Microsoft veut breveter l'écran qui tue les germes et bactéries
Microsoft tente actuellement d'obtenir un brevet original. Une demande a été en effet déposée pour une technologie qui permettrait un nettoyage automatique des écrans. On ne parle pas ici des traces et autres saletés, mais bien des bactéries et autres germes. Selon le document de la demande de brevet, un écran devrait utiliser deux types de LED. On trouverait d'abord les diodes classiques utilisées sur une grande partie des écrans récents pour le rétroéclairage. Mais il y aurait également une deuxième famille : les LED à ultraviolets. Des capteurs de mouvements repèreraient les mouvements des doigts sur l'écran. Sitôt que ces derniers s'en iraient, le processus de stérilisation se mettrait en marche. Le principe de destruction des germes et bactéries par ultraviolets est nommé Ultraviolet Germicidal Irradiation (UVGI). Un concept intéressant qui trouverait sans nul doute de nombreux débouchés dans le domaine des bornes publiques. On pense ainsi aux gares de train ou aux aéroports ou encore à l'entrée des cinémas ou dans certains fast-foods comme McDonald's. Des bornes qui sont touchées potentiellement par des milliers de personnes chaque jour, augmentant les risques de déplacement et transmission des gênes quand l'hygiène des mains n'est pas au rendez-vous.(pcimpact.com) Ainsi je pourrais me laver les mains sur ma tablette? Comment je fais pour les toilettes alors?
Cyberattaque sur le Nasdaq, des conseils d'administration visés
Les pirates informatiques qui ont pénétré dans le système informatique de Nasdaq OMX Group l'année dernière ont installé des logiciels malveillants leur permettant d'espionner les conseils d'administration de sociétés cotées, selon deux sources proche de l'enquête. De nouvelles informations prouvent en effet que cette cyberattaque est plus grave que ne le suggéraient les premiers éléments, alors qu'en février Nasdaq avait déclaré qu'aucune preuve ne permettait d'indiquer que les pirates avaient eu accès aux informations des clients. On ne sait pas quel type d'informations pourraient avoir été volées par les pirates. L'enquête, menée par le FBI et l'Agence nationale de sécurité, poursuit son cours. "Dieu seul sait ce qu'ils ont fait. L'impact à long terme d'une telle attaque est toujours indéterminée", commente Tom Kellermann, expert reconnu en sécurité informatique. Nasdaq a été victime d'une attaque visant à faciliter l'accès aux données d'une autre société, comme ce fut le cas lorsque des clés de sécurité numérique ont été dérobées à la division RSA Security du groupe EMC en mars, permettant aux "hackers" de pénétrer par la suite les réseaux de Lockheed Martin.(fr.reuters.com) Les Hackers eux aussi veulent la chute de la bourse?
France 24, un pied dans l’hécatombe
Là où Alain de Pouzilhac passe, les chefs de France 24 trépassent. Combien en aura-t-il essoré depuis 2008 qu’il préside l’Audiovisuel extérieur de la France (AEF), qui rassemble la chaîne France 24 et RFI ? On ne les compte plus : Ulysse Gosset, Albert Ripamonti, Vincent Giret (1), Christine Ockrent… et désormais Jean Lesieur. Le directeur de la rédaction de France 24 aura tenu un an et un mois : hier, il a présenté par mail sa démission à Pouzilhac et ce, dans des termes pas piqués des hannetons, dénonçant les « méthodes perverses » du président de l’AEF ainsi que son « attitude fermée, hostile, méprisante ». Bim, bam, boum : ce qui est bien, c’est qu’avec France 24, on n’est jamais déçu. Déjà, une assemblée générale des journalistes est prévue ce matin à la cantine de France 24 où Pouzilhac devrait entendre parler du pays. Et le vote d’une motion de défiance à son endroit pourrait même être inscrit à l’ordre du jour. Car Jean Lesieur semble bénéficier d’un certain soutien de la rédaction. Au début du mois, l’arrivée probable de Christian de Villeneuve à la tête de France 24 en remplacement de Christine Ockrent déclenche la colère de la SDJ (Société des journalistes) qui y voit une manière de dégommer Jean Lesieur. Pétition largement signée dans la rédaction, rendez-vous avec Pouzilhac et les journalistes obtiennent gain de cause : « Il nous a assuré, écrit la SDJ au sortir de la rencontre, que Christian de Villeneuve ne sera pas nommé à la tête de la rédaction de France 24. » Autre motif de satisfaction pour les journalistes : l’émission confiée à Richard Labévière est supprimée. Ce drôle de pistolet de Labévière s’était fait remarquer en dénonçant, une fois viré de RFI en 2008, le « lobby sioniste » à l’origine de son licenciement.(liberation.fr) Quel est le Titan qui se cache derrière cette hécatombe?
