Selon certains témoins, l'incendie a été déclenché par des feux d'artifice tirés au moment du décompte du passage de la nouvelle année au "Santika Club", une boîte de nuit de deux étages située à Ekamai, un quartier animé de Bangkok.
Le club, fréquenté par la jeunesse dorée thaïlandaise ainsi que nombre d'expatriés et touristes, devait fermer définitivement ses portes le 1er janvier, d'où l'intitulé de la soirée spéciale du Nouvel An: "Goodbye Santika". La boîte devant ensuite déménager, le bail de location des lieux n'ayant pu être prolongé, selon son propriétaire. Environ un millier de fêtards s'entassaient dans la discothèque pour cette soirée de réveillon.
Les victimes sont mortes brûlées, intoxiquées par les fumées ou encore écrasées dans la bousculade qui a suivi le départ du feu, la clientèle tentant de s'enfuir, paniquée, par une unique sortie. Le sinistre a fait 61 morts et plus de 200 blessés, dont 35 étrangers.
D'après le général Jongrak, 21 corps calcinés n'ont pas pu être identifiés pour le moment. Les premiers éléments de l'enquête ont montré que les normes de sécurité n'étaient pas respectées dans l'établissement: s'il existait bien deux autres portes au club, celle située à l'arrière du bâtiment n'était connue que du personnel.
La police de Bangkok, a expliqué Jongkrak Jutanont, avait refusé d'accorder en 2004 une license d'exploitation à l'établissement, jugeant qu'il n'était "pas prêt". Mais la direction du club avait déposé un référé ce qui lui a permis d'ouvrir en attendant une décision de justice -jamais rendue à ce jour.
Aucune charge n'a pour le moment été retenue contre la direction du "Santika Club", mais son propriétaire, un homme d'affaires sino-thaïlandais, devrait être poursuivi pour avoir laissé entrer des mineurs, selon le général Jongkrak. Un lycéen de 17 ans figure parmi les victimes.
Source: Yahoo News
Le club, fréquenté par la jeunesse dorée thaïlandaise ainsi que nombre d'expatriés et touristes, devait fermer définitivement ses portes le 1er janvier, d'où l'intitulé de la soirée spéciale du Nouvel An: "Goodbye Santika". La boîte devant ensuite déménager, le bail de location des lieux n'ayant pu être prolongé, selon son propriétaire. Environ un millier de fêtards s'entassaient dans la discothèque pour cette soirée de réveillon.
Les victimes sont mortes brûlées, intoxiquées par les fumées ou encore écrasées dans la bousculade qui a suivi le départ du feu, la clientèle tentant de s'enfuir, paniquée, par une unique sortie. Le sinistre a fait 61 morts et plus de 200 blessés, dont 35 étrangers.
D'après le général Jongrak, 21 corps calcinés n'ont pas pu être identifiés pour le moment. Les premiers éléments de l'enquête ont montré que les normes de sécurité n'étaient pas respectées dans l'établissement: s'il existait bien deux autres portes au club, celle située à l'arrière du bâtiment n'était connue que du personnel.
La police de Bangkok, a expliqué Jongkrak Jutanont, avait refusé d'accorder en 2004 une license d'exploitation à l'établissement, jugeant qu'il n'était "pas prêt". Mais la direction du club avait déposé un référé ce qui lui a permis d'ouvrir en attendant une décision de justice -jamais rendue à ce jour.
Aucune charge n'a pour le moment été retenue contre la direction du "Santika Club", mais son propriétaire, un homme d'affaires sino-thaïlandais, devrait être poursuivi pour avoir laissé entrer des mineurs, selon le général Jongkrak. Un lycéen de 17 ans figure parmi les victimes.
Source: Yahoo News
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