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Monde: Toute l'Actu
26/04/2022 - 13:14

​Comment Big Pharma magouille les tests qui permettent d’autoriser les vaccins

Un seul essai clinique a suffi pour autoriser l’injection du vaccin Covid Pfizer-BioNTech à des centaines de millions de personnes en bonne santé dans le monde.

Dans un monde normal, on s’attendrait à ce que cette étude-là soit en béton armé, inattaquable.



Il fallait des garanties imparables de fiabilité scientifique, car le vaccin Pfizer a été fait à partir d’un virus totalement nouveau (Sars-Cov-2) et d’une technologie totalement nouvelle (ARN messager) — on peut débattre de l’ancienneté de la découverte de l’ARN messager, mais le fait est qu’il n’avait jamais été expérimenté massivement sur l’homme, et encore moins sous forme de « vaccin ».

De plus, ce nouveau vaccin a été conçu et fabriqué en quelques mois, là où il faut habituellement 8 à 10 ans minimum pour espérer mettre sur le marché un nouveau vaccin.

Donc, pour mesurer l’efficacité de ce vaccin, et pour évaluer sa dangerosité, il fallait vraiment un essai clinique scientifiquement incontestable.

Eh bien… vous allez voir ce qui s’est passé réellement.
 
La façon dont l’essai clinique Pfizer a été trafiqué du début à la fin est à peine croyable.
 
Mais avant de vous le montrer en détail, il faut comprendre d’où l’on vient — car la fraude ne surgit jamais de nulle part.
 
Avant le Covid, l’état consternant des essais cliniques sur les vaccins
 
Premièrement, la plupart des vaccins n’ont jamais fait l’objet d’essai clinique sérieux.
C’est en partie dû à une spécificité historique : beaucoup de vaccins infantiles ont été autorisés à une époque où l’on ne faisait pas de grands essais cliniques randomisés contre placebo.

C’est ainsi qu’il n’y a jamais eu d’essais cliniques fiables sur les principaux vaccins infantiles injectés depuis plus de 30 ans : DTP (diphtérie tétanos polio), BCG (tuberculose), ROR (rougeole oreillons rubéole), etc.
 
C’est un réel problème pour évaluer leur efficacité et innocuité.

Certes, il est possible de truquer un essai clinique randomisé en double aveugle, contre placebo, comme on va le voir.

Mais cela reste délicat. Et assez facile à déceler par des scientifiques sérieux.
 
Il est toujours beaucoup plus facile de manipuler les études observationnelles : ce sont les études où l’on se contente, après coup, d’évaluer statistiquement si le vaccin qu’on a injecté massivement à la population a réellement été efficace et sans danger.
 
Donc, la plupart des vaccins ont échappé aux Fourches caudines du grand essai clinique. Par exemple, c’est sur la base d’observations statistiques que les autorités françaises ont clamé pendant des années que le vaccin BCG avait une efficacité d’environ 50 %, alors qu’un grand essai clinique randomisé (donc de méthodologie supérieure) réalisé en Inde n’a pas trouvé le moindre effet — 0 % d’efficacité — sur la tuberculose.
 
Il n’y a donc que les vaccins les plus modernes qui ont dû se soumettre aux grands essais cliniques.

Enfin… pas tous : le vaccin contre la grippe y échappe aussi, alors même que sa composition est renouvelée chaque année, et qu’il est injecté chaque automne à des centaines de millions de personnes dans le monde.
 
C’est troublant : rien qu’en France, on dépense au moins 100 millions d’euros chaque année pour vacciner la population contre la grippe[1], sans même s’assurer que ce vaccin sert à quelque chose !

En effet, selon la Fondation Cochrane (qui était une référence jusqu’à son « sauvetage » par la Fondation Bill et Melinda Gates en 2018), aucun effet de ce vaccin n’a été démontré sur la mortalité et le risque de pneumonie[2].
 
