Vers 16H00 GMT, le Dow Jones Industrial Average cédait 68,58 points, à 7.327,12 points, tandis que le Nasdaq, à dominante technologique, prenait 1,28 point, à 1.463,39 points.
L'indice élargi Standard & Poor's 500 quant à lui reculait de 0,66% (5,14 points), à 772,98 points.
Mardi, Wall Street avait fini en forte hausse, consolidant ses gains dans les dernières minutes de transactions, grâce à des chiffres de l'immobilier meilleurs que prévu et au rebond marqué des valeurs technologiques. Le Dow Jones avait gagné 2,48% et le Nasdaq 4,14%.
"C'est une journée mitigée. Il y a une certaine faiblesse parmi les grands noms du Dow Jones (...), mais la vraie histoire, c'est la solidité des valeurs financières", a estimé Mace Blicksilver, de Marblehead Asset Management.
Bank of America, qui prévoit de rembourser les 45 milliards de dollars prêtés par l'Etat fédéral "probablement" fin 2009 ou début 2010, gagnait 10,05% à 6,90 dollars. Citigroup continuait sur sa lancée des derniers jours (+21,91% à 3,06 dollars).
Les investisseurs attendaient l'issue de la réunion du comité de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine.
"Les opérateurs de marché semblent être un peu moins sûrs de ce que la Fed va dévoiler, étant donné qu'elle a déjà utilisé toutes ses munitions sur un assouplissement de son taux directeur et mis en place des méthodes moins conventionnelles pour enrayer la crise financière", observaient les analystes de Charles Schwab.
"On a beaucoup de couvertures de positions et de stabilisation sur le marché, il est possible que le communiqué de la Fed soit interprété positivement", a jugé de son côté M. Blicksilver.
Depuis décembre, le taux directeur de la Fed est quasiment à zéro, fluctuant dans une marge comprise entre 0 et 0,25%, et la banque centrale a laissé entendre qu'elle ne reviendrait pas là-dessus avant un "certain temps".
Côté statistiques, les prix à la consommation aux Etats-Unis ont accéléré leur hausse en février, augmentant de 0,4% par rapport au mois précédent.
"La Fed peut se concentrer strictement sur le secteur financier avec des craintes minimes sur l'inflation à court terme", a observé l'économiste indépendant Joel Naroff.
Certaines valeurs concentraient l'attention du marché: le titre du groupe informatique Sun Microsystems affichait une envolée spectaculaire, de 70,10% à 8,42 dollars, alors que son concurrent IBM (-2,52% à 90,57 dollars) chercherait à le racheter et pourrait débourser "au moins 6,5 milliards de dollars", selon le quotidien Wall Street Journal. Soit une prime de 100% par rapport au cours de clôture de lundi, soulignent les analystes.
Dans le même domaine, Hewlett-Packard lâchait 3,03% à 28,85 dollars.
Coca-Cola (-0,68% à 41,17 dollars) n'était pas trop pénalisé par le refus par la Chine d'autoriser le rachat du leader du jus de fruits Huiyan. Si Coca-Cola s'est dit déçu, les analystes étaient plus pragmatiques.
"Cela aurait été bien de construire sur une marque locale solide, mais des résultats concrets sur les recettes à court terme était peu probable. Ce n'est pas le pire moment pour avoir 2,4 milliards de dollars de liquidités disponibles", ont jugé les analystes de Deutsche Bank.
Le marché obligataire montait. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans descendait à 2,651% contre 3,003% mardi soir et celui à 30 ans à 3,764%, contre 3,804% la veille.
Source: Yahoo News
L'indice élargi Standard & Poor's 500 quant à lui reculait de 0,66% (5,14 points), à 772,98 points.
Mardi, Wall Street avait fini en forte hausse, consolidant ses gains dans les dernières minutes de transactions, grâce à des chiffres de l'immobilier meilleurs que prévu et au rebond marqué des valeurs technologiques. Le Dow Jones avait gagné 2,48% et le Nasdaq 4,14%.
"C'est une journée mitigée. Il y a une certaine faiblesse parmi les grands noms du Dow Jones (...), mais la vraie histoire, c'est la solidité des valeurs financières", a estimé Mace Blicksilver, de Marblehead Asset Management.
Bank of America, qui prévoit de rembourser les 45 milliards de dollars prêtés par l'Etat fédéral "probablement" fin 2009 ou début 2010, gagnait 10,05% à 6,90 dollars. Citigroup continuait sur sa lancée des derniers jours (+21,91% à 3,06 dollars).
Les investisseurs attendaient l'issue de la réunion du comité de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine.
"Les opérateurs de marché semblent être un peu moins sûrs de ce que la Fed va dévoiler, étant donné qu'elle a déjà utilisé toutes ses munitions sur un assouplissement de son taux directeur et mis en place des méthodes moins conventionnelles pour enrayer la crise financière", observaient les analystes de Charles Schwab.
"On a beaucoup de couvertures de positions et de stabilisation sur le marché, il est possible que le communiqué de la Fed soit interprété positivement", a jugé de son côté M. Blicksilver.
Depuis décembre, le taux directeur de la Fed est quasiment à zéro, fluctuant dans une marge comprise entre 0 et 0,25%, et la banque centrale a laissé entendre qu'elle ne reviendrait pas là-dessus avant un "certain temps".
Côté statistiques, les prix à la consommation aux Etats-Unis ont accéléré leur hausse en février, augmentant de 0,4% par rapport au mois précédent.
"La Fed peut se concentrer strictement sur le secteur financier avec des craintes minimes sur l'inflation à court terme", a observé l'économiste indépendant Joel Naroff.
Certaines valeurs concentraient l'attention du marché: le titre du groupe informatique Sun Microsystems affichait une envolée spectaculaire, de 70,10% à 8,42 dollars, alors que son concurrent IBM (-2,52% à 90,57 dollars) chercherait à le racheter et pourrait débourser "au moins 6,5 milliards de dollars", selon le quotidien Wall Street Journal. Soit une prime de 100% par rapport au cours de clôture de lundi, soulignent les analystes.
Dans le même domaine, Hewlett-Packard lâchait 3,03% à 28,85 dollars.
Coca-Cola (-0,68% à 41,17 dollars) n'était pas trop pénalisé par le refus par la Chine d'autoriser le rachat du leader du jus de fruits Huiyan. Si Coca-Cola s'est dit déçu, les analystes étaient plus pragmatiques.
"Cela aurait été bien de construire sur une marque locale solide, mais des résultats concrets sur les recettes à court terme était peu probable. Ce n'est pas le pire moment pour avoir 2,4 milliards de dollars de liquidités disponibles", ont jugé les analystes de Deutsche Bank.
Le marché obligataire montait. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans descendait à 2,651% contre 3,003% mardi soir et celui à 30 ans à 3,764%, contre 3,804% la veille.
Source: Yahoo News