Dans un communiqué, le mouvement clandestin appelle "à combattre et à abattre l'exécutif corse", puis qualifie le président de l'assemblée de Corse, Camille de Rocca Serra, et le président du conseil exécutif, Ange Santini, "de politiciens véreux" livrant la Corse à la spéculation immobilière.
Le FLNC-UC critique également la politique de développement économique que doit mener l'assemblée de Corse, à travers le Paduc (Plan d'aménagement et de développement de la Corse), qu'il qualifie de "tromperie intellectuelle et politique".
Le FLNC-UC est l'une des principales organisations clandestines de l'île.
Parmi les 14 attentats revendiqués pour les six derniers mois figure une opération commando menée le 29 août dans la région du golfe de Lava, près d'Ajaccio, où un couple de septuagénaires avait été pris en otage avant que sa maison ne soit détruite par un attentat.
Les clandestins accusent les retraités d'être "des racistes anti-corses" et les invitent à quitter l'île.
L'UMP dénonce "un pur scandale dans une démocratie".
"Les Corses qui sont attachés à la démocratie ne peuvent que condamner la violence et leurs auteurs", déclare dans un communiqué le parti majoritaire, qui apporte son soutien aux membres de l'exécutif régional.
L'UMP "appelle l'ensemble des partis politiques, des élus et la population à condamner les menaces et la violence sous toutes ses formes".
source: Yahoo News
Le FLNC-UC critique également la politique de développement économique que doit mener l'assemblée de Corse, à travers le Paduc (Plan d'aménagement et de développement de la Corse), qu'il qualifie de "tromperie intellectuelle et politique".
Le FLNC-UC est l'une des principales organisations clandestines de l'île.
Parmi les 14 attentats revendiqués pour les six derniers mois figure une opération commando menée le 29 août dans la région du golfe de Lava, près d'Ajaccio, où un couple de septuagénaires avait été pris en otage avant que sa maison ne soit détruite par un attentat.
Les clandestins accusent les retraités d'être "des racistes anti-corses" et les invitent à quitter l'île.
L'UMP dénonce "un pur scandale dans une démocratie".
"Les Corses qui sont attachés à la démocratie ne peuvent que condamner la violence et leurs auteurs", déclare dans un communiqué le parti majoritaire, qui apporte son soutien aux membres de l'exécutif régional.
L'UMP "appelle l'ensemble des partis politiques, des élus et la population à condamner les menaces et la violence sous toutes ses formes".
source: Yahoo News
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