Et depuis 2003, aucun essai clinique randomisé n’a été réalisé, nulle part dans le monde, pour vérifier l’effet du vaccin antigrippe sur la mortalité ou les hospitalisations !

Résultat : chaque année, on s’appuie sur des « observations statistiques », facilement manipulables, et l’on conclut tranquillement que le vaccin a une certaine efficacité (plus ou moins grande selon les années).
 
Mais ces études sont criblées de biais insurmontables, et en particulier celui du « healthy user bias » : il faut savoir que les seniors qui décident de se vacciner contre la grippe sont en meilleure santé en moyenne que ceux qui renoncent à suivre les recommandations officielles. Conséquence : même si les vaccinés contre la grippe meurent moins en moyenne que les autres, on ne peut strictement rien en conclure sur l’efficacité du vaccin.

Ces personnes risquaient tout simplement moins de mourir pendant l’hiver, avec ou sans vaccin.
 
Donc, pour manipuler les chiffres, ou entretenir le doute, le plus simple est de ne pas faire d’essais cliniques — et c’est la règle pour la plupart des vaccins en circulation.

Pour les nouveaux vaccins, toutefois, l’essai randomisé est un passage obligé.
 
Mais l’industrie pharmaceutique a multiplié les détournements pour transformer cette épreuve théoriquement difficile en promenade de santé.

L’exemple accablant des tests sur les vaccins contre le papillomavirus : faux critères d’efficacité, et faux placebo !

C’est évident si l’on examine ce qui s’est passé avec le vaccin contre les papillomavirus (HPV).
 
C’est un des très rares « nouveaux vaccins » à avoir été autorisé depuis 20 ans, et il est aujourd’hui encore massivement recommandé aux jeunes filles.

L’objectif de ce vaccin est de réduire le risque de cancer de l’utérus, dont un des précurseurs serait certains virus sexuellement transmissibles appelés HPV (mais c’est au mieux un « co-facteur », car au moins 25 % des femmes ont des infections HPV, et la plupart ne développent pas le moindre cancer).
 
D’emblée, il y a un problème scientifique majeur : le cancer du col de l’utérus se déclenche en moyenne à 45 ans… et on vaccine des jeunes filles de 12 ans.

Il est donc impossible de démontrer sérieusement l’impact du vaccin sur les cancers, sauf à faire un essai clinique sur très longue période (ce qui pose de toute façon des problèmes méthodologiques insurmontables) !
 
Qu’à cela ne tienne : l’industrie pharmaceutique s’est contentée de montrer que le vaccin réduit le nombre de lésions précancéreuses (qui sont aisément traitables et/ou peuvent disparaître naturellement), donc sans apporter de preuve sur ce qui compte le plus : le cancer et la mort.
 
Ce n’est pas du tout un problème théorique : des médecins indépendants craignent que ces vaccins augmentent le risque de cancer invasif du col de l’utérus, soit en favorisant la diffusion de souches plus virulentes du papillomavirus, soit en fragilisant l’immunité de jeunes filles déjà infectées au moment de la vaccination[3].
 
Donc, malgré tous les communiqués de presse triomphalistes sur l’efficacité de ces vaccins, il n’y a pour le moment pas la moindre preuve sérieuse de leur efficacité contre les cancers invasifs.

Même leur efficacité sur les lésions précancéreuses du col de l’utérus est largement douteuse, car elle n’a été démontrée que sur les lésions causées par les HPV visés par le vaccin, et non sur la totalité des lésions précancéreuses (la nature ayant horreur du vide, d’autres HPV risquent de devenir plus virulents)[4].
 
À l’inverse, la dangerosité de ces vaccins ne fait guère de doute. De nombreuses femmes ont porté plainte en justice, après avoir subi des effets secondaires graves, comme la sclérose en plaques[5].

Même l’Agence du Médicament, dont l’objectif était pourtant de « rassurer les familles », a dû reconnaître que ces vaccins étaient liés à une nette augmentation du risque d’au moins deux maladies auto-immunes : le Guillain Barré (syndrome neurologique aigu) et les colopathies inflammatoires[6].
 
