L’affaire s’arrête là puisque ces repas, ce jour-là, ont été remplacés par d'autres. Bio oblige, les produits alimentaires transportent avec eux les bestioles que les pesticides (insecticides, fongicides, herbicides, parasiticides…) n’ont pas éradiquées.
On nous dit pourtant que le Bio, c’est bon pour la santé. On nous dit également que les bestioles retrouvées dans les plats bio ne sont pas nocives. Ouais, ouais… Il y a aussi les chenilles des mites alimentaires qui font des ravages dans les placards renfermant des produits bio : elles contaminent allègrement les autres paquets de nourriture.
Pour se défaire de ces envahisseurs, à part jeter tous les paquets de farine, riz, pâtes, céréales, biscuits, chocolat... à peu près tout ce qui peut se trouver dans votre cuisine et utiliser certains insecticides, pas de solution. Alors, si le fait de cuisiner des produits peut nous obliger à jeter tout ce qu’il y a dans nos placards (s’exposer à la famine), à utiliser des pesticides pour enrayer l’invasion constatée (s’exposer à la maladie), à scruter les fonds des paquets qu’on vient d’acheter pour en débarrasser les parents d’une nouvelle colonie qui pourrait remplacer la précédente (s’exposer à l’obsession), je me demande vraiment s’il ne faut pas s’orienter vers les OGM.
Et l’horreur de prendre forme: les Ogm vont nous sauver ! Alors, que le ver soit dans le chou ou dans le fruit, ça ne change vraiment pas grand-chose: famine, maladie, obsession, ogm, la fatalité ne connaît pas de trêve.
On nous dit pourtant que le Bio, c’est bon pour la santé. On nous dit également que les bestioles retrouvées dans les plats bio ne sont pas nocives. Ouais, ouais… Il y a aussi les chenilles des mites alimentaires qui font des ravages dans les placards renfermant des produits bio : elles contaminent allègrement les autres paquets de nourriture.
Pour se défaire de ces envahisseurs, à part jeter tous les paquets de farine, riz, pâtes, céréales, biscuits, chocolat... à peu près tout ce qui peut se trouver dans votre cuisine et utiliser certains insecticides, pas de solution. Alors, si le fait de cuisiner des produits peut nous obliger à jeter tout ce qu’il y a dans nos placards (s’exposer à la famine), à utiliser des pesticides pour enrayer l’invasion constatée (s’exposer à la maladie), à scruter les fonds des paquets qu’on vient d’acheter pour en débarrasser les parents d’une nouvelle colonie qui pourrait remplacer la précédente (s’exposer à l’obsession), je me demande vraiment s’il ne faut pas s’orienter vers les OGM.
Et l’horreur de prendre forme: les Ogm vont nous sauver ! Alors, que le ver soit dans le chou ou dans le fruit, ça ne change vraiment pas grand-chose: famine, maladie, obsession, ogm, la fatalité ne connaît pas de trêve.
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