L'émission, diffusée par la chaîne privée Nouvelle Chaine Ivorienne (NCI), a suscité l'indignation de plus de 37 000 personnes qui ont signé une pétition demandant que des mesures soient prises à l'encontre du présentateur Yves de Mbella, rapporte l'AFP.
"Dites-moi que je rêve", a écrit un rappeur ivoirien, PrissK, sur Facebook. "C'est écœurant, inacceptable, irrespectueux surtout pour la femme".
Le conseil indépendant de la communication de Côte d'Ivoire a annoncé la suspension de M. De Mbella, qui présentait le segment, et a publié une déclaration disant qu'il contenait un langage obscène, faisait l'apologie du viol et attaquait la dignité des femmes, a rapporté Reuters.
NCI s'est également excusé d'avoir diffusé la séquence en disant qu'il s'engageait "à respecter les droits de l'homme et en particulier ceux des femmes", et en exprimant sa "solidarité avec les femmes victimes de violences et d'abus de toutes sortes", selon l'AFP.
S'excusant de son "erreur", M. De Mbella a publié sur Facebook qu'il était "sincèrement désolé d'avoir choqué tout le monde alors qu'il essayait de sensibiliser les gens".
"Je suis également désolé pour tout ce qui a été dit ou fait pendant cette séquence de l'émission hier et qui a fait mal", a-t-il ajouté. "Je demande pardon à toutes les victimes de viols".
Lors de la séquence diffusée lundi, le présentateur a présenté son invité comme un "ex-violeur" et lui a demandé de simuler un viol à l'aide d'un mannequin, rapporte l'AFP.
Selon Al Jazeera, à un moment donné, M. De Mbella a également ajusté le mannequin et a demandé à l'invité s'il préférait que ses victimes soient "minces ou grosses" et si elles "aimaient ça".
Vers la fin de cette "démonstration", M. De Mbella a également invité son invité à "conseiller" les femmes sur la manière d'éviter de se faire agresser sexuellement.
Suite à cette controverse, des groupes de défense des droits ont demandé que M. De Mbella soit retiré du concours Miss Côte d'Ivoire qu'il doit organiser le 4 septembre.
"Dites-moi que je rêve", a écrit un rappeur ivoirien, PrissK, sur Facebook. "C'est écœurant, inacceptable, irrespectueux surtout pour la femme".
Le conseil indépendant de la communication de Côte d'Ivoire a annoncé la suspension de M. De Mbella, qui présentait le segment, et a publié une déclaration disant qu'il contenait un langage obscène, faisait l'apologie du viol et attaquait la dignité des femmes, a rapporté Reuters.
NCI s'est également excusé d'avoir diffusé la séquence en disant qu'il s'engageait "à respecter les droits de l'homme et en particulier ceux des femmes", et en exprimant sa "solidarité avec les femmes victimes de violences et d'abus de toutes sortes", selon l'AFP.
S'excusant de son "erreur", M. De Mbella a publié sur Facebook qu'il était "sincèrement désolé d'avoir choqué tout le monde alors qu'il essayait de sensibiliser les gens".
"Je suis également désolé pour tout ce qui a été dit ou fait pendant cette séquence de l'émission hier et qui a fait mal", a-t-il ajouté. "Je demande pardon à toutes les victimes de viols".
Lors de la séquence diffusée lundi, le présentateur a présenté son invité comme un "ex-violeur" et lui a demandé de simuler un viol à l'aide d'un mannequin, rapporte l'AFP.
Selon Al Jazeera, à un moment donné, M. De Mbella a également ajusté le mannequin et a demandé à l'invité s'il préférait que ses victimes soient "minces ou grosses" et si elles "aimaient ça".
Vers la fin de cette "démonstration", M. De Mbella a également invité son invité à "conseiller" les femmes sur la manière d'éviter de se faire agresser sexuellement.
Suite à cette controverse, des groupes de défense des droits ont demandé que M. De Mbella soit retiré du concours Miss Côte d'Ivoire qu'il doit organiser le 4 septembre.
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