Lagarde en Tunisie, où la diplomatie française est bousculée
Christine Lagarde se rend mardi en Tunisie où la diplomatie française est bousculée par les polémiques entourant la ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie et le nouvel ambassadeur Boris Boillon. Pour cette première visite d'un membre du gouvernement français depuis la chute du président Zine ben Ali, la ministre des Finances sera accompagnée d'un de ses ex-secrétaires d'Etat à Bercy, le ministre des Affaires européennes Laurent Wauquiez, lui-même placé sous l'autorité de Michèle Alliot-Marie. "Ce premier déplacement (...) sera l'occasion de réitérer un message politique de soutien à la transition démocratique engagée et de souligner la disponibilité de la France pour aider le peuple tunisien à concrétiser ses aspirations et construire une Tunisie démocratique et prospère", indique un communiqué de son ministère. Reuters
Protestations contre la venue d'Ali Bongo à l'Elysée
Des opposants gabonais soutenus par Jeudi Noir ont manifesté lundi à Paris pour protester contre la venue d'Ali Bongo, qui a été reçu à l'Elysée par Nicolas Sarkozy.
L'association Survie, qui milite pour une réforme de la politique de la France en Afrique, indique "Nicolas Sarkozy maintient le cap d'un soutien fidèle et assumé aux régimes autocratiques en Afrique en recevant Ali Bongo". Reuters
Dominique Strauss-Kahn joue avec les nerfs socialistes
Le suspense entretenu par Dominique Strauss-Kahn agace bon nombre de socialistes, qui fourbissent leurs armes en attendant son éventuelle candidature présidentielle, et nourrit les attaques de la droite.
Tous ont défendu, Pierre Moscovici en tête, son choix de ne pas encore entrer dans le jeu de la primaire présidentielle du PS. Pour Jean-Christophe Cambadélis, la seule chose qui compte c'est que "la candidature de 'DSK' chemine dans l'opinion". Le premier secrétaire du PS, Martine Aubry, n'a pas commenté le week-end ultra-médiatisé de Dominique Strauss-Kahn mais une partie grandissante des socialistes a haussé le ton, refusant de vivre suspendus aux lèvres de Dominique Strauss-Kahn. Reuters
La CGT suspend un de ses syndicats en Moselle pour sa proximité avec le Front national
La CGT a annoncé, lundi, la suspension de son syndicats des agents territoriaux de Nilvange (Moselle) en raison de la présence du secrétaire général Fabien Engelmann sur une liste du Front national pour les élections cantonales, et du refus de la majorité des militants syndicaux de le désavouer. "Les idées du FN n'ont pas leur place dans la CGT", déclare l'organisation syndicale. "Ces dernières semaines, le secrétaire général du syndicat CGT des agents territoriaux de la mairie de Nilvange a fait connaître publiquement sa récente adhésion au Front national et sa candidature sous cette étiquette aux prochaines élections cantonales", explique la CGT des services publics dans un communiqué diffusé lundi. "Dans une interview publiée sur un site internet, dans laquelle il se prévaut de son appartenance à la CGT, il défend les thèses du FN sur la préférence nationale, sur l'immigration comme cause du chômage et contre la régularisation des sans-papiers", poursuit la fédération. AP
Christine Lagarde se rend mardi en Tunisie où la diplomatie française est bousculée par les polémiques entourant la ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie et le nouvel ambassadeur Boris Boillon. Pour cette première visite d'un membre du gouvernement français depuis la chute du président Zine ben Ali, la ministre des Finances sera accompagnée d'un de ses ex-secrétaires d'Etat à Bercy, le ministre des Affaires européennes Laurent Wauquiez, lui-même placé sous l'autorité de Michèle Alliot-Marie. "Ce premier déplacement (...) sera l'occasion de réitérer un message politique de soutien à la transition démocratique engagée et de souligner la disponibilité de la France pour aider le peuple tunisien à concrétiser ses aspirations et construire une Tunisie démocratique et prospère", indique un communiqué de son ministère. Reuters
Protestations contre la venue d'Ali Bongo à l'Elysée
Des opposants gabonais soutenus par Jeudi Noir ont manifesté lundi à Paris pour protester contre la venue d'Ali Bongo, qui a été reçu à l'Elysée par Nicolas Sarkozy.
L'association Survie, qui milite pour une réforme de la politique de la France en Afrique, indique "Nicolas Sarkozy maintient le cap d'un soutien fidèle et assumé aux régimes autocratiques en Afrique en recevant Ali Bongo". Reuters
Dominique Strauss-Kahn joue avec les nerfs socialistes
Le suspense entretenu par Dominique Strauss-Kahn agace bon nombre de socialistes, qui fourbissent leurs armes en attendant son éventuelle candidature présidentielle, et nourrit les attaques de la droite.
Tous ont défendu, Pierre Moscovici en tête, son choix de ne pas encore entrer dans le jeu de la primaire présidentielle du PS. Pour Jean-Christophe Cambadélis, la seule chose qui compte c'est que "la candidature de 'DSK' chemine dans l'opinion". Le premier secrétaire du PS, Martine Aubry, n'a pas commenté le week-end ultra-médiatisé de Dominique Strauss-Kahn mais une partie grandissante des socialistes a haussé le ton, refusant de vivre suspendus aux lèvres de Dominique Strauss-Kahn. Reuters
La CGT suspend un de ses syndicats en Moselle pour sa proximité avec le Front national
La CGT a annoncé, lundi, la suspension de son syndicats des agents territoriaux de Nilvange (Moselle) en raison de la présence du secrétaire général Fabien Engelmann sur une liste du Front national pour les élections cantonales, et du refus de la majorité des militants syndicaux de le désavouer. "Les idées du FN n'ont pas leur place dans la CGT", déclare l'organisation syndicale. "Ces dernières semaines, le secrétaire général du syndicat CGT des agents territoriaux de la mairie de Nilvange a fait connaître publiquement sa récente adhésion au Front national et sa candidature sous cette étiquette aux prochaines élections cantonales", explique la CGT des services publics dans un communiqué diffusé lundi. "Dans une interview publiée sur un site internet, dans laquelle il se prévaut de son appartenance à la CGT, il défend les thèses du FN sur la préférence nationale, sur l'immigration comme cause du chômage et contre la régularisation des sans-papiers", poursuit la fédération. AP