Le secteur de la distribution aux Etats-Unis a vu ses ventes de fin d'année progresser de 3,6% par rapport à celles de 2006, une augmentation qui se situe dans le bas de la fourchette des prévisions, selon une enquête SpendingPulse.
Les analystes s'attendaient à ce que le cru 2007 marque le rythme de progression le plus faible depuis cinq ans, crise de l'immobilier, durcissement du crédit, enchérissement des prix du carburant et des produits alimentaires freinant logiquement les dépenses de consommation.
SpendingPulse avait tablé sur une augmentation des ventes de 3,5% à 4%. En excluant l'essence, dont le prix a augmenté d'environ 30% par rapport à la fin de l'an dernier, les dépenses ont en fait augmenté de 2,4%.
Selon cette enquête, dont les résultats ont été publiés mardi, les ventes des magasins de confection, dont Gap, Aeropostale et Urban Outfitters, ont progressé de 1,4% par rapport à l'an dernier. Mais si les ventes de vêtements pour hommes ont augmenté de 2,3%, celles pour femmes ont reculé de 2,4%.
Les ventes de chaussures ont affiché une progression de 6%, jugée satisfaisante.
Les ventes d'électronique grand public, au sein desquelles sont comptabilisées celles des iPod d'Apple Inc, des ordinateurs portables et des écrans plats, ont progressé de 2,7%.
Les ventes sur internet se sont taillées la part du lion avec un bond de 22,4%.
Dans le luxe, les ventes ont augmenté de 7,1% en excluant la joaillerie mais ont baissé de 1,9% si l'on en tient compte.
Globalement, une certaine accélération a été ressentie au cours des deux dernières semaines, a précisé Michael McNamara, responsable des recherches et analyses chez MasterCard Advisors.
Elle n'a cependant pas suffi à compenser le tassement notamment observé par le spécialiste du discount Target, qui a prévenu lundi soir que ses ventes de décembre seraient inférieures aux attentes, à périmètre comparable.
L'enquête de SpendingPulse ne prend pas en considération la dernière semaine des ventes de fin d'année, celle qui suit Noël et devient semble-t-il de plus en plus importante du point de vue commercial.
En 2006, ces sept jours avaient permis de réaliser un volume total de ventes de 58 milliards de dollars, a indiqué Michael McNamara. Ces quatre dernières années, ils ont représenté 15% à 16% environ des ventes de la saison.
"Je ne serais pas surpris que nous franchissions les 60 milliards de dollars", a déclaré McNamara. "C'est une période qui prend de l'importance."
Source: http://fr.news.yahoo.com
Les analystes s'attendaient à ce que le cru 2007 marque le rythme de progression le plus faible depuis cinq ans, crise de l'immobilier, durcissement du crédit, enchérissement des prix du carburant et des produits alimentaires freinant logiquement les dépenses de consommation.
SpendingPulse avait tablé sur une augmentation des ventes de 3,5% à 4%. En excluant l'essence, dont le prix a augmenté d'environ 30% par rapport à la fin de l'an dernier, les dépenses ont en fait augmenté de 2,4%.
Selon cette enquête, dont les résultats ont été publiés mardi, les ventes des magasins de confection, dont Gap, Aeropostale et Urban Outfitters, ont progressé de 1,4% par rapport à l'an dernier. Mais si les ventes de vêtements pour hommes ont augmenté de 2,3%, celles pour femmes ont reculé de 2,4%.
Les ventes de chaussures ont affiché une progression de 6%, jugée satisfaisante.
Les ventes d'électronique grand public, au sein desquelles sont comptabilisées celles des iPod d'Apple Inc, des ordinateurs portables et des écrans plats, ont progressé de 2,7%.
Les ventes sur internet se sont taillées la part du lion avec un bond de 22,4%.
Dans le luxe, les ventes ont augmenté de 7,1% en excluant la joaillerie mais ont baissé de 1,9% si l'on en tient compte.
Globalement, une certaine accélération a été ressentie au cours des deux dernières semaines, a précisé Michael McNamara, responsable des recherches et analyses chez MasterCard Advisors.
Elle n'a cependant pas suffi à compenser le tassement notamment observé par le spécialiste du discount Target, qui a prévenu lundi soir que ses ventes de décembre seraient inférieures aux attentes, à périmètre comparable.
L'enquête de SpendingPulse ne prend pas en considération la dernière semaine des ventes de fin d'année, celle qui suit Noël et devient semble-t-il de plus en plus importante du point de vue commercial.
En 2006, ces sept jours avaient permis de réaliser un volume total de ventes de 58 milliards de dollars, a indiqué Michael McNamara. Ces quatre dernières années, ils ont représenté 15% à 16% environ des ventes de la saison.
"Je ne serais pas surpris que nous franchissions les 60 milliards de dollars", a déclaré McNamara. "C'est une période qui prend de l'importance."
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