La vague Omicron serait-elle la dernière ?
Il y a quelques jours, Olivier Véran manifestait son optimisme face à la pandémie du coronavirus. Pour le ministre, la vague Omicron pouvait marquer le début de la fin de la pandémie. Ce dernier variant est resté moins dangereux dans presque tous les pays. Plusieurs experts en santé pensent que le virus deviendra probablement un virus ordinaire dans quelques années. Contagieux mais pas dangereux, il serait plus maitrisé par la science. Ce sera un combat scientifique gagné lorsqu’on en serait là.
Les signes annonciateurs de fin de pandémie
En France comme dans plusieurs autres pays secoués par la pandémie, les restrictions sanitaires ne sont plus aussi strictes. Le masque n’est plus obligatoire dans certains pays. La mise en quarantaine n’est plus obligatoire dans certains pays. Les regroupements sont de plus en plus autorisés sans limite de participants comme il y a quelques mois. Les hôpitaux sont de moins en moins encombrés. Progressivement nous tendons vers une vie normale dans le monde entier. Ce n’est pourtant pas la fin. On enregistre encore des contaminations chaque jour.
Il faut voir au début la mobilisation collective. Il est vrai que par endroit, il se trouve une partie qui contestait toute restriction. L’OMS s’est révélée très utile dans ses directives. Le personnel sanitaire a joué promptement sa partition dans la gestion de cette crise malgré les désagréments. La précipitation ne laissait toujours pas le temps aux dirigeants d’associer ces agents à toutes les décisions.
Il faut reconnaître aussi que les vaccins ont joué aussi leur rôle. Depuis la vaccination on a constaté, une régression considérable des urgences. Malgré les oppositions, on se rend compte aujourd’hui qu’il fallait les adopter pour protéger la population. Les personnes vaccinées présentaient moins de risque de complication que les non vaccinées.
Il faut voir au début la mobilisation collective. Il est vrai que par endroit, il se trouve une partie qui contestait toute restriction. L’OMS s’est révélée très utile dans ses directives. Le personnel sanitaire a joué promptement sa partition dans la gestion de cette crise malgré les désagréments. La précipitation ne laissait toujours pas le temps aux dirigeants d’associer ces agents à toutes les décisions.
Il faut reconnaître aussi que les vaccins ont joué aussi leur rôle. Depuis la vaccination on a constaté, une régression considérable des urgences. Malgré les oppositions, on se rend compte aujourd’hui qu’il fallait les adopter pour protéger la population. Les personnes vaccinées présentaient moins de risque de complication que les non vaccinées.
Est-ce la fin du Covid-19 ?
Certainement pas encore. Il n’y a que l’OMS qui donnera un jour ce feu vert. Pour le moment, on ne peut que parler d’un début de fin. Ce début n’est pas une raison pour baisser la garde dans la mesure où tout peut changer à tout moment avec ce virus qui défie la science. Les derniers rebondissements en disent plus.
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