Et ce qu’il faut bien noter, c’est que ces effets graves n’ont pas été identifiés dans les essais cliniques.
 
C’est d’abord un problème de nombre : il est impossible de détecter un risque rare, par exemple 1 cas sur 50 000, à moins de faire un essai clinique sur 500 000 personnes.
Or les grands essais cliniques sont, au mieux, réalisés sur des cohortes de 5 000 à 15 000 personnes.

L’autre problème, ce sont les techniques de manipulation de l’industrie pharmaceutique, avec la complicité active des agences sanitaires.

Pour masquer les effets indésirables graves, dans une étude contre placebo, le plus simple… est de ne pas injecter un placebo, mais une substance qui peut également donner des effets indésirables !

Cela paraît fou, mais c’est ce qui a été fait ! Dans le cas du papillomavirus, la plupart des essais cliniques sur ces vaccins n’ont pas été réalisés « contre placebo », à savoir des injections d’eau salée… mais contre des injections contenant de l’aluminium !
 
Ainsi, une étude récapitulant 11 essais cliniques sur ces vaccins ose conclure qu’ils sont « sans danger »… alors qu’ils n’ont pas été testés contre de vrais placebos, mais contre le vaccin contre l’hépatite A (contenant de l’aluminium) et contre des injections d’aluminium sans antigène[7] !

C’est un énorme problème, car l’aluminium est bien l’un des principaux suspects des effets indésirables graves des vaccins — et les vaccins contre le papillomavirus en contiennent de surcroît une dose élevée.
 
Le pire, c’est qu’il s’agit d’une règle générale, acceptée par les agences sanitaires : il n’y a quasiment jamais d’essais cliniques où des vaccins contenant des adjuvants comme l’aluminium sont testés contre de vrais placebos, sans adjuvant.
 
Le Dr Michel de Lorgeril n’en a repéré qu’un seul, réalisé en Chine, et celui-ci montre une multiplication par trois des effets indésirables liés à l’aluminium[8].

Cela veut dire que l’utilisation d’un « faux placebo » contenant de l’aluminium semble permettre de diviser par trois le nombre apparent d’effets indésirables dans ces essais cliniques !

Mais comme si cela ne suffisait pas, l’entreprise Merck, pour son vaccin Gardasil contre le papillomavirus, est allée encore plus loin dans la manipulation.
 
Choquant : comment Merck a volontairement masqué les effets indésirables graves du Gardasil

Là encore, il n’est même pas nécessaire de frauder ou de trafiquer les chiffres (même si l’un n’empêche pas l’autre).

Il suffit d’abord de bien concevoir son « protocole », et d’obtenir le feu vert des autorités sanitaires.

Dans le cas du Gardasil, le vaccin « phare » de Merck contre le papillomavirus, la manipulation est évidente.
 
Plutôt que de répertorier la totalité des « événements médicaux » qui surviennent après vaccination comme des « événements indésirables », Merck a choisi une voie, disons, originale.

Dans ses grands essais cliniques, Merck a créé une catégorie de « nouvel événement médical » (new medical history), en plus de la catégorie des événements indésirables.

C’est une façon extraordinaire de mettre la poussière sous le tapis : il suffit que les investigateurs (payés par Merck) jugent qu’un problème de santé n’est pas liéau vaccin pour qu’il soit placé dans cette catégorie-là.
 
Or cette catégorie est examinée avec beaucoup moins d’attention que les effets indésirables, ne serait-ce que parce qu’elle ne contient aucun détail (ni durée, ni gravité des symptômes, etc.). D’ailleurs, ces données ne figurent même pas dans l’étude de l’essai clinique, publiée dans le prestigieux New England Journal of Medicine[9].

Quelle a été la réaction des autorités de santé à ce tour de passe-passe ? Elles ont laissé passer !
 