Source: Yahoo Actualités
Microsoft tente actuellement d'obtenir un brevet original. Une demande a été en effet déposée pour une technologie qui permettrait un nettoyage automatique des écrans. On ne parle pas ici des traces et autres saletés, mais bien des bactéries et autres germes. Selon le document de la demande de brevet, un écran devrait utiliser deux types de LED. On trouverait d'abord les diodes classiques utilisées sur une grande partie des écrans récents pour le rétroéclairage. Mais il y aurait également une deuxième famille : les LED à ultraviolets. Des capteurs de mouvements repèreraient les mouvements des doigts sur l'écran. Sitôt que ces derniers s'en iraient, le processus de stérilisation se mettrait en marche. Le principe de destruction des germes et bactéries par ultraviolets est nommé Ultraviolet Germicidal Irradiation (UVGI). Un concept intéressant qui trouverait sans nul doute de nombreux débouchés dans le domaine des bornes publiques. On pense ainsi aux gares de train ou aux aéroports ou encore à l'entrée des cinémas ou dans certains fast-foods comme McDonald's. Des bornes qui sont touchées potentiellement par des milliers de personnes chaque jour, augmentant les risques de déplacement et transmission des gênes quand l'hygiène des mains n'est pas au rendez-vous.(pcimpact.com) Ainsi je pourrais me laver les mains sur ma tablette? Comment je fais pour les toilettes alors?
Cyberattaque sur le Nasdaq, des conseils d'administration visés
Les pirates informatiques qui ont pénétré dans le système informatique de Nasdaq OMX Group l'année dernière ont installé des logiciels malveillants leur permettant d'espionner les conseils d'administration de sociétés cotées, selon deux sources proche de l'enquête. De nouvelles informations prouvent en effet que cette cyberattaque est plus grave que ne le suggéraient les premiers éléments, alors qu'en février Nasdaq avait déclaré qu'aucune preuve ne permettait d'indiquer que les pirates avaient eu accès aux informations des clients. On ne sait pas quel type d'informations pourraient avoir été volées par les pirates. L'enquête, menée par le FBI et l'Agence nationale de sécurité, poursuit son cours. "Dieu seul sait ce qu'ils ont fait. L'impact à long terme d'une telle attaque est toujours indéterminée", commente Tom Kellermann, expert reconnu en sécurité informatique. Nasdaq a été victime d'une attaque visant à faciliter l'accès aux données d'une autre société, comme ce fut le cas lorsque des clés de sécurité numérique ont été dérobées à la division RSA Security du groupe EMC en mars, permettant aux "hackers" de pénétrer par la suite les réseaux de Lockheed Martin.(fr.reuters.com) Les Hackers eux aussi veulent la chute de la bourse?
France 24, un pied dans l’hécatombe
Là où Alain de Pouzilhac passe, les chefs de France 24 trépassent. Combien en aura-t-il essoré depuis 2008 qu’il préside l’Audiovisuel extérieur de la France (AEF), qui rassemble la chaîne France 24 et RFI ? On ne les compte plus : Ulysse Gosset, Albert Ripamonti, Vincent Giret (1), Christine Ockrent… et désormais Jean Lesieur. Le directeur de la rédaction de France 24 aura tenu un an et un mois : hier, il a présenté par mail sa démission à Pouzilhac et ce, dans des termes pas piqués des hannetons, dénonçant les « méthodes perverses » du président de l’AEF ainsi que son « attitude fermée, hostile, méprisante ». Bim, bam, boum : ce qui est bien, c’est qu’avec France 24, on n’est jamais déçu. Déjà, une assemblée générale des journalistes est prévue ce matin à la cantine de France 24 où Pouzilhac devrait entendre parler du pays. Et le vote d’une motion de défiance à son endroit pourrait même être inscrit à l’ordre du jour. Car Jean Lesieur semble bénéficier d’un certain soutien de la rédaction. Au début du mois, l’arrivée probable de Christian de Villeneuve à la tête de France 24 en remplacement de Christine Ockrent déclenche la colère de la SDJ (Société des journalistes) qui y voit une manière de dégommer Jean Lesieur. Pétition largement signée dans la rédaction, rendez-vous avec Pouzilhac et les journalistes obtiennent gain de cause : « Il nous a assuré, écrit la SDJ au sortir de la rencontre, que Christian de Villeneuve ne sera pas nommé à la tête de la rédaction de France 24. » Autre motif de satisfaction pour les journalistes : l’émission confiée à Richard Labévière est supprimée. Ce drôle de pistolet de Labévière s’était fait remarquer en dénonçant, une fois viré de RFI en 2008, le « lobby sioniste » à l’origine de son licenciement.(liberation.fr) Quel est le Titan qui se cache derrière cette hécatombe?
Source: Yahoo Actualités