Ce vendredi, aux environs de 22h, des cris ont été entendus dans le quartier des pécheurs, plus particulièrement dans la maison conjugale, où la dame a été violemment battue par son mari, qui la demanda, par la même occasion, de rentrer chez elle, jusqu’à ce que le problème soit définitivement réglé. Ce que la dame a rejeté. Une plainte sera déposée, dans les jours à venir, par la famille d’A.D, contre Amadou D, qui a voulu passer l’affaire sous silence.
Source: Yahoo News