Des chercheurs indépendants ont bien déterré une certaine inquiétude dans un rapport interne de l’EMA, l’Agence européenne du Médicament (rapport obtenu après coup par les procédures de transparence de documents publics) :
 
« La procédure d’essais [est] non conventionnelle et sous-optimale. [Elle] apporte un certain degré d’incertitude quant à l’évaluation globale de son innocuité »[10].
Mais cela n’a pas empêché le vaccin d’être approuvé, et on ne trouve nulle trace de la moindre réserve dans les documents officiels de l’EMA.

Les dégâts, pourtant, sont réels et évidents.
 

Le journal Slate a réalisé une enquête remarquable sur cette affaire en 2017, notamment en interrogeant des femmes qui ont participé à l’essai clinique en question[11].

Un cas frappant est celui de Kesia Lyng, qui, depuis sa vaccination au Gardasil, a souffert sans interruption d’effroyables problèmes de santé : « des douleurs articulaires et musculaires intermittentes, de fortes céphalées et un épuisement terrible, dont même de copieuses heures de sommeil ne parvenaient pas à venir à bout »[12].
 
Ces symptômes invalidants ont commencé juste après la deuxième injection, en 2002, dans le cadre du plus grand essai clinique testant le Gardasil de Merck.
 
Et pourtant, aucun des symptômes de Kesia Lyng n’a été répertorié dans la catégorie des « effets indésirables » ! Dans son dossier médical, on ne trouve même aucune trace de son symptôme le plus handicapant, la fatigue !
 
Ce n’était pas faute de l’avoir signalé : Kesia l’a dit et redit à chacune de ses consultations dans le cadre de l’essai clinique. Elle avait même signalé aux investigateurs de Merck qu’elle avait été obligée d’arrêter l’école à cause de sa maladie ! 
 
La réponse qu’elle a reçue fait froid dans le dos : « Ils ne cessaient de me dire : “ce n’est pas le genre d’effet secondaire que l’on voit avec ce vaccin” ».

Tout ce qui a été noté, dans son dossier, ce sont des maux de tête, douleurs articulaires, une gastro-entérite et une grippe… mais sous la rubrique des « nouveaux événements médicaux », pas celle des effets indésirables !
 
Tout cela, il faut bien le dire, sans la moindre violation du protocole — c’est dire s’il était biaisé !
 
Il était d’autant plus facile de masquer les effets indésirables de long terme que leur signalement n’était possible que dans les 14 jours suivants chacune des 3 injections du Gardasil (sauf effet particulièrement grave, mais la gravité est laissée à l’appréciation des investigateurs…).
 
Bref, le handicap à vie de Kesia n’a jamais été consigné comme « effet indésirable » du vaccin dans l’essai clinique, et comme le montre l’enquête de Slate, « le cas de Kesia Lyng n’est pas isolé ».

Le cas du Gardasil n’est pas non plus isolé — et les méthodes de Merck ne sont pas non plus un cas à part. Elles sont au contraire la règle dans le monde de Big Pharma, comme le précise Slate :

« Le fait de ne pas signaler correctement les événements indésirables n’est pas chose nouvelle dans le domaine de la médecine. Selon les chercheurs, les enquêteurs des essais cliniques passent souvent à côté des symptômes des participants et les données qu’ils collectent ne voient pas toujours la lumière du jour. »
 
Une étude publiée en 2016 a trouvé « de solides preuves qu’une grande partie des informations concernant les événements indésirables reste non-publiée et que leur nombre et leur portée sont plus élevés dans les versions non-publiées que dans les versions publiées de la même étude ». En 2009, le Dr John Ioannidis de la Stanford University a succinctement exposé le problème dans un éditorial de l’Archives of Internal Medicine intitulé « Événements indésirables dans les essais cliniques randomisés : négligés, classifiés, déformés et passés sous silence ».
 
