Le pape plaide la cause des immigrants au Congrès américain
Devant une chambre des représentants pleine à craquer, le chef de l'Eglise catholique a conseillé aux Etats-Unis de ne pas se laisser décourager par le nombre des immigrants qui veulent en faire leur pays d'adoption.
"Nous ne devons pas être décontenancés par le nombre, mais voir plutôt en eux des personnes, regarder leurs visages et écouter leur histoire, chercher à répondre du mieux que nous pouvons à leur situation. Répondre d'une façon qui soit toujours humaine, juste et fraternelle", a-t-il dit.
Ses déclarations sur l'immigration ont été saluées à de nombreuses reprises par des applaudissements, surtout dans les rangs démocrates, mais aussi chez les républicains. (Reuters)
Au Congrès, le pape invite les Américains à rester dignes de leur rêve - Dénonciation implicite des guerres menées par les Etats-Unis
Dans le pays qui possède la première industrie d’armement, le pape n’a pas craint de répéter son hostilité à ce commerce dont il a demandé la fin. « Imiter la haine et la violence des tyrans et des meurtriers est la meilleure façon de prendre leur place », a-t-il expliqué plus largement, dans une dénonciation implicite des guerres menées par les États-Unis, comme celle en Irak à laquelle le Saint-Siège s’était vigoureusement opposé. (la-croix.com)
Alain Duhamel : "Le pape François a su se faire écouter sur la scène internationale, bien plus que certains dirigeants politiques"
Cette première visite historique a deux objectifs selon Alain Duhamel : pastoral et politique. L'objectif pastoral est déjà réussi puisque le voyage du pape a suscité une immense curiosité chez les catholiques mais aussi chez les protestants, les juifs et les musulmans. Sur le plan politique, il a déjà su se faire écouter sur la scène internationale, bien mieux que son prédécesseur Benoît XVI et que la plupart des dirigeants politiques. (rtl.fr)
Dans un discours mesuré, le pape invite le Congrès américain à répondre aux défis mondiaux
S’exprimant lentement et avec un accent argentin prononcé, Jorge Mario Bergoglio a rendu hommage à Abraham Lincoln à Martin Luther King, soulignant que «l’Amérique continue d’être, pour beaucoup, un pays de rêves».
Il a appelé à «éliminer les nouvelles formes d’esclavage» et à répondre à «une crise de réfugiés d’une ampleur inconnue depuis la Seconde Guerre Mondiale». Il a aussi demandé «l’abolition totale de la peine de mort» et à inverser les effets les plus graves de la détérioration environnementale causée par l’activité humaine «et à défendre» le bien commun qu’est la Terre ». (20minutes.fr)
Devant une chambre des représentants pleine à craquer, le chef de l'Eglise catholique a conseillé aux Etats-Unis de ne pas se laisser décourager par le nombre des immigrants qui veulent en faire leur pays d'adoption.
"Nous ne devons pas être décontenancés par le nombre, mais voir plutôt en eux des personnes, regarder leurs visages et écouter leur histoire, chercher à répondre du mieux que nous pouvons à leur situation. Répondre d'une façon qui soit toujours humaine, juste et fraternelle", a-t-il dit.
Ses déclarations sur l'immigration ont été saluées à de nombreuses reprises par des applaudissements, surtout dans les rangs démocrates, mais aussi chez les républicains. (Reuters)
Au Congrès, le pape invite les Américains à rester dignes de leur rêve - Dénonciation implicite des guerres menées par les Etats-Unis
Dans le pays qui possède la première industrie d’armement, le pape n’a pas craint de répéter son hostilité à ce commerce dont il a demandé la fin. « Imiter la haine et la violence des tyrans et des meurtriers est la meilleure façon de prendre leur place », a-t-il expliqué plus largement, dans une dénonciation implicite des guerres menées par les États-Unis, comme celle en Irak à laquelle le Saint-Siège s’était vigoureusement opposé. (la-croix.com)
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Cette première visite historique a deux objectifs selon Alain Duhamel : pastoral et politique. L'objectif pastoral est déjà réussi puisque le voyage du pape a suscité une immense curiosité chez les catholiques mais aussi chez les protestants, les juifs et les musulmans. Sur le plan politique, il a déjà su se faire écouter sur la scène internationale, bien mieux que son prédécesseur Benoît XVI et que la plupart des dirigeants politiques. (rtl.fr)
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S’exprimant lentement et avec un accent argentin prononcé, Jorge Mario Bergoglio a rendu hommage à Abraham Lincoln à Martin Luther King, soulignant que «l’Amérique continue d’être, pour beaucoup, un pays de rêves».
Il a appelé à «éliminer les nouvelles formes d’esclavage» et à répondre à «une crise de réfugiés d’une ampleur inconnue depuis la Seconde Guerre Mondiale». Il a aussi demandé «l’abolition totale de la peine de mort» et à inverser les effets les plus graves de la détérioration environnementale causée par l’activité humaine «et à défendre» le bien commun qu’est la Terre ». (20minutes.fr)
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