Bref, tout ceci vous donne une idée du degré de manipulation des essais cliniques habituellement réalisés sur les vaccins.
 
Mais en 2020, les vaccins anti-Covid ont battu tous les records.
 
C’est bien simple : ils cochent toutes les cas de la manipulation (et encore, on ne sait pas tout !).
 
Voici comment :
 
L’essai clinique Pfizer : le casse du siècle ? Un protocole scandaleux

Le niveau de truquage de l’essai Pfizer restera certainement à la postérité comme « le casse du siècle ».

Là encore, les dés étaient pipés avant même la première injection du premier patient « cobaye ».

Car ceux qui ont imaginé le protocole de cet essai clinique ont tout fait pour qu’il soit sans la moindre valeur scientifique ou sanitaire.

L’essai clinique a été conçu de telle sorte qu’il ne pouvait pas répondre aux questions les plus intéressantes vis-à-vis d’un vaccin de ce type.
 
Cet essai clinique n’a pas été conçu :
 
            •          Pour évaluer l’impact du vaccin sur le risque de transmission: impossible de savoir si le vaccin freine ou non la circulation du virus dans la population ;

            •          Ni pour évaluer l’impact du vaccin sur le risque de mourir ou de faire une forme grave: impossible de savoir si ce vaccin réduit la mortalité ou les hospitalisations.
 
C’était pourtant les seuls critères pertinents pour juger de l’intérêt d’un vaccin contre une maladie comme la Covid-19 : freiner les chaînes de contamination, éviter les hospitalisations et les morts.

À l’inverse, il ne sert à rien d’éviter à des gens en bonne santé de faire une infection « symptomatique », c’est-à-dire de souffrir de symptômes grippaux en cas d’infection Covid.

Cela peut même être contre-productif, si les vaccinés continuent à porter le virus et à le transmettre aux autres sans avoir de symptômes !
 
Et pourtant, c’est cela — et seulement cela — qui a été testé dans cet essai clinique : mesurer la capacité du vaccin à éviter d’avoir des symptômes grippaux en cas d’infection.

Et comme si cela ne suffisait pas, Pfizer a choisi de tester les patients qui avaient le moins de risques de forme grave de Covid-19.
 
Tenez-vous bien : il n’y avait que 4 % de patients ayant plus de 75 ans, alors qu’on sait parfaitement que ce sont eux les plus à risque de mourir du Covid.
 
De même, seuls 21 % des cobayes avaient une « comorbidité » … alors que 95 % des morts du Covid avaient au moins une comorbidité (la moyenne étant de 4 comorbidités[13]).

Et les patients en moins bonne santé, et les plus à risque étaient exclus de l’essai : les patients ayant des troubles de la coagulation, les patients immunodéprimés, etc.

Tout a été fait pour gonfler artificiellement l’efficacité de vaccins, dont on sait qu’ils fonctionnent mal chez les personnes âgées et/ou immunodéprimées.

Mais tout a été fait, aussi, pour réduire artificiellement les chiffres d’effets indésirables.
 
Car les personnes en bonne santé souffrent généralement moins d’effets indésirables graves que les personnes vulnérables. À l’inverse, et pour le dire crûment, il en faut parfois peu pour tuer un vieillard aux multiples comorbidités.
 
Et c’est ainsi que l’essai clinique Pfizer n’a pas testé le moindre patient en EHPAD, et a même exclu les groupes à fort risque d’effet indésirable grave, comme les personnes ayant certaines allergies… ainsi que les patients ayant déjà eu le Covid.
 
Il n’aurait pourtant pas été inutile d’incorporer des patients ayant déjà été infectés, à la fois pour savoir si le vaccin servait à quelque chose pour eux (on l’a vu après coup : strictement rien), et pour voir s’ils ne souffraient pas davantage d’effets indésirables (on a vu également après coup que c’était malheureusement le cas).

Bref, Pfizer a choisi, pour son essai clé, les personnes qui avaient le moins besoin de vaccin, qui avaient un système immunitaire suffisamment robuste pour réagir favorablement au vaccin, et qui risquaient le moins de subir un effet indésirable grave détectable.
 
De toute façon, le nombre limité de participants (deux groupes de 20 000), à lui seul, rendait impossible de détecter un effet indésirable très grave pour 10 000 injections.

Cette faille était encore plus manifeste pour l’essai clinique réalisé sur les enfants de 12 à 15 ans, qui ne risquaient pourtant rien du Covid : l’essai clinique ne pouvait pas déceler un effet indésirable grave pour 1 000 injections !
 
Et ce fut la même chose pour les 5-11 ans, à tel point que le Dr Éric Rubin, éditeur en chef du New England Journal of Medicine et membre du panel de la FDA qui a autorisé ce vaccin, a reconnu qu’on « ne pourra pas savoir à quel point ce vaccin est sans danger tant qu’on ne l’aura pas approuvé et commencé à le distribuer »[14].

Et qu’en est-il des effets indésirables graves potentiellement retardés ?
 
 
Là encore, on aurait pu essayer de mesurer le risque à long terme de ces vaccins, sachant que la technologie de l’ARN messager était totalement nouvelle.

Pour cela, il était possible de mesurer chez les patients des biomarqueurs qui peuvent prédire une dégradation lente de la santé, ou des risques à venir, comme les D-dimères (risque de coagulation), la CRP (inflammation), les troponines (risque cardiaque), ou d’autres encore.
 
Rien de tout cela n’a été fait, comme si on ne voulait surtout pas savoir.
 
Et les autorités sanitaires ont accepté que cet essai clinique soit mené tel quel, alors qu’il avait été entièrement conçu par Pfizer, pour ses propres intérêts et non ceux du public.
De grandes voix, comme l’éditeur associé du British Medical Journal Peter Doschi, ont eu beau s’en émouvoir, cela n’a rien changé[15].
 
Et ce qui s’est passé après est encore plus grave :
 
L’essai clinique Pfizer : le casse du siècle ? Comment cela s’est passé « en vrai »
Donc, le seul but de l’essai clinique était de vérifier si le vaccin pouvait éviter à une personne en bonne santé d’avoir des symptômes grippaux après une infection Covid.

Pourtant, on aurait pu savoir avec précision si ce vaccin empêchait ou non l’infection, c’est-à-dire le portage du virus : il aurait suffi de faire un test PCR à chaque participant, tous les 5 jours.

Mais Pfizer a choisi de laisser les patients eux-mêmes se manifester en cas de symptômes — et il revenait aux expérimentateurs de décider si un test PCR se justifiait ou non.

 C’est malhonnête, car cela permet de masquer les infections qui se produisent juste après l’injection (et on sait maintenant qu’il s’en produit beaucoup !), qui vont être facilement requalifiées d’effets indésirables peu graves du vaccin (fièvres, maux de tête, etc.).
 
Cela permet aussi de jouer sur la psychologie des participants : étant donné que ces vaccins produisent beaucoup d’effets indésirables post-injections, ceux qui en subissent savent qu’ils ont bien reçu le vaccin, plutôt que le placebo… et seront moins disposés à penser qu’ils ont le Covid en cas de symptômes grippaux ultérieurs.
 
Et cela permet à des investigateurs peu scrupuleux d’être en position d’éviter de faire des tests PCR aux personnes vaccinées, et donc de réduire artificiellement le taux d’infections Covid du groupe vacciné !
 
Pour cela, il suffit qu’ils sachent qui a été vacciné ou non — c’est contraire au protocole, mais dans la réalité, c’est probablement ce qui s’est produit !
 
On le sait grâce à une lanceuse d’alerte, Brook Jackson, qui travaillait pour une des sociétés qui conduisaient l’essai clinique Pfizer (Ventavia), et qui a témoigné de ce qu’elle a vu sur le terrain : « falsifications de données », « retard dans le signalement d’effets indésirables »… et « patients désaveuglés », ce qui signifie que leur statut (vacciné ou placebo) était connu, ce qui ouvre la voie à des fraudes possibles de la part des investigateurs.
 
Or, il faut rappeler que c’est Pfizer qui organise l’essai, et ce sont ses filiales ou partenaires qui le conduisent sur le terrain — ce n’est pas l’État ni un organisme indépendant.
Et il n’est pas inimaginable de soupçonner Pfizer d’être capable de trafiquer ses chiffres, au contraire. Depuis 20 ans, Pfizer a été condamnée à plusieurs reprises par la Justice américaine pour fausses déclarations, pots-de-vin et autres pratiques de corruption[16].
 
En 2009, Pfizer a même dû payer une amende de 2,4 milliards de dollars, un record mondial, pour « pratiques commerciales frauduleuses »[17], notamment des commissions occultes versées à des médecins.
 
Le seul « contre-pouvoir » possible à la fraude massive dans cet essai clinique, c’était le risque d’inspection par l’autorité sanitaire, la FDA.
 
Mais savez-vous quelle a été la réaction de la FDA, quand la lanceuse d’alerte de Ventavia l’a contacté pour lui révéler les fraudes qu’elle constatait sur le terrain ?
 
Au lieu de dépêcher immédiatement une inspection, la FDA semble avoir fait le contraire, puisque la lanceuse d’alerte a été licenciée par Ventavia le lendemain de son alerte à la FDA.
Et pour finir, voici une dernière manip’ de taille pour améliorer l’efficacité apparente du vaccin : Pfizer a rendu ses données d’efficacité sur 2 mois seulement — et l’autorisation a été accordée sur cette base — alors que l’effet du vaccin décline très rapidement !
 
Et Pfizer le savait : son étude préliminaire sur les macaques avait bien montré une baisse des anticorps 2 mois après la deuxième dose. Chez les humains, on a vu après coup qu’après 3 mois, on observe en effet un rapide déclin des anticorps vaccinaux (ils chutent de 80 %[18])… mais Pfizer a livré des données à 2 mois seulement, et, comme par hasard, s’est bien gardée de réaliser un dosage des anticorps à trois mois chez ses participants !
 
Donc, l’efficacité a certainement été truquée, dans les faits, et pas seulement dans le protocole. Mais les effets indésirables aussi.
 
Comment l’essai Pfizer a masqué les effets indésirables graves : le cas Maddie
Il est facile de manipuler les chiffres d’effets indésirables, surtout quand on sait qui a été vacciné et qui a eu le placebo.

Mais il est également fréquent de frauder sur la « nature » des effets indésirables, pour en diminuer la gravité apparente.

Et on a au moins un exemple frappant en ce sens : le cas de la jeune Maddie de Garay.
 
Maddie était une jeune fille de 12 ans, qui a participé à l’essai Pfizer sur les 12-15 ans. Après sa deuxième dose, elle a fait une forte réaction, a été hospitalisée avec d’énormes problèmes de santé (tension sanguine erratique, trous de mémoire, maux de tête, incontinence, incapacité à se nourrir sans intubation), et a témoigné de tout ceci devant le Sénat, en fauteuil roulant[19].

Mais savez-vous comment Pfizer a rapporté cet effet indésirable, dans l’essai clinique ? Par ces trois mots : « Douleur abdominale fonctionnelle ». Voilà tout.
 

Ne croyez pas que c’est un cas isolé. Dans l’essai AstraZeneca, il s’est passé la même chose : une patiente, Bri Dressen, est devenue handicapée suite à la vaccination… mais son cas a été purement et simplement été éliminé des résultats finaux, les auteurs écrivant à tort qu’elle s’est « retirée » de l’essai[20] !
 
Mais revenons à Pfizer. Non content de masquer les effets indésirables graves à court terme, le laboratoire s’est aussi arrangé pour qu’on ne puisse pas évaluer les dangers de long terme.
En effet, après 6 mois, Pfizer a « offert » le vaccin à ceux qui étaient dans le groupe placebo. De cette façon, il devient impossible de prouver, avec certitude, que les « vaccinés » développent — par exemple — plus de cancers, de problèmes cardiaques ou de maladies neurologiques au bout de 8 mois, 12 mois ou 5 ans.
 
C’est le crime parfait. Enfin, crime, certainement, mais il n’est parfait que parce que les autorités ont abandonné leur mission de contrôle, car tout ceci est visible à l’œil nu !

Et encore, nous n’avons pas encore pu lire la totalité des milliers de pages de l’essai clinique que Pfizer et la FDA voulaient cacher pendant 75 ans au public — il y aura sans doute d’autres mauvaises surprises à découvrir.
 

Et le pire, c’est que malgré toutes ces magouilles, le résultat de l’essai Pfizer sur la mortalité n’est pas bon : il y avait 15 morts dans le groupe vacciné, contre 14 dans le groupe non vacciné. Deux fois moins de morts Covid chez les vaccinés (2 contre 1), mais 4 fois plus de problèmes cardiaques…
 
Est-ce un hasard, si Pfizer a renoncé à un marché de plus d’un milliard de patients, en refusant la demande des autorités indiennes de pouvoir faire un essai clinique local sur les effets indésirables de son vaccin anti-Covid [21] ?
 
 
Sources : XAVIER BAZIN (Santé-corps-esprit)

[1] Plus de 60 millions de vaccins, auxquels il faut ajouter les consultations et campagnes de communication – https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/grippe/vaccin-contre-la-grippe-le-cout-va-s-envoler-cette-annee-pour-l-assurance-maladie_3037283.html

[2] https://www.cochranelibrary.com/cdsr/doi/10.1002/14651858.CD004876.pub4/full

[3] https://pryskaducoeurjoly.com/actu/7081/gardasil-le-vaccin-qui-augmente-le-risque-de-cancer/

[4] Voir Michel de Lorgeril, Les vaccins contre les cancers, Éditions Chariot d’Or, 2021

[5] https://sante.journaldesfemmes.fr/magazine/1280524-gardasil-l-impatience-des-familles-face-au-silence-judiciaire/

[6]https://ansm.sante.fr/actualites/vaccination-contre-les-infections-a-hpv-et-risque-de-maladies-auto-immunes-une-etude-cnamts-ansm-rassurante-1

[7] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19221517/

[8]https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20018364/. Voir aussi Analyse scientifique de la toxicité des vaccins, de Michel de Lorgeril, page 120.

[9] https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa061741

[10] https://fr.scribd.com/document/367386169/Day-150-JRAR-Clinical-Bortredigerad?secret_password=xeOaPPIdg5yEMz4SK7x0

[11] https://slate.com/health-and-science/2017/12/flaws-in-the-clinical-trials-for-gardasil-made-it-harder-to-properly-assess-safety.html

[12] http://www.slate.fr/story/155834/sante-essais-cliniques-vaccin-gardasil-laboratoire-merck-episode-1

[13] https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/covid_weekly/index.htm?

[14] https://www.politifact.com/article/2021/nov/01/context-never-going-learn-how-safe-vaccine-unless-/

[15] https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4037

[16]https://www.arguments-vaccins.com/argument-53-je-nai-pas-confiance-dans-le-laboratoire-pfizer/

[17] https://www.france24.com/fr/20090903-le-laboratoire-pfizer-ecope-dune-amende-23%C2%A0milliards-dollars-

[18] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.04.19.21255714v2.article-info

[19] https://www.foxnews.com/media/ohio-woman-daughter-covid-vaccine-reaction-wheelchair

[20] https://popularrationalism.substack.com/p/new-england-journal-of-misinformation?

[21] https://www.reuters.com/article/health-coronavirus-india-pfizer-idUSKBN2A50